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Empreinte écologique : le « Jour du dépassement global » survient une semaine plus tôt en 2017

Aujourd’hui 2 août, de 2017, l’humanité aura consommé plus de ressources que la planète ne peut en régénérer en cette même année. Mauvaise nouvelle : ce « Jour du dépassement global » n’aura jamais été aussi hâtif de toute l’histoire moderne de l’humanité.

C’est le réseau Global Footprint Network, un partenaire du Fonds mondial pour la nature (WWF), qui déclare le 2 août le « Jour du dépassement global » 2017, soit plus exactement six jours plus tôt qu’en 2016. Il faudrait donc l’équivalent de 1,7 planète pour soutenir la consommation mondiale selon son niveau actuel, ce qui est légèrement supérieur au résultat de 1,6 planète de l’an dernier.

Deux données fondamentales expliquent le phénomène : la population mondiale qui augmente et la surconsommation qui progresse. Conséquemment :

  • Plus d’émissions de carbone sont relâchées dans l’atmosphère que ce que les océans et les forêts peuvent absorber;
  • Les pêches sont épuisées plus rapidement que leur capacité à se reproduire;
  • Les récoltes forestières se font plus rapidement que leur capacité à repousser.

Selon le GFN le coût de ce dépassement écologique mondial devient de plus en plus évident lorsque l’on considère la déforestation, les sécheresses et pénuries d’eau, l’érosion des sols, la perte de biodiversité et l’accumulation de gaz carbonique dans l’atmosphère et les populations d’espèces vertébrées mondiales sont en proie à un déclin fulgurant – de 67% d’ici 2020 – si nous ne changeons pas de façon rigoureuse notre mode de vie.

Le Canada au 5e rang mondial de l’empreinte écologique par habitant

Le Canada ne fait pas encore partie des bons élèves en matière de diminution de l’empreinte écologique. Il est plutôt dans le peloton de tête des mauvais exemples, arrivant cette année au 5e rang mondial de l’empreinte écologique par habitant.

  • L’empreinte écologique du Canada a augmenté dans la dernière année. Si tout le monde vivait comme les Canadiens, il faudrait 5,1 planètes pour soutenir la consommation mondiale, une augmentation par rapport aux 4,7 planètes de l’an dernier.
  • Par personne, l’empreinte écologique du Canada se classe au cinquième rang mondial.
  • Parce que le Canada a une population relativement faible et une abondance de ressources naturelles, seule la moitié de nos ressources est nécessaire pour soutenir notre population.
  • Contrairement aux pays ayant des déficits écologiques, le Canada a une réserve écologique.
  • En tant que nation, le Canada est au 12e rang mondial pour ce qui est de son empreinte écologique.
  • Les émissions de carbone constituent 60% de l’empreinte écologique totale du Canada.

« Le Canada se dirige dans la mauvaise direction. Nous savons que nous devons réduire notre impact sur la nature, mais les Canadiens dépassent encore davantage les limites du renouvellement des ressources écologiques mondiales. Ce n’est pas durable et en tant que nation, nous devons mieux planifier afin que nos écosystèmes soient résilients et puissent soutenir notre économie tout en offrant des biens et services écologiques essentiels aux espèces et aux communautés », analyse David Miller, le président et chef de la direction du WWF-Canada.

Les Canadiens peuvent d’ailleurs déterminer leur empreinte écologique et leur propre Jour du dépassement global avec le calculateur d’empreinte de GFN.

Autres ressources:

Infographies (en anglais)

Cartes et classements (en anglais)

Ensemble de données publiques gratuites (en anglais)

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Six grands enjeux pour le Canada dans la renégociation de l’ALÉNA

On sait maintenant que ce sera un passage obligé. Et les négociations pour remodeler l’Accord de libre-échange nord-américain (ALÉNA), un processus qu’exige le nouveau président Donald Trump, s’annoncent « longues et ardues ». Même si les responsables canadiens soutiennent que « c’est le Mexique qui constitue la véritable cible de la détermination du président Trump à renégocier ce qu’il voit comme une « mauvaise entente » qui ne bénéficie pas aux États-Unis ».

Même si cette analyse s’avérait exacte, un certain nombre d’enjeux devraient malgré tout provoquer des frictions entre le Canada et son voisin immédiat du sud.

En voici une petite demi-douzaine:

Le règlement des différends

Lorsque le Canada a négocié son ALÉ avec les États-Unis en 1988, il a voulu éliminer les droits compensatoires et les droits antidumping, des mesures élaborées pour neutraliser les effets des importations dont les prix et les subventions étaient jugés inéquitables. Les Canadiens estimant que ces droits étaient utilisés avec trop de zèle par les États-Unis, et qu’ils étaient maintenus par les tribunaux pour protéger les produits de la concurrence, notamment celle du bois d’oeuvre canadien.

Il s’agissait alors d’un enjeu primordial pour le Canada: le refus des États-Unis d’en discuter a failli faire avorter l’entente. Les deux pays se sont finalement entendus sur un compromis de dernière minute visant à mettre en place un mécanisme binational temporaire de règlement des différends, connu sous le nom de Chapitre 19.

En 1994, l’Accord de libre-échange canado-américain fut remplacé par l’ALÉNA et le mécanisme est devenu permanent. Les trois pays signataires peuvent toujours imposer des droits compensatoires et antidumping, mais en vertu du Chapitre 19, un pays peut demander à un comité spécial formé de membres des deux pays impliqués dans le différend d’examiner ces pénalités. Dès qu’un comité spécial amorce son examen, l’enjeu ne peut plus faire l’objet d’une révision judiciaire.

Plusieurs études révèlent que grâce au Chapitre 19 Washington a imposé beaucoup moins de droits compensatoires et antidumping au Canada et au Mexique qu’aux autres pays du monde. Certaines industries aux États-Unis soutiennent que le Chapitre 19 enfreint leur droit constitutionnel d’obtenir une révision judiciaire juste et impartiale, et empêche le président des États-Unis d’exercer son pouvoir d’appliquer les lois du pays sur le commerce.

Donald Trump souhaite donc carrément éliminer le Chapitre 19. Le premier ministre Justin Trudeau a, lui, affirmé que son gouvernement insisterait pour qu’une version renégociée de l’ALÉNA comprenne un mécanisme de règlement des litiges « juste et équitable » et il n’a pas voulu dire si le Canada pourrait claquer la porte si l’administration Trump se montrait inflexible dans sa volonté d’éliminer le système de règlement des litiges.

Les produits laitiers

Le système de gestion de l’offre limitant la quantité de produits laitiers pouvant être importée au Canada avant que des tarifs très élevés ne leur soient imposés constitue un irritant commercial depuis longtemps. Mais un enjeu plus important touche maintenant un produit plus récent, dit lait diafiltré. On parle ici des protéines laitières qui entrent dans la fabrication de fromage, de yogourt et autres produits lactés.

Cet « ingrédient » lacté n’étant pas soumis aux tarifs sur le lait prévus par la gestion de l’offre au Canada, les producteurs aux USA ont commencé à les vendre à faible coût aux usines de traitement canadiennes. Une manoeuvre qui ferait perdre aux producteurs canadiens des centaines de millions $ chaque année. Bien que la situation a changé lorsque l’industrie laitière canadienne a conclu une entente lui permettant de vendre, elle aussi, au rabais des ingrédients lactés et depuis que le Canada a créé une nouvelle catégorie de lait, coupant l’herbe sous le pied des producteurs du sud de la frontière. Résultat : le lobby US des produits laitiers a manifesté sa colère et a attiré l’attention de Donald Trump, qui a donc accusé le Canada, plus tôt cette année, pour la crise vécue par un certain nombre de fermes laitières du Wisconsin.

Le lobby canadien, lui, plaide que la stratégie ne s’appliquant qu’au marché intérieur est légale en vertu des lois commerciales internationales. Les producteurs du Canada se demandant aussi pourquoi les produits laitiers, qui avaient été exclus de l’ALÉNA, devraient dorénavant s’y retrouver.

Le vin

Il y a ici une vieille querelle entre le Canada et les États-Unis au sujet du vin qui a émergé dans le communiqué de presse du représentant US au Commerce qui énonçait les objectifs de Washington pour la renégociation de l’ALÉNA, bien que l’enjeu n’était pas inclus dans la liste d’objectifs de négociation proprement dite. Cette bataille avait été lancée avant même que le président Trump ne soit porté au pouvoir. C’est que le gouvernement des États-Unis estime que les producteurs de vin de leur pays sont désavantagés parce que la Colombie-Britannique ne permet qu’aux vins de cette province d’être vendus en épicerie. Washington plaidant que la Colombie-Britannique semblait avoir enfreint les engagements pris par le Canada auprès de l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Il s’agit assurément d’un enjeu complexe pour le gouvernement fédéral canadien, puisque l’alcool est de compétence provinciale selon la constitution du Canada. Mais le problème du vin sera presque certainement un facteur, direct ou indirect, dans les prochaines négociations de l’ALÉNA.

Les investissements

Selon la lettre du représentant au Commerce, les États-Unis souhaiteront réduire ou abolir les barrières aux investissements « dans tous les secteurs ».

Au Canada, jusqu’ici, la culture comme les soins de santé sont exemptés par des dispositions de l’ALÉNA. Les télécommunications pourraient aussi faire l’objet d’une réforme dans ce contexte.

Le commerce transfrontalier hors taxes

Les États-Unis voudraient que le Canada permette une hausse de 4 000 % du plafond fixé actuellement pour exempter de taxes de vente les produits achetés aux États-Unis. Actuellement ce plafond – un des plus bas au monde – a été fixé à 20 $ et cela il y a des décennies, bien avant l’avènement du commerce en ligne. À Washington on souhaiterait que ce plafond soit porté à 800 $, comme c’est le cas même aux États-Unis.

Une mesure qui réjouirait certes les consommateurs, mais les entreprises canadiennes ne sont pas d’accord puisque ce régime fiscal serait plus avantageux pour les détaillants étrangers que pour les entreprises canadiennes, qui elles investissent et créent des emplois au Canada. De plus, si les consommateurs canadiens font leurs achats aux États-Unis, les détaillants canadiens seraient probablement tentés d’y déménager leurs affaires. Un phénomène qui n’augurerait rien de bon pour l’économie locale au Canada.

L’eau douce

Il est difficile de penser que les politiciens de Washington ne voudront pas profiter de cette porte ouverte à la renégociation de l’ALÉNA pour, au minimum, relancer le débat sur l’énorme potentiel d’exportation de l’eau douce du Canada en gros volume vers le voisin du sud, de plus en plus assoiffé d’eau. Quelques tentatives, à Terre-Neuve et en Colombie-Britannique, furent finalement stoppées dans le passé, et depuis le sujet reste en sourdine. Mais la réalité de la rareté ne fait qu’augmenter au fil des ans et l’eau du Canada est assurément convoitée malgré tous les discours environnementalistes en vogue.

 

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Le FMI prévoit que le Canada arrive en tête du G7 pour sa croissance économique en 2017

Comme pour lui souhaiter « Bonne fête Canada! », en ce mois qui voit le pays souligner le 150e anniversaire de la Confédération canadienne (1867-2017), le Fonds monétaire international vient de faire savoir qu’il s’attend à ce que le Canada arrive en tête du G7 en 2017 pour ce qui est de la croissance économique. Dans le cadre de la mise à jour de ses Perspectives de l’économie mondiale, le FMI a donc revu à la hausse ses prévisions pour le Canada. Une autre bonne raison de fêter pour les Canadiens!

Le FMI s’attend maintenant à voir l’économie canadienne croître de 2,5% en 2017, alors qu’il avait prévu une croissance de 1,9% en avril. C’est un ajustement significatif. L’organisme affirme avoir révisé ses perspectives pour le Canada en raison d’une forte croissance au premier trimestre et des indicateurs laissant « entrevoir une activité résiliente au deuxième trimestre ».

Avec 2,5% de croissance le Canada reste cependant en bas de la moyenne mondiale. Il faut dire que l’économie dans le monde en général est actuellement sur une bonne lancée. Le FMI affirmant toujours que la croissance économique mondiale sera de 3,5% cette année et de 3,6% en 2018.

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Draft Canadian Drone Regulations: DJI is disappointed

DJI, the world’s leader in civilian drones and aerial imaging technology, expressed disappointment this July with draft regulations – Last Draft Canadian Drone Regulations -for the recreational and commercial use of drones recently published by Transport Canada, and urged drone users to submit comments as part of the government’s consultation before the rules are finalized.

While DJI is pleased some operating restrictions from earlier Interim Orders have been eased, the draft rules as written would significantly limit safe and responsible drone use. The rules would also make it harder for Canadian innovators and entrepreneurs to develop new ways to use drones in business, education, agriculture and public safety, leaving Canada to fall behind in realizing the benefits of drones.

The draft regulations make no distinction between recreational and commercial operations, meaning Canadians who simply want to see their homes from above would have to follow the same strict standards as large businesses with fleets of drones.

« We are disappointed that Transport Canada has taken an overly restrictive approach for its new proposed drone rules. Strong restrictions placed on drones in built-up areas – essentially all locations where people live – overlook the benefits drones can provide to cities and will result in millions of Canadians not having the opportunity to realize the full potential of this emerging technology », said Brendan Schulman, DJI Vice President of Policy and Legal Affairs.

Schulman pointed to several problems with the draft regulations, including:

  • A mandatory $100,000 insurance requirement for any drone that weighs more than 250 grams – less than the weight of two hockey pucks – which will discourage schools, students and hobbyists from experimenting with drones in science, engineering or photography.
  • A requirement that drones cannot be flown within 100 feet of people, which would instantly make it illegal for millions of Canadians to fly a small drone in their own backyards.
  • A burdensome requirement for manufacturers to certify their products to still-undefined standards before performing certain professional operations in Canada, even though the same products have been allowed to perform the same operations in the United States for the past year.

DJI plans to submit detailed comments as part of the government’s consultation on these draft regulations and encourages drone users to do likewise. Comments must be submitted by Oct. 13, 2017 to the address at this link.

« An ideal regulatory regime would adequately mitigate the risk of injury and property damage while allowing innovators the freedom to experiment and to use drones with minimal burdens or barriers to entry. We look forward to providing feedback to suggest ways that these draft regulations can be turned into a set of rules that protect the public while encouraging innovation », said Eric Ebenstein, DJI Head of North America Public Policy.

DJI is a global leader in developing and manufacturing civilian drones and aerial imaging technology for personal and professional use. DJI was founded and is run by people with a passion for remote-controlled helicopters and experts in flight-control technology and camera stabilization. The company is dedicated to making aerial photography and filmmaking equipment and platforms more accessible, reliable and easier to use for creators and innovators around the world. DJI’s global operations currently span across the Americas, Europe and Asia, and its revolutionary products and solutions have been chosen by customers in over 100 countries for applications in filmmaking, construction, emergency response, agriculture, conservation and many other industries.

For additional information, please contact:
Adam Lisberg, DJI Corporate Communication Director, North America – adam.lisberg@dji.com

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(Source de l’image voir: www.commercemonde.com/2015/07/23m-plus-gros-drones-civile/ )

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L’AIESEC choisit Montréal pour établir son nouveau secrétariat international

L’annonce a été faite à l’occasion de son Congrès international, tenu à Carthagène, en Colombie. L’AIESEC, l’une des plus importantes associations au monde avec 50 000 membres étudiants et nouveaux diplômés, a expliqué « préférer Montréal aux autres métropoles finalistes » dans le cadre d’un processus d’appel d’offres qui avait été lancé en avril dernier, visant à choisir son nouveau siège social mondial.

« Montréal se démarque par son emplacement stratégique, sa stabilité économique, son coût de la vie compétitif et son environnement urbain sécuritaire. De plus, la communauté étudiante y est nombreuse et très active. Ses caractéristiques distinctives répondent parfaitement aux besoins de notre organisation et à notre mandat », a déclaré lors du congrès Niels Caszo, président de AIESEC International 2016-17.

MONTRÉAL INTERNATIONAL DÉCLASSE ROTTERDAM

Piloté par Montréal International, le projet de candidature de Montréal a été couronné de succès grâce à l’appui d’une trentaine de partenaires, ainsi qu’aux efforts concertés de Développement économique Canada pour les régions du Québec, du Ministère des Relations internationales et de la Francophonie du Québec et de la Ville de Montréal.

« Nous sommes ravis que l’AIESEC ait porté son choix sur Montréal et nous remercions la trentaine d’organisations qui ont appuyé sa candidature, notamment les regroupements et les établissements d’enseignement, de même que les organisations jeunesse et les entreprises du secteur privé. Cette solidarité et cette mobilisation ont été des facteurs décisifs dans le choix de l’AIESEC, lui laissant entrevoir tout le potentiel d’affaires dont elle pourra tirer parti pour croître et renforcer son positionnement à travers le monde », a déclaré Hubert Bolduc, pdg de Montréal International.

Le statut de Montréal à titre de meilleure ville universitaire au monde, attribué par l’organisation QS, a également joué en faveur de la candidature de Montréal, l’AIESEC ayant pour mandat de développer le potentiel de leadership des jeunes grâce à des échanges internationaux afin qu’ils soient notamment en mesure de contribuer positivement à la société.

« L’AIESEC est une organisation dont l’influence s’étend à travers le monde et qui bénéficie d’un statut consultatif auprès du Conseil économique et social des Nations Unies (ECOSOC), du Département de l’information des Nations Unies (DPI) et du comité permanent de l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) », a pour sa part fait remarquer le maire Denis Coderre, aussi président de la Communauté métropolitaine de Montréal.

L’AIESEC procèdera au déménagement de ses bureaux actuels, situés à Rotterdam, aux Pays-Bas, en septembre 2018. Elle viendra s’ajouter aux quelque 64 organisations internationales gouvernementales et non gouvernementales déjà présentes à Montréal, la plus importante communauté d’organisations internationales en Amérique du Nord, après Washington et New York.

Outre leur impact économique annuel de près de 300 M$, les organisations internationales bonifient le rayonnement international de la métropole, facilitent l’établissement de liens entre les entreprises d’ici et les réseaux internationaux et enrichissent le Québec d’une expertise unique. Depuis 1996, Montréal International – la seule agence de développement économique au monde ayant un programme dédié à l’attraction, à l’accueil et à l’expansion des organisations internationales – a attiré à Montréal environ la moitié des organisations internationales établies dans le monde.

Source de l’image: http://uclu.org/clubs-societies/aiesec-society

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