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Analyse d’un scandale : Justin… entre Spoutnik et Kamala!

Le troisième trimestre de 2020 n’est pas encore commencé, en cette année difficile pour tous, que le premier ministre du Canada est – pour la troisième fois – à la croisée des chemins: 1- la crise de gouvernance avec les Premières Nations, via un dramatique blocage ferroviaire national; 2- sa crise de leadership de gouvernance intergouvernementale avec la large majorité des provinces canadiennes, via les premières actions de réponses à une pandémie; et là, 3- en crescendo continue depuis les semaines estivales – avec même une intensité de plus en plus aigue – SA crise de gouvernance éthique, via le business de la philanthropie dans l’affaire UNIS (WE Charity).

L’affaire WE Charity est-elle un scandale majeur? Le ministre des Finances, ainsi que le premier ministre du Canada, doivent-ils démissionner? Comme le demandent dorénavant deux des chefs de parti des oppositions au Parlement canadien. Comme voudra probablement le pousser, cela jusqu’en pleine campagne électorale précipitée qu’il pourrait maintenant provoquer, ce prochain chef de l’Opposition officielle au Parlement canadien, dont nous saurons d’ici une semaine le nom (le vote des militants sera clos le 21 août au soir et provoquera la phase finale de la course à la direction du Parti conservateur du Canada, qui avait cours depuis des mois). Tout ça malgré un contexte mondial difficile?

Car déjà historique, l’année 2020, l’an 1 de la Covid-19, ne se terminera pas sans le dénouement, sur la scène mondiale, de trois grands enjeux fondamentaux pour l’avenir immédiat de l’humanité. De ce monde, d’abord, bien coincé entre crise sanitaire et crise écologico-climatique; coincé justement, comme ce Canada : entre les États-Unis d’Amérique au Sud et la Russie au Nord. Ce monde, secundo, partiellement séduit par les opérations de relations publiques du président d’une Russie conquérante, qui rappelle le fier passé de l’ère soviétique – l’époque Spoutnik de la conquête spatiale – pour alimenter la fierté de demain d’une ère poutinienne en cours, vantant (et vendant!) son « vaccin » Spoutnik V. Ce monde, tertio, que veut séduire, lui aussi, le ticket maintenant connu du Parti démocrate américain pour le vote présidentiel du 3 novembre 2020. Ici avec un demi clin d’oeil osant par là rappeler un pas du tout fier passé de l’époque esclavagiste (aux USA via le tristement célèbre Commerce triangulaire, qui exploita indignement une Afrique soumise à une Europe alors officiellement coloniale… avec la Jamaïque incluse!) Ce, donc, pour lancer la fierté de demain d’une éventuelle ère Biden-Harris, avec Kamala Harris mère d’une diversité mise enfin au podium. Pour ce monde où le Canada, lui, depuis sa création, demeure géographiquement toujours coincé entre deux géants de la géopolitique mondiale.

Que peut faire Justin Trudeau, coincé entre Washington et Moscou? Que peut faire Justin Trudeau, en même temps coincé avec son Canada dangereusement déséquilibré en matières énergétiques à l’interne, en plus d’avoir été tout dernièrement magistralement giflé en politique extérieure : n’oublions pas son score-catastrophe lors de SA tentative pour faire siéger son pays au Conseil de sécurité des Nations unies.

Comme pour la politique de la chaise vide qui a ses risques, la décision de rester assis entre deux chaises demeure toujours pleine de périls. Gouverner c’est choisir. Choisir. Choisir comme de s’associer, directement, indirectement, par sa famille, via son gouvernement, même en y mêlant la fonction publique de son pays. L’homme politique qu’est Justin Trudeau en 2020 témoigne pleinement de la difficulté de survivre dans un monde excessivement complexe. Pour le Canada, il n’a par ailleurs jamais été simple d’être un grand-petit pays installé entre les deux supers puissances du temps. La première, dite par plusieurs menacée de déclin; la deuxième, dite par d’autres menaçante par son regain. Même avec toutes les meilleures intentions du monde, il est difficile de répondre aux besoins changeants en matière de transparence et d’éthique à l’heure du monde numérique, en plein monde des technologies de l’information et de la communication, c’est TIC quasi-automatiques, humainement instantanée, imposant donc aux humains l’instantanéité du partage de l’information, et aussi des nouvelles, et conséquemment de leur contrepoids : News vs. Fake News (un combat à finir, en ce cas-ci). Il s’agit même d’un appel cruel au bon jugement, tout comme aux bons niveaux de conscience et d’éducation du citoyen en société, surtout en contexte démocratique!

Celui qui n’a pas pattes blanches ou qui ne montre pas patte blanche, ou qui n’est pas perçu tel, est menacé de disparaître.

C’est ceci qui menace présentement le premier ministre du Canada, voire tout son gouvernement – actuellement en situation minoritaire au Parlement – si une élection lui était imposée.

Ce qui n’est aucunement le cas, pour l’instant, du chef de son voisin du Nord.

Ce qui pousse d’autant plus à se tourner sur qui sera le prochain chef de son voisin du Sud: un Donald Trump renouvelé avec son même colistier, ou un Joe Biden avec Kamala Harris. Une Kamala Harris d’ailleurs clairement proposée au peuple étatsunien comme éventuelle première politicienne métisse présidente des États-Unis d’Amérique; et l’on parle ici d’un message particulièrement fort, alors qu’il s’agit toujours de la première puissance mondiale.

Analyse d’un scandale

Que doit faire Justin Trudeau? Ou plutôt que doit-on faire de Justin Trudeau?

L’affaire WE Charity réussit à attirer l’attention en pleine pandémie de la Covid-19 pour deux principales raisons : d’abord c’est un scandale majeur, ensuite leurs auteurs sont difficilement saisissables, voire insaisissables.

« Comment l’actuel ministre des Finances a pu oublier de ne pas avoir payé des voyages familiaux et les rembourser plusieurs années plus tard, mais à la veille de témoigner? La mémoire lui est revenue vite! Comment identifier UNIS comme seul organisateur capable de gérer un tel programme, quand il y en a plusieurs autres aussi aptes? Parce qu’ils ne donnaient pas des contrats à la famille Trudeau? Comment, avec les experts de l’Agence de revenus du Canada (ARC) on ne peut analyser le modèle d’affaire de l’organisme sans but lucratif, faire son dépistage, avec ses relations avec une société, à but lucratif celle-là, et même très lucrative, si on se fie aux actifs qu’elle a pu accumuler et aux salaires octroyés aux deux frères fondateurs? Comment des fonctionnaires, habituellement jaloux de leur budget et de leur fonction, recommanderaient au gouvernement de confier la gestion d’un tel programme d’une telle ampleur? Comment peut-on jouer sans vergogne avec le budget dudit programme : lancé à 900 millions de dollars, rapidement passé à quelque 700 M$, puis réévalué à environ 500 millions par les principaux intéressés? Comment les honoraires pour gérer ce programme ont pu passer de 19 à 40 millions, malgré un budget plus bas au final? Comment on demandait de la reddition de compte étoffée, avec des états financiers vérifiés, à tous les organismes qui reçoivent des subventions de quelques dizaines de milliers de dollars, pour ici l’annuler? Comment vouloir encourager des jeunes à faire du bénévolat… en les payant? Ce n’est plus du bénévolat! Plus tard, ils voudront toujours être rémunérés pour faire du bénévolat, entre guillemets, ce qui laminera cette économie essentielle pour les secteurs de la culture, des sports, et de la santé, notamment. Comment avoir foi en un organisme dont le conseil d’administration avait démissionné en bloc?

Que dire de leurs 65 communications avec l’État, en 2019 et 2020, sans avoir été au registre des lobbyistes? Comment ne pas penser que c’est culturel, bien enracinée dans l’ADN d’une certaine classe politique, qui ternit tout le monde politique dont l’image n’est déjà pas fort, dans la lignée de scandales tels que celui des Commandites, et de combien d’autres qui n’ont pas été découverts et étouffés? Comment pouvoir passer sous silence ces échanges de banques de données personnelles d’un organisme angélique à un parti politique? Enfin, comment traiter ces questions de façon détachée, le premier ministre s’excusant avec des larmes et des regrets, la main sur le cœur, plutôt que tous les rassembler en prison », analyse notre expert consulté (un comptable senior qui a préféré nous demander le respect de son anonymat).

Contexte d’une gestion de crise… en contexte de crise

Entre Moscou et Washington, le Canada a toujours choisi la seconde. Mais le monde ne fonctionne plus à deux superpuissances, depuis la mutation de 1989-92 avec la mise au rencard de l’époque de la Guerre froide. (La possession massive des armes nucléaires n’est plus l’essentiel. Ce serait plutôt la maîtrise pleinement sécurisée de l’énergie nucléaire, avec particulièrement la technologie de la micro-centrale, qui le serait.)

Au surplus, Ottawa regarde autant sinon plus Pékin que Moscou, voire Washington… ses temps-ci.

Alors que de Pékin à Tokyo, de Paris à Londres en passant par Berlin, de New Delhi à Brasilia et Pretoria en passant par Riyad, Téhéran, Jérusalem ou du Caire à Dakar en passant par Abuja, l’humanité entière vit au rythme des pôles de pouvoir multiples. Un monde multipolaire, instable, voire insaisissable! Là, qui dit que la petite – mais toujours stratégique – Biélorussie ne va pas embraser toute l’Europe et faire jouer un rôle inattendu à l’Union européenne, ou à l’OTAN… Voire, aux USA, faire glisser une campagne présidentielle… qui de toutes manières restera insaisissable jusqu’au 3 novembre au soir?

« L’autre manière de procéder consiste à inoculer avec l’accord de ceux voulant été vaccinés. Mais il y a des normes éthiques internationales à respecter : on doit protéger les gens entre la décision qu’ils pourraient prendre sans être complètement conscients (…) Il faudrait les informer de toutes les conséquences à long terme (…) On imagine que ça diminuera probablement le nombre de volontaires… », ainsi s’expliquait Nathalie Grandvaux, la directrice du Laboratoire de recherche sur la réponse de l’hôte aux infections virales au Centre de recherche du Centre hospitalier universitaire de Montréal (CHUM), dans l’édition papier du mercredi 12 août 2020 du quotidien montréalais Le Devoir, questionnée sur les meilleures stratégies pour trouver un bon vaccin face à l’actuelle pandémie de la Covid-19 et toute la question du respect des phases 1, 2 et 3!

Évidemment, avec son 2/3 de vaccin Spoutnik 5, la Russie témoigne à sa manière de son ambition en la matière et en bien d’autres, faisant référence ici à ses victoires scientifiques, technologiques et politiques d’hier à la suite de la mise en orbite du satellite du même nom, en pleine Guerre froide, dans les années 1950-60-70. Et ça marche : une vingtaine de pays-amis se sont félicités de cette ruse russe en plaçant des précommandes sans toutes les assurances de qualité (selon les normes éthiques occidentales). Mais Vladimir Poutine n’a-t-il pas fait son annonce faste tout en précisant qu’une de ses propres filles avait volontairement reçu sa dose… Pauvre enfant!

Le président Poutine en avait fait une priorité. Un geste tout à son honneur. Apparente noble quête d’un vaccin, pour gagner face à la Covid-19! C’est dans la manière que les questions arrivent… On doit se souvenir qu’il a été mis au point par un centre de recherche en épidémies en collaboration avec le ministère de la Défense de la Russie (merci à la source : Agence France-Presse).

De l’affaire canadienne WE Charity aux affaires russes « Spoutnik V inc. » et autres; des News aux Fake News… devenues dangereusement virales aux USA. Dans un monde idéal, pour une humanité en meilleure position, il y aurait « des normes éthiques internationales à respecter ».

Oui!

Amenez-en SVP!

Merci Covid-19 : quand un virus sauve l’humanité, l’Olympisme et les David du monde

19-03-2020… il y a trois jours, avec ce passage entre le 19 et le 20 du troisième mois de l’an, c’était l’arrivée du printemps en cette drôle d’année bissextile : la 2020. Un printemps spécial, relativement rare parce que un en quatre, mais dorénavant « Historique », car premier printemps de la vie sur Terre avec, et à venir, post-Covid dit 19.

Oui la machin Covid, la saleté Covid, l’ennemie Covid; mais peut-être finalement l’ « ami » Covid ? Et Covid-19, pas pour sa relation avec le 19 mars bien sûr, mais à cause de son année de naissance sur la planète, et précisons-le bien ici : la planète web et/ou réelle sur la Terre. Oui la doublement planète (voire le dédoublement de planète!) que nous habitons (que nous nous appliquons!) dorénavant; la planète web, autant que la planète réelle.

23-03-2020 / Lundi 23 mars de l’an 2020 – Communications très spéciales / Faits troublants

  • Québec, Canada, semaine 2 du monde covidien
  • Wuhan, Chine, mois 2 du monde covidien
  • Washington D.-C., USA, jour 2 du monde covidien

Même date, pourtant trois mondes en évolution, fort possiblement en révolution (que vous soyez conspirationniste ou pas, c’est sans différence, car ça roule de toute manière…) Maintenant, voici trois faits, via trois perspectives, 3 points de vue indéniables…

Québec, Canada, semaine 2 du monde covidien

Le point de vue le plus facile pour moi, qui me suis levé ce matin dans ma ville d’origine : Québec. En entendant la radio, ce matin, à 06 h 00, on y disait en première nouvelle que le Canada est devenu le premier pays à dire à Tokyo et au CIO qu’il gardera ses athlètes olympiques à la maison, en sécurité et en santé. Bref, qu’il vote ainsi pour un report du rendez-vous olympien de l’été 2020. Bon, c’est parti ici aussi! Et je me dis que ceux qui disent encore que le monde olympique (surtout le CIO) n’est pas TOTALEMENT une affaire politique, bien avant l’accomplissement sportif, d’abord et avant tout, eh bien ils devraient enfin en convenir… Et en même temps, je me sens fier de ce pays qui m’a fait et qui démarre ma journée avec du gros bon sens.

Et je change de poste radio pour les nouvelles ailleurs… Premier jour de la semaine 2 du monde covidien à la québécoise, on constate que le choc de la décision gouvernementale d’hier de serrer d’un autre tour la vis du contrôle de la population – pour son propre bien collectif – passe avec moins d’acceptabilité sociale que les décisions initiales de l’état de gestion de crise sanitaire du lundi précédent.

Wuhan, Chine, mois 2 du monde covidien

En même temps, le point de vue pris en toute conscience et dans la perspective de la vie quotidienne à Wuhan, en Chine, ce matin, 23 mars 2020… Wuhan, cette mégalopole chinoise, point de départ de la pandémie virale de la Covid-19 il y a quelques mois (2, 3 ou 4 ? on le saura vraiment éventuellement)… Donc, le point de vue de l’origine du plus grand problème pour l’humanité en ce moment. C’est une nouvelle positive, ENFIN: c’est zéro nouveau cas localement ce jour-là; l’affaire semble bien sous contrôle. Enfin. Merci la Chine! (N.B.: prière de noter que le monde restant attend aussi tes vrais chiffres de victimes, de décès et de dommages collatéraux.) Chine qui – double bonne nouvelle – envoie dorénavant ses experts dire quoi faire aux Italiens, aux Espagnols, aux Européens globalement, tous en état exponentiel de développement de la même dite crise sanitaire.

Washington, jour 2 d’un monde covidien

Et toujours en même temps, on ourdit aussi un autre point de vue pris toujours en toute conscience et dans la perspective, cette fois, de la vie à Washington D.C. (USA) ce toujours matin du 23 mars 2020… Washington, capitale, capitale hautement politique en ce que l’exercice du pouvoir politique peut encore actuellement avoir de plus mondial… Capitale de l’exercice d’un pouvoir politique présentement entre les mains, le jugement et l’état de conscience, et les limites, d’un seul humain; homme à la tête d’un système politique contrôlant tout de même, indéniablement et jusqu’à nouvel ordre, la 1er puissance militaire, énergétique, nucléaire (civil et militaire), financière, monétaire, scientifique, académique et certainement encore culturelle (Hollywood, etc.) de la Terre. Et qu’est-ce que la radio me partage cette fois? Que l’état de son système de santé global (national, autant que dans chacun des 50 États de la fédération que sont les États-Unis d’Amérique) annonce bien des faiblesses dans un pays qui, autant via les compagnies d’assurance que par l’accès en non-gratuité à ses soins de santé (prévention / diagnostique / traitement) laisse poindre bien de la peur, ce pour l’avenir immédiat comme à court terme.

Ajout à l’image…

Il y a 5 ans New Delhi, mégalopole par excellence de l’Inde, méritait le triste titre de la ville la plus polluée du monde. Et, plus récemment, elle accueillait plus d’1 million de nouvelles voitures en moins de douze mois. Hier, 22 mars 2020, nous avons reçu via courriel cet avis des services diplomatiques du Canada en service en Inde :

india.consular@international.gc.ca

Dim 2020-03-22 14:50

Dear Canadian Citizen,

You are receiving this email because you are registered with the Government of Canada’s Registration of Canadians Abroad (ROCA) service.


Beginning on Monday March 23, Delhi will be on lockdown until midnight of March 31. The majority of states and Union Territories in India have similarly announced full or partial lockdowns effective immediately and extending up to March 31. At the time of drafting, full or partial lockdowns, as well as suspension of non-essential government services, have been announced for Delhi, Rajasthan, Punjab, Gujarat, Odisha, Tamil Nadu, Karnataka, Nagaland, Andhra Pradesh, Telangana, Bihar, Haryana, Maharashtra, Kerala, Goa, West Bengal, Uttar Pradesh, Madhya Pradesh, Chhattisgarh, Arunachal Pradesh, Jammu & Kashmir and Mizoram.

In states affected by lockdown conditions, local authorities are appealing to all persons to stay indoors and only leave if necessary to acquire essential items. In Delhi, all forms of public transport – including private buses, taxis, autos, e-rickshaws – will be curtailed during the lockdown and in many instances will not be allowed to operate. Inter-state buses, trains, and metro services will also be suspended. Shopping malls, markets, offices and places of worship will remain closed. The borders of Delhi with adjoining states will be sealed throughout the lockdown, although the movement of essential services will be allowed. To date, local authorities have indicated that domestic flights to and from Indira Gandhi International Airport in Delhi will continue to operate.

As this is a rapidly evolving situation and new government measures may be announced with little warning, we recommend that you regularly monitor local media in order to stay abreast of latest developments. Please continue to follow the advice of local authorities.

We continue to provide consular services to assist Canadians who remain in India. Canadians in need of emergency consular assistance in India should email: india.consular@international.gc.ca or as a back-up, contact the Emergency Watch and Response Centre in Ottawa sos@international.gc.ca or call +1-613-996-8885 (email is highly recommended given call volumes and wait times). For those who have not already shared their current information by phone or email, please include the following in your email correspondence when you write the above address (es): you full name, passport number, flight info (whether the flight is cancelled or not) and your contact information.

If you are currently outside Canada and need emergency financial assistance in the form of a loan, you can contact CAN.finances.CV19@international.gc.ca .

If you have left India, and have no intention to return there in the near future, please send an email to our Registration of Canadians Abroad email address at roca@international.gc.ca to end the registration of this trip in our system.


Consular Services
High Commission of Canada
New Delhi, India

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Cher citoyen canadien,

Vous recevez ce courriel parce que vous êtes inscrit au service d’enregistrement des Canadiens à l’étranger (ROCA) du gouvernement du Canada.

À partir du lundi 23 mars, Delhi sera verrouillée jusqu’à minuit le 31 mars. La majorité des États et des territoires de l’Union en Inde ont également annoncé des fermetures complètes ou partielles en vigueur immédiatement et s’étendant jusqu’au 31 mars. Au moment de la rédaction, des fermetures partielles ainsi que la suspension de services gouvernementaux non essentiels ont été annoncées pour Delhi, Rajasthan, Punjab, Gujarat, Odisha, Tamil Nadu, Karnataka, Nagaland, Andhra Pradesh, Telangana, Bihar, Haryana, Maharashtra, Kerala, Goa, Bengale occidental, Uttar Pradesh, Madhya Pradesh, Chhattisgarh, Arunachal Pradesh, Jammu & Kashmir et Mizoram.

Dans les États touchés par les conditions de verrouillage, les autorités locales appellent toutes les personnes à rester à l’intérieur et à ne quitter que si nécessaire pour acquérir les articles essentiels.

À Delhi, toutes les formes de transport public – y compris les bus privés, les taxis, les automobiles – seront réduites pendant le verrouillage et, dans de nombreux cas, ne seront pas autorisées à fonctionner. Les bus, trains et métros interétatiques seront également suspendus. Les centres commerciaux, marchés, bureaux et lieux de culte resteront fermés. Les frontières de Delhi avec les États voisins seront scellées tout au long de la fermeture, bien que la circulation des services essentiels soit autorisée. À ce jour, les autorités locales ont indiqué que les vols intérieurs à destination et en provenance de l’aéroport international Indira Gandhi de Delhi continueront de fonctionner.

Étant donné que la situation évolue rapidement et que de nouvelles mesures gouvernementales peuvent être annoncées avec peu d’avertissement, nous vous recommandons de surveiller régulièrement les médias locaux afin de rester au courant des derniers développements. Veuillez continuer de suivre les conseils des autorités locales.

Nous continuons de fournir des services consulaires pour aider les Canadiens qui restent en Inde. Les Canadiens qui ont besoin d’une aide consulaire d’urgence en Inde doivent envoyer un courriel à: india.consular@international.gc.ca ou, en guise de soutien, communiquer avec le Centre de surveillance et d’intervention d’urgence à Ottawa sos@international.gc.ca ou appeler le + 1-613-996-8885 (le courrier électronique est fortement recommandé étant donné les volumes d’appels et les temps d’attente). Pour ceux qui n’ont pas déjà partagé leurs informations actuelles par téléphone ou par courriel, veuillez inclure les éléments suivants dans votre correspondance par courriel lorsque vous écrivez les adresses ci-dessus: votre nom complet, numéro de passeport, informations sur le vol (que le vol soit annulé ou non) et vos coordonnées.

Si vous êtes actuellement à l’extérieur du Canada et avez besoin d’une aide financière d’urgence sous forme de prêt, vous pouvez contacter CAN.finances.CV19@international.gc.ca.

Dans l’éventualité où vous auriez déjà quitté l’inde et n’auriez aucune intention d’y retourner à court terme, veuillez envoyer un courriel à l’adresse roca@international.gc.ca (Inscriptions des Canadiens à l’étranger) afin de mettre un terme à votre inscription pour ce voyage.

Services consulaires
Haut-commissariat du Canada
New Delhi, Inde

Un et un faisant deux, après la crise environnementale attaquant durement depuis plusieurs années un des deux pays les plus populeux de la Terre, voilà qu’après la Chine il subit le choc de la Covid-19. Et donne sa réponse à sa manière. Bonne chance Inde. Bonne chance aux Indien-ne-s surtout.

Retour sur l’image…

Covid-19 qui es-tu? Pourtant il ne faut reculer que de quelques mois, en juin 2019 par exemple, pour t’ignorer totalement. Oui, qui alors parlait de toi? Paris – voire le monde – parlait plutôt de fin du monde, du monde industriel, de fin du monde purement capitaliste, de crise climatique, du dérèglement du climat planétaire, voire de « colapsologie » et de l’émergence, du développement rapide, du survivalisme.

Mais même pas douze mois plus tard, un brin d’année plus loin, il ne reste que les conscients de toutes natures (un peu conscients, les pas mal, les assez conscients, les très, les trop… Jusque aux pas assez et pas du tout, voire les inconscients aussi en forçant le réflexion) pour constater l’état réel de la planète.

Personne pour continuer de parler de l’état environnemental de la Terre. Mais commotion mondiale pour parler de l’état menacé de l’humanité, attaquée sauvagement par la Covid dite No. 19 de par sa famille virale. Non, ce n’est pas un virus informatique. Ce n’est pas de la famille des « fake news » non plus. C’est du pur bio, bien que pas vivant, car un virus n’est pas vivant (c’est ce que nous apprend la science moderne). C’est pourtant bel et bien un produit de notre Univers, de la nature. Un produit cependant trop nouveau pour la conscience et la connaissance des humains; humains se révélant cette fois-ci bien petits face à lui, virus pourtant minuscule, microscopique.

Démunis, momentanément sans remède, les humains se lancent en quête de solutions et il y a donc course folle aux vaccins, évidemment et pour cause. Car il faut en sauver le plus possible. Il y a URGENCE, bien sûr. Gardons, protégeons, sauvegardons SVP notre éthique d’humains compatissants et solidaires. C’est essentiel! Tout en maintenant aussi une pensée pour après, pour l’après. Collectivement, ayons de la VISION… Gouverner, n’est-ce pas aussi prévenir, prévoir, préparer…

Ceci bien dit, revenons à l’urgence, la priorité: contenir Covid-19. Virus, vaccins. Qui dit vaccin dit science, progrès de la science…

Mais permettons-nous cette autre question, entre les faits:

L’avenir de TOUTE l’humanité peut-il être seulement confié à la science, à la R&D, au progrès technologique et de la technique?

Zoom sur une image…

COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Monday, March 23, 2020 05:00 EDT

Nouvelle gamme de fils Castolin Eutectic EnDOtec SAFE-HARD 600 –
Inspirés par la sécurité, conçus pour la performance

Castolin Eutectic a le plaisir de vous présenter sa nouvelle gamme de fils EnDOtec Safe-Hard 600, exempte de chrome et de nickel et dont la faible émission de fumées respecte les limites européennes d’exposition professionnelle les plus strictes.

Après deux ans de recherches et de tests en laboratoire et sur le terrain, le Safe-Hard 600 arrive sur le marché pour offrir de meilleures performances et un risque absolument nul d’émissions de CrVI provenant du matériau de soudage.

Inspirés par la sécurité – Nous nous efforçons d’éliminer le CrVI de l’environnement de travail
Dans le monde, on estime à 11 millions de personnes le nombre de soudeurs professionnels, et à 110 millions de plus les personnes qui sont probablement exposées à des fumées de soudure. Les facteurs déterminants de l’exposition sont le procédé, le matériau soudé, la ventilation, le degré de confinement et l’utilisation de la protection individuelle. Le chrome hexavalent (CrVI) est le chrome de tout composé chimique qui contient l’élément Cr à l’état d’oxydation +6. Le CrVI peut se former lors du soudage sur différents matériaux de base et en utilisant différents métaux d’apport. Un effet critique des composés contenant du chrome hexavalent (CrVI) est le cancer du poumon, parmi d’autres problèmes physiques comme l’hypersensibilité, la corrosion cutanée, l’irritation des voies respiratoires et celle du tractus gastro-intestinal. La Directive européenne 2017/2398 fixe la limite d’exposition professionnelle (LEP) pour le Cr(VI) à 0,025mg/m3, ramenée, au bout de 5 ans, à 0,005mg/m3. Des exigences plus strictes sont déjà en place dans des pays comme l’Allemagne, la France et les États-Unis.

Les fumées du Safe-Hard 600 ne contiennent pas de CrVI. Mission accomplie ! Conçus pour la performance   
Chez Castolin Eutectic, en tant qu’experts en rechargement, nous plaçons toujours les soudeurs et les travailleurs à proximité au coeur de nos considérations. Le métal d’apport le plus populaire sur le marché du rechargement dur est le type de fil 600 HB, dont la résistance est basée sur la chimie 9%Cr et 0,6%C. Selon les chiffres de l’Association européenne du soudage, nous pouvons estimer à 1 000 tonnes le volume de fil fourré et à 1 800 tonnes le volume de fil plein utilisés rien qu’en Europe. Les émissions de CrVI provenant de ce grand volume de matériau de soudage sont potentiellement très dangereuses pour les soudeurs et les travailleurs à proximité. La principale caractéristique de ce type de fil est le bon équilibre entre la résistance à l’abrasion et aux chocs à un prix moyen intéressant. Le nouveau EnDOtec SAFE-HARD 600 est un fil à âme pleine, avec les avantages bien connus qu’il présente, qui peut donc couvrir à la fois les applications de fil fourré et de fil plein avec une valeur ajoutée. Son excellente chimie, renouvelée, améliore la résistance à l’abrasion et aux chocs par rapport au 600HB traditionnel, sans risque de fissuration.  

Pas seulement sûrs, mais aussi beaucoup plus performants.
L’extraction et la filtration des fumées sont toujours obligatoires. Le Safe-Hard contribue activement à réduire le risque, mais la protection personnelle et toutes les règles de sécurité doivent aussi être prises en compte et respectées.

Retour sur l’image (2)…

L’avenir de TOUTE l’humanité doit-il être seulement confié à la science, à la R&D, aux progrès technologiques?

Non. En bonne partie oui (pour le bon de la partie), mais pas oui en totalité. Voilà, encore, une donnée factuelle, s’imposant avec l’élément du gros bon sens.

UN VIRUS
RÉGULANT NATURELLEMENT
UNE PLANÈTE
FINALEMENT BIEN VIVANTE

Et ne peut-on pas affirmer, au surplus, que l’avenir sera celui que la société civile, l’humain à la base, se donnera dans chacun de ses territoires de vie, de présences et de consciences, en harmonie avec ceci? Et non plus en combat?

Conséquemment, cet avenir nécessiterait des changements. Ce meilleur avenir nécessiterait DONC un changement… Non pas la fin brutale du capitalisme industriel, non pas la fin du monde, etc… Pourquoi pas simplement un changement… de conscience! Non pas une Révolution… mais une Évolution. Car une véritable et efficace Révolution c’est simplement un CHANGEMENT de CONSCIENCE. Un humain changé, amélioré, plus en conscience de son état avec son environnement, dans l’Univers autant que sur sa petite planète, la Terre.

Et pourquoi pas un monde (poursuivons plus loin) sans la lutte d’un David qui voudrait cupidement juste gagner pour remplacer le riche et puissant Goliath? Un monde libre, plus libre, libéré. Un monde simplement de nouveaux citoyens. De citoyens du monde.

Qui ne rêve pas d’un monde dans lequel personne ne mourra pour rien? Personne ne dira merci à la Covid-19 pour avoir fait mourir un proche, un ami, un voisin, un humain comme lui. Un mort est toujours un mort de trop pour un humain solidaire et éthique. Mais si la Covid-19 réussissait à faire élever la conscience des humains face à eux-mêmes, autant comme unité d’un tout que face à leur totalité globalement, avec le recul du temps, on pourra peut-être le faire… Car cette saleté nous aurait finalement sauvée, nous l’HUMANITÉ qui menace présentement et encore la Terre.

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Si vous souhaitez mieux comprendre, ajustez votre niveau de conscience et bâtir votre nouvelle conscience et attitude d’humain résilient et survivant :

https://www.youtube.com/watch?v=v9RED5PMHU0

http://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2020/03/18/covid-19-fin-de-partie-305096.html?fbclid=IwAR18V1PZuJCewcn1EN6Ha4nVf9M_oxoiezRMSpBOYHWStecw5awPOJtR9p0

Puis également le fruit de trois jours/soirs de travail créatif, fait en état de compassion et dans le plus grand plaisir…
En français : youtube.com/watch?v=6rEyWJAY_a0&list=PLpzEzgsMM189Nob5h7nNhArwkmCSpkTsx&index=6&t=0s

Et anglais : youtube.com/watch?v=Qx3XSDinEoY&list=PLpzEzgsMM189LFoNDMW__BAmXL6EZrbTg&index=6&t=0s

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SFIM : 1er sommet pour rassembler les femmes du secteur industriel dans le monde les 13-14-15 novembre 2019

« Une première mondiale! » d’affirmer l’initiatrice du SFIM, le Sommet mondial des femmes dans l’industrie manufacturière. Un sommet pour rassembler des femmes œuvrant dans le secteur industriel au Québec, au Canada et dans le monde, sous le thème « Industrie 4.0 au Féminin », qui se tiendra les 13, 14 et 15 novembre 2019, à Montréal.

« L’idée du sommet est venue d’un constat : Collectivement, les femmes représentent plus de 26 % de la main-d’œuvre industrielle, mais celles-ci demeurent encore invisibles ou ne disposent pas ou peu de tribunes pour faire prendre conscience de leur rôle moteur dans l’avenir de l’industrie manufacturière à l’ère de la robotisation et de l’intelligence artificielle », de continuer Sâadia Lakehal.

Madame Lakehal, elle même très bel exemple d’entreprenariat au féminin, microbiologiste, administratrice, immigrante d’Afrique du Nord, participe en leader à l’animation économique de l’Est de Montréal, notamment avec l’Association interindustrielle de Montréal (AIIM), depuis plusieurs années. Sans cesse tournée vers l’innovation, la nécessité de l’économie circulaire, la vision de l’inter-industriel, Sâadia Lakehal fonce maintenant avec un agenda qui ne manquera pas de soulever de l’intérêt au Québec. Le rôle des femmes, la place des femmes, l’importance de l’entreprenariat féminin dans les milieux économique et des affaires furent pleinement sur la place publique, ces dernières années au Québec et particulièrement à Montréal. Et le réseau international que le 1er SFIM amènera, pour trois jours, à Montréal, ne sera pas sans stimuler les femmes leaders du pays entier.

C’est que Sâadia Lakehal est une femme très bien réseauté en Afrique et en Europe, et la programmation de son sommet affiche déjà des noms imposants :

  • Denise Tshisekedi, première dame de la République démocratique du Congo;
  • Aissatou Sophie Gladima, ministre des mines du Sénégal;
  • la Dr Pierrette Herzberger Fofana, députée de l’Union européenne;
  • Lilla Merabet, vice-présidente, Région Grand Est, France;
  • Zahra Maafiri, D-G Commerce, au ministère de l’Industrie, de l’Investissement, du Commerce et de l’Économie numérique du Maroc;
  • Eve Psalti, Head of Strategic Platforms, Google Cloud.

Partenariat Montréal-Mulhouse

Le Salon de l’industrie du futur Mulhouse Be 4.0 est par ailleurs partenaire du rendez-vous montréalais.

De plus, le sommet « Industrie 4.0 au Féminin » de Montréal veut être une plateforme internationale qui permettra aux femmes œuvrant dans le secteur manufacturier de prendre la parole et d’être au cœur des changements qu’elles souhaitent voir naître dans l’industrie… à l’heure de l’industrie 4.0. Il s’agira donc d’une excellente occasion pour les chefs d’entreprises, hommes ou femmes, de s’inspirer d’histoires à succès. Et l’événement s’annonce aussi comme une tribune pour faire rayonner les entreprises du secteur industriel du Québec sur la scène internationale.

Durant les deux jours du sommet, des femmes et des hommes inspirants présenteront des conférences collaboratives, des ateliers ouverts, en participant à des panels interactifs. Le programme comprend déjà plusieurs conférences, panels de discussion, ateliers pratiques, ainsi qu’un salon d’exposition 4.0 au féminin, en plus de séances de réseautage, d’un gala d’excellence et de visites industrielles.

Le sommet veut être « une plate-forme qui réunira des centaines de femmes d’influence » d’Amérique, d’Europe et d’Afrique avec pour objectif « de dynamiser les femmes manufacturières quant à l’adoption du numérique », insiste madame Lakehal.

Une soirée de gala et de remises de prix d’excellence clôturera d’ailleurs l’événement, le 15 novembre. Des distinctions visant à récompenser dix femmes manufacturières ayant contribué de façon exceptionnelle au développement de l’industrie sont prévues.

Mission : mettre les projecteurs sur les femmes dans l’industrie manufacturière, accroître la visibilité des femmes dans l’industrie, encourager les femmes entrepreneures à faire carrière dans les secteurs manufacturiers et à se convertir au numérique.

Pour plus d’informations sur le sommet http://women-inmanufacturing.ca

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Bridor ajoute 200 millions $ sur cinq ans d’investissement dans ses sites nord-américains à Boucherville et Vineland

Bridor, qui est déjà un chef de file de la boulangerie européenne en Amérique du Nord, vient d’annoncer qu’elle continue d’innover. Elle consacrera un investissement de 200 M de dollars canadiens sur 5 ans pour ses sites de production nord-américains, dont 170 millions à son usine de Boucherville, au Québec. Au terme du projet, Bridor y aura agrandi son bâtiment et installé de nouvelles chaînes de production afin d’accroître sa capacité de production de viennoiseries de 68% dès 2020. La multinationale française voit donc l’Amérique du Nord « comme un marché essentiel » afin de franchir le cap du milliard d’euros de chiffre d’affaires à l’échelle mondiale, visé pour 2021.

Bridor vient d’annoncer
le plus important investissement de son histoire
en Amérique du Nord

C’est que Bridor, qui souligne en 2019 ses 35 ans d’existence en Amérique du Nord, a de très bonnes raisons d’y poursuivre des affaires :

  • L’usine Bridor de Boucherville détient l’expertise unique d’un centre de R&D interne qui compte une quinzaine de boulangers chevronnés et expérimentés. Et pas moins de 30 experts en assurance de la qualité y veillent quotidiennement à offrir aux clients un produit de la meilleure qualité, répondant aux exigences les plus strictes en sécurité alimentaire.
  • Chaque jour, près de 700 types de produits signés Bridor sont livrés au Canada et aux États-Unis.

Bridor, qui emploie actuellement en Amérique plus de 800 personnes – 600 au Canada et 200 aux États-Unis – vient, du même coup, lancer un plan de recrutement prévoyant la création d’environ 100 nouveaux emplois au Canada et tout autant aux États-Unis.

« Dans un secteur hautement compétitif, Bridor n’a cessé d’innover d’année en année pour assurer sa croissance soutenue et son leadership et continuer à doubler son chiffre d’affaires tous les 5 ans. Présents sur tous les continents, nous souhaitons continuer à partager notre savoir-faire de maître boulanger au plus grand nombre, et à faire bénéficier nos clients du meilleur de la boulangerie », a d’ailleurs déclaré Philippe Morin, d-g de Bridor, devant les centaines d’invités reçus à Boucherville le 30 septembre 2019.

Dont les membres d’une délégation de quelque 200 entrepreneurs et chefs d’entreprises de Bretagne en visite d’affaires au Québec.

C’est qu’il y avait effectivement beaucoup de monde pour les célébrations du 35anniversaire de Bridor en Amérique du Nord : notamment le président fondateur, Louis Le Duff. Mais aussi le ministre de l’Économie et de l’Innovation du Québec et ministre responsable de la région de Lanaudière, Pierre Fitzgibbon, sa collègue ministre de la Culture et des Communications, Nathalie Roy, l’ambassadrice de France au Canada, Kareen Rispal, la consule générale de France à Montréal, Sophie Lagoutte, ainsi que le maire de Boucherville, Jean Martel.

Au ministère québécois des Relations internationales et de la Francophonie on se réjouissait évidemment de la visite au Québec de la 20e mission d’entreprises de Bretagne dans un tel contexte, alors que l’augmentation des relations économiques entre la France et le Québec est une priorité gouvernementale.

« Le succès de Bridor réside dans la qualité de sa main-d’œuvre, dans son sens de l’innovation et dans sa technologie industrielle de fine pointe. Ces atouts permettent d’offrir un produit de la plus haute qualité répondant parfaitement aux besoins des clients locaux et internationaux », a pour sa part affirmé sur place le président fondateur du Groupe Le Duff et de Bridor, Louis Le Duff, pour qui cette annonce traduit les fortes ambitions du Groupe en Amérique du Nord, où il réalise 1 milliard de dollars de ventes et où Bridor prévoit une croissance annuelle de 25 %.

Rappelons que le projet de l’usine de Boucherville s’inscrit dans une stratégie de développement globale de Bridor en Amérique du Nord et dans le monde, et que des investissements seront réalisés parallèlement aux États-Unis sur son site de Vineland, au New Jersey.

Entreprise manufacturière en transformation alimentaire, Bridor exploite des boulangeries industrielles et commercialise les marques Bridor et Au Pain Doré. Elle dessert d’importants distributeurs, des chaînes d’alimentation, des restaurants et des hôtels. Bridor fait partie du groupe familial Le Duff, qui compte un chiffre d’affaires de 2 milliards d’euros, près de 1 800 restaurants dans le monde et 35 000 collaborateurs.

(Crédit photo: Bridor.)

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La « Conférence canadienne sur le cannabis » : un regard sur le volet pharmaceutique de l’industrie, à Québec, le 10 octobre

Grosso modo une année après l’entrée en vigueur de la vente légale de la marijuana à usage récréatif au Canada, les initiatives se bousculent pour faire un premier bilan, analyser les résultats autant que les opportunités restantes, et poursuivre la mesure du défi. Un gros mois d’octobre en perspective, quoi! Et à Québec, c’est une société privée toute seule qui lève la tête pour afficher son leadership parce qu’elle vient notamment d’ajouter quelque 20 millions $ d’infrastructures et d’équipements très pointus à ses capacités de production. N’ayant aucune gêne à viser l’entier marché canadien sans délai, elle donne donc rendez-vous, le 10 octobre, pour sa 1er « Conférence canadienne sur le cannabis », qui portera évidemment un regard sur les volets pharmaceutique et para-pharmaceutique de l’industrie, car ladite compagnie c’est SiliCycle.

Silicycle, cette belle « succes story » installée depuis plus de 20 ans dans le Parc technologique du Québec métropolitain (PTQM) et qui fonce maintenant avec PurCann Pharma, sa nouvelle division qu’elle consacre à l’extraction et à la purification de molécules issues du chanvre et du cannabis. Et pas les mains vides : la capacité de transformation de l’usine pourra maintenant atteindre 15 000 kg par jour. Objectif : vite devenir leader canadien. Moyen : ici s’imposer sans attendre… Là l’initiative d’organiser l’événement du 10 octobre.

« Nous constatons un engouement pour la production de cannabinoïdes certes, mais encore davantage à l’égard du potentiel d’offrir ces substances à l’état pur ou standardisées précisément afin de les intégrer à d’autres produits. Ces applications permettront de rendre conforme les mélanges naturels afin d’avoir les quantités et proportions souhaitées de façon stable et prévisible malgré les variations de ces molécules dans les plantes. C’est ainsi que nous pourrons assurer à la clientèle les effets attendus, une condition essentielle au succès commercial », expliquait récemment le président de SiliCycle, Hugo St-Laurent, alors qu’il annonçait avoir franchi une nouvelle étape de sa stratégie avec l’obtention de sa licence de recherche de Santé Canada, afin de poursuivre ses travaux.

SiliCycle et sa jeune filiale PurCann Pharma s’attaquent donc dorénavant à la mise au point de procédés innovateurs d’extraction et de purification de différentes biomasses de cannabis. Et c’est donc sans grande surprise que l’on découvre le nom d’Alain Thibodeau, le directeur Bioscience et Cosmétiques chez SiliCycle, à titre de conférencier au programme du 10 octobre, sous le titre suivant : « La biologie du système endocannabinoïde et du cannabidiol: applications cosmétiques ».

Autre par dans la journée, on entendra aussi le COO de PurCann Pharma, André Gosselin, traiter son sujet : « Les défis et les opportunités de la production de chanvre pour la CBD au Canada ». Il faut ici savoir que chez PurCann Pharma – qui fabriquera des poudres et des huiles en sous-contrat, mais aussi des produits finis comme des gélules et des atomiseurs pour fins médicales ou récréatives – on croit que l’avenir des produits dérivés du cannabis pour fins médicales apportera une croissance plus élevée des usages que l’utilisation pour fins récréatives, et ce, « à très court terme ».

Le programme montre que les questions entourant le marché global du cannabis et le financement de projets seront également abordés. Les participants auront aussi droit à une analyse de l’évolution de la réglementation et des perspectives à court, moyen et long terme pour les entreprises gravitant dans le marché du cannabis.

Le déroulement de la journée permettra notamment d’acquérir une meilleure compréhension de la disponibilité du capital ou de l’appétit des prêteurs et de leur confiance dans les perspectives de recherche avec l’expertise d’un Éric Caouette, qui est vice-président et administrateur associé de Dubeau Capital.

La programmation complète de la « Conférence canadienne sur le cannabis » du 10 octobre de même que l’inscription à cette journée d’échanges se retrouvent à l’adresse www.conferencecannabis.ca.

Il est à noter que les participants bénéficieront d’un accès privilégié, en fin de journée, afin de visiter la toute nouvelle usine de PurCann Pharma, située dans le parc technologique, à Québec, et qui sera officiellement inaugurée d’ici la fin de 2019.

D’UN OCTOBRE À L’AUTRE

Le 17 octobre 2019, un an se sera écoulé jour pour jour depuis la légalisation du cannabis non médical au Canada. Un jour historique qui avait propulsé la popularité internationale du jeune premier ministre du pays Justin Trudeau. Et avant la fin de 2019, les produits dérivés contenant du cannabis seront aussi légaux et d’autres changements seront apportés aux réglementations fédérales et provinciales. L’industrie du cannabis au Canada est ainsi devenu exceptionnelle en raison de son évolution rapide et de ses répercussions sociales, politiques et économiques.

Dans un tel contexte de transformation constante, pas simple de se garder au fait des nouveautés et des opportunités. Mais coup de chance : expo, salon ou conférence se bousculent en octobre.

Au Québec, le rendez-vous de la 1er « Conférence canadienne sur le cannabis » donné dans la capitale, à Québec, le 10 octobre, s’interpose entre l’Expo Cannabis de Montréal, à la Place Bonaventure, les 3 et 4 octobre, et ensuite la tenue, toujours dans la métropole, de la 3e édition de la CONFÉRENCE « Marché du cannabis » : Nouveaux produits, enjeux et occasions d’affaires, qui elle se tiendra aussi à Montréal, essentiellement le 23 octobre 2019.

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