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Le 1e laboratoire à ciel ouvert de la vie intelligente au Canada sera à Montréal

Laboratoire de la vie intelligenteTélécommunications de 5e génération… Non vous ne rêvez pas. Il faudra cependant quatre partenaires pour vous en faire la démonstration. Vidéotron, Ericsson, l’École de technologie supérieure et le Quartier de l’innovation (QI) de Montréal viennent donc de s’unir pour la création du 1er laboratoire à ciel ouvert de la vie intelligente, aussi une première du genre au Canada. Situé au cœur du Quartier de l’innovation de la métropole du Québec, il permettra de tester la multitude de facettes associées à cette nouvelle industrie des télécommunications de 5e génération; de tester sur le terrain, dans des conditions réelles, des applications technologiques concrètes qui pourront améliorer et simplifier le quotidien des gens.

Présentée comme une « collaboration unique en son genre » l’initiative permettra de regrouper dans un vaste terrain d’étude « l’expertise, le savoir et la technologie pour mettre en place quelques-uns des jalons de la vie intelligente. Le laboratoire sera également un modèle de collaboration où la communauté, la municipalité, l’enseignement supérieur, l’industrie manufacturière et l’industrie des télécommunications cohabiteront pour participer à cette révolution technologique. »

Également inclusif, dès sa mise sur pied, les portes du labo seront grandes ouvertes aux entrepreneurs technologiques et développeurs montréalais gravitant autour de l’écosystème industriel des TIC et désirant participer au projet.

Initié par Vidéotron

« Nous sommes très fiers d’avoir initié la création de ce premier laboratoire de la vie intelligente et d’avoir pu réunir des partenaires de renom autour d’un objectif commun, soit celui de s’engager, plus que jamais, dans l’instauration d’un écosystème d’innovation dans la métropole. Pour Vidéotron, ce laboratoire sera un outil supplémentaire permettant d’identifier les applications et services qui réussiront le mieux à améliorer et simplifier le quotidien des consommateurs, de même que ceux qui créeront le plus de valeur pour les entreprises », a souligné lors de l’annonce Manon Brouillette, la présidente et chef de la direction de Vidéotron, maintenant filiale à part entière de Québecor Média inc.

Vidéotron est un chef de file en nouvelles technologies, grâce notamment à son système de télévision interactive illico et à son réseau à large bande lui permettant d’offrir, entre autres services, l’accès Internet haute vitesse par modem câble et la télévision en modes analogique et numérique. Au 30 juin 2016, Vidéotron comptait 1 697 500 clients à son service de télédistribution, dont 1 559 800 clients à la télé numérique; il est également le numéro un d’Internet haute vitesse au Québec avec 1 571 700 clients à ses services par modem câble en plus d’avoir activé 828 900 lignes de son service de téléphonie mobile et assuré le service de téléphonie par câble à 1 284 000 foyers et organisations du Québec.

« En formant un partenariat visant à créer le plus grand laboratoire à ciel ouvert au Canada, nous fournissons un terrain de jeux aux entrepreneurs et étudiants afin qu’ils se préparent au monde de demain », de déclarer Graham Osborne, un président d’Ericsson Canada fier de la connaissance mondiale des villes intelligentes chez Ericsson.

Ericsson compte près de 115 000 professionnels et des clients dans 180 pays. Ericsson soutient des réseaux connectant plus de 2,5 milliards d’abonnés dans le monde. Fondée en 1876, elle a son siège social à Stockholm, en Suède. En 2015, ses ventes nettes se sont élevées à 29,4 milliards $US. Elle est inscrite à la bourse NASDAQ OMX de Stockholm et au NASDAQ de New York.

La résidence étudiante intelligente: 1er projet concret

Les premiers témoins de ce grand laboratoire seront les étudiants de l’ÉTS, qui bénéficieront dès le début de 2017 de l’expertise des divers partenaires au cœur même de leur campus. Ainsi, les étudiants en résidence vivront l’expérience de la « maison connectée » dans laquelle la gestion de tout l’environnement s’appuiera sur l’analyse des données produites par de multiples objets présents dans leur quotidien.

« La contribution de l’ÉTS porte sur deux niveaux. Tout d’abord, celui des connaissances, de l’expertise de pointe et des talents des professeurs, des chercheurs et des étudiants de l’École associés à ce laboratoire à ciel ouvert. De plus, le campus de l’École sera le lieu d’expérimentation, d’apprentissage pratique et de développement de compétences pour les étudiants et nos partenaires dans cette innovante initiative de collaboration », a mentionné Pierre Dumouchel, directeur général de l’École de technologie supérieure.

L’École de technologie supérieure (ÉTS) est l’une des 10 constituantes de l’Université du Québec. Elle forme des ingénieurs et des chercheurs reconnus pour leur approche pratique et innovatrice, le développement de nouvelles technologies et leur transfert en entreprise. Spécialisée dans la formation appliquée et la recherche en génie, elle entretient un partenariat unique avec le milieu des affaires et l’industrie.

Le Quartier de l’innovation (QI) est un écosystème d’innovation en plein cœur de Montréal qui vise à accroître le potentiel de créativité de la métropole. Il a été lancé en mai 2013 par l’École de technologie supérieure (ÉTS) et l’Université McGill, auxquelles se sont jointes l’Université Concordia et l’Université du Québec à Montréal (UQAM).

Depuis, une vingtaine de partenaires corporatifs y ont également ajouté leur force. Le QI mise sur les ressources complémentaires de ses nombreux partenaires en recherche, en formation, en innovation et en entrepreneuriat pour la création de projets concrets qui changent le visage de la métropole. Il est délimité par le boulevard René-Lévesque et le canal de Lachine, du nord au sud, et de la rue McGill à l’avenue Atwater, de l’est à l’ouest. Ses activités sont réparties en quatre volets: formation et recherche, social et culturel, industriel, et urbain.

Visionnez la vidéo présentant le partenariat

www.quartierinnovationmontreal.com

www.etsmtl.ca

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COMMERCE INTERNATIONAL : CIQ ajoute des outils au QUÉBEC

Les  entrepreneurs exportateurs au Québec peuvent désormais trouver en un clic l’expert à l’international dont ils ont besoin et apprendre une foule d’informations pratiques sur l’exportation au Québec. Et d’autres nouveautés ont récemment faits leur apparition chez Commerce International Québec (CIQ).

Nouveau site internet

Après plusieurs semaines de développement, Commerce International Québec vient de présenter son nouveau site Web. Pensé pour le grand public, mais aussi pour tout entrepreneur à la recherche de services à l’exportation dans sa région, il offre une foule d’information sur les services et activités offerts par les organismes régionaux de promotion des exportations (ORPEX) à travers le Québec.

Un tout nouvel outil y permet de trouver l’expert à l’international desservant le territoire où est située votre entreprise. Il suffit d’écrire son code postal et le tour est joué. Vous y verrez également une carte interactive permettant de localiser l’ORPEX présent dans votre région.

Nouveau service pour les entreprises faisant affaires aux États-Unis

Commerce International Québec a de plus conclu le 18 août dernier une entente de partenariat avec le Groupe Conseil C-TPAT (GCC) qui permettra d’offrir sur l’ensemble du territoire québécois des services d’accompagnement menant à la certification C-TPAT et au maintien de celle-ci par l’entremise de ses membres.

GCC possède une expertise reconnue internationalement dans la prestation de services reliés à la sécurisation de la frontière. CIQuébec et les ORPEX ont mis de l’avant des efforts conjoints avec GCC afin d’offrir rapidement le service aux PME québécoises.

« Nous sommes heureux de la signature de l’entente de partenariat avec CIQuébec qui permettra à GCC d’avoir une représentation dans l’ensemble des régions du Québec et aux ORPEX membres de CIQuébec d’offrir ce nouveau service aux entreprises exportatrices du Québec et à celles-ci de se conformer aux nouvelles normes de sécurités américaines et internationales », explique Dominic McInnis, fondateur de GCC.

Cours de commerce international en ligne

Commerce International Québec entamera aussi à la mi-janvier 2017 sa toute première cohorte de cours sur les aspects pratiques du commerce international. Ce cours sera destiné aux employés d’entreprises québécoises qui souhaitent perfectionner leurs connaissances en matière de commerce international. Ces cours s’échelonneront sur 12 semaines et seront donnés en ligne les mercredis après-midi par l’expert en développement du commerce extérieur et chroniqueur du cyberjournal CommerceMonde.com, Karl Miville-de Chêne.

Mandat renouvelé pour Yanick Godbout

Le président de Commerce International Québec, Yanick Godbout, voit par ailleurs son mandat renouvelé pour une nouvelle année. En poste depuis un an, M. Godbout est directeur de Développement PME International (DPMEI) et commissaire à l’exportation pour la région Chaudière-Appalaches.

« C’est une fierté de présider le conseil d’administration de Commerce international Québec, le plus grand réseau d’accompagnateurs des PME exportatrices du Québec. En 2015, c’est 2 500 entreprises qui ont fait appel à nos services, soit environ 1 exportateur sur 4, et nous travaillons très fort afin de jouer un rôle encore plus important dans la croissance économique nationale », explique Yanick Godbout.

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www.ciquebec.ca

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Colombia’s IT industry gained traction in North America

Miami became the Colombia new business hub during September 8th – 9th as 100 Colombian IT companies met with their international clients and counterparts in 1,100 one-on-one business appointments. The 3th edition of the Colombian IT Business Matchmaking Forum organized by ProColombia, the country’s promotion government entity, resulted in the participation of 48 buyers from US, 18 from Canada, 15 from Mexico and one from Puerto Rico. The Forum also attracted venture capital investors from New York, Texas, and South Florida looking to generate investment partnerships and become more visible in the international playing field.

Colombia’s high quality developments and innovative projects have gained great popularity. From 2008 to 2016, the government is expecting a steady growth in sales from the industry reaching a 59% increase. As the third largest provider of IT services in Latin America, Colombia is rising to the top due to government incentives, a seamless free trade agreement platform, competitive free trade zone, proximity and connectivity to North America, personalized service, and a skilled workforce of more than 1.2 million professionals in the financial and services industry. These features and benefits have created an ideal business environment for angel investors and venture capital firms looking to invest in innovative and attractive opportunities.

One of Colombia’s many strengths is its attractive regulatory framework to establish and manage private capital funds, according to the Latin American Private Equity & Venture Capital Association (LAVCA).

The country’s most important sectors are :

  • IT services with a 48% demand
  • Software with a 41% demand
  • Digital content with a 11% demand

In 2015, the IT services industry registered record sales close to US $2.5 billion with an increasing demand from software and IT products oriented to the telecommunications, financial, government, mass consumption, and manufacturing sectors.

A solid economy and steady growth during the past years has been the fuel behind the internationalization strategy that seeks to attract foreign direct investment to develop mobile apps, digital animation, audiovisual products, video games, software and IT.

The Colombian government has created initiatives focused on increasing connectivity, improving professional training, and fostering bilingualism to ensure a more dynamic IT sector. In addition, foreign investors are exempt of Value Added Tax (VAT) in all exported services intended for foreign use or consumption as well as discounts in income tax to increase hiring of nationals. This investment ecosystem is ideal for investors in US and Canada, two of the main digital content exporting destinations for Colombia.

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www.procolombia.co

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Un vent d’Asie regroupe Bull Housser à Norton Rose Fulbright  

Le Partenariat trans Pacifique (PTP) n’est pas encore ratifié par les États au traité commercial, mais les avocats ne prennent pas de chance. Septembre 2016 est encore à sa première moitié que nous apprenons que le 1er janvier 2017 s’appliquera un regroupement de ce qui représentera alors 3 892 avocats à l’échelle mondiale, dont 667 au Canada. Ce sont Norton Rose Fulbright et Bull Housser qui ont annoncé leur regroupement.

« Nos clients respectifs souhaitent avoir accès plus facilement aux services de notre cabinet partout au Canada, sur la côte ouest des États-Unis et dans les pays côtiers du Pacifique. En plus de répondre à ce besoin, notre regroupement nous assure une présence à Vancouver et offre à nos clients l’expertise régionale et la connaissance du marché dont ils ont besoin pour tirer parti des possibilités d’investissement et de développement canadiennes et étrangères en Colombie-Britannique », d’expliquer Charles Hurdon, associé-chef de la direction de Norton Rose Fulbright.

Norton Rose Fulbright et Bull Housser ont des forces complémentaires et, ensemble, ils offriront des compétences de premier plan sur le marché dans les secteurs de l’énergie, des mines, des infrastructures, des services financiers, de l’immobilier, du transport maritime, des installations portuaires, des sciences de la vie, des soins de santé et de la technologie.

En Colombie-Britannique, Bull Housser est un acteur important du milieu des affaires depuis plus d’un siècle, et le cabinet a aidé activement la province à enregistrer la croissance la plus rapide au Canada, tout en maintenant des liens essentiels avec la région de l’Asie-Pacifique. Le passage de Bull Housser à la plateforme mondiale de Norton Rose Fulbright présentera trois principaux avantages pour les clients :

  • une offre de services novateurs,
  • une efficience accrue grâce à des technologies, des systèmes de pointe,
  • un accès à des conseillers juridiques hors pair dans le monde entier.

Charles Hurdon demeurera associé-chef de la direction de ce nouveau Norton Rose Fulbright au Canada et Janet Grove demeurera associée-directrice du bureau de Vancouver, lequel continuera à offrir sa gamme complète de services juridiques. Tous les avocats de ce bureau demeureront en poste et seront toujours soutenus par un groupe de professionnels juridiques reconnus et chevronnés du Canada et d’ailleurs dans le monde.

Le cabinet d’avocats Bull Housser est établi à Vancouver depuis 126 ans. L’un des principaux cabinets d’avocats de cette ville; il compte présentement 92 avocats et plus de 150 employés.

Voir la Fiche technique (après fusion).

English press release : BULL HOUSSER COMBINES WITH GLOBAL LAW FIRM NORTON ROSE FULBRIGHT

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Metal Earth : 104 millions $CND pour relancer l’industrie mondiale des minéraux

Certes pas désintéressé dans l’affaire, l’initiative annoncée le 8 septembre 2016 à Sudbury implique le gouvernement fédéral canadien pour un investissement de sa part de 49 269 000 $, dans un programme de recherche en exploration minérale de l’Université Laurentienne qui, avec un total de 22 autres partenaires issus des milieux universitaires, industriels et gouvernementaux, y versent 55 000 000 $, en espèces et en nature. But de l’opération : aider des investissements d’exploration à faible risque et à inverser la tendance actuelle, celle des faibles taux de découverte de nouveaux gisements minéraux, tant au Canada qu’à l’étranger.

Cette initiative de sept ans est baptisée Metal Earth. La contribution du Canada provient du Fonds d’excellence en recherche Apogée Canada (FERAC) pour un coup d’impulsion de 49 269 000 $ sur sept ans.

« L’Université Laurentienne est déjà le bénéficiaire le plus en vue au Canada de fonds de recherche en géologie économique et figure parmi les meilleurs établissements au monde… 

(…) Nous sommes fiers d’appuyer la Laurentienne et le Centre de recherche en exploration minérale à l’École des sciences de la Terre Harquail, et de la voir devenir le leader mondial incontesté dans la recherche en exploration minérale », a déclaré le député de Sudbury, Paul Lefebvre, au nom du ministre, le jour de l’annonce.

Par son mandat, le FERAC aide les établissements d’enseignement post-secondaire canadiens à exceller à l’échelle mondiale dans les domaines de recherche porteurs d’avantages économiques à long terme pour le Canada. Le concours inaugural a donné lieu à cinq octrois de fonds totalisant 350 000 000 $ en 2015. L’annonce du 8 septembre faite par le gouvernement fédéral voit attribuer 900 000 000 $ à 13 universités sur 51 candidats. Chaque établissement ne pouvait présenter qu’une seule demande.

Les résultats des travaux de Metal Earth seront transférables dans le monde entier et aideront le Canada à demeurer un leader de poids dans la quête mondiale de métaux.

Un troisième concours devrait être lancé en 2021-2022. Les décisions de financement ont été prises par un comité de sélection de premier plan, après examen des demandes par les pairs basé sur le mérite scientifique et la capacité manifeste à mener des projets à l’échelle internationale, la pertinence stratégique pour le Canada et la qualité du plan de mise en œuvre.

« L’annonce de financement (…) est la plus importante depuis la création de la Laurentienne il y a 56 ans et le plus grand programme de recherche en exploration jamais entrepris au Canada », a déclaré le recteur et vice-chancelier de l’université, Dominic Giroux.

Plus tôt la même journée, l’Université Laurentienne avait également annoncé un don de 10 000 000 $ qu’a fait la famille Harquail au Département des sciences de la Terre, nouvellement rebaptisé l’École des sciences de la Terre Harquail. Soulignons que David Harquail est président et chef de la direction de Franco-Nevada Corporation, une société de redevances axée sur l’or et inscrite à la cote de la Bourse de Toronto et de la Bourse de New York.

Répondre à un problème mondial

« Les réserves mondiales de métaux sont en train de s’épuiser du fait de la demande accrue et de la diminution des taux de découverte au cours des dix dernières années. Or, il se trouve que les dépenses consacrées à la prospection ont augmenté tandis que les taux de découverte ont diminué. Sans moyen de découvrir et d’extraire des métaux, les sociétés modernes seront confrontées à une crise qui aura des répercussions négatives sur le développement social, technologique et industriel. Pourtant, le Canada dispose de gisements minéraux encore inexploités. »
Harold Gibson
Directeur du Centre de recherche en exploration minérale (CREM) de l’École des sciences de la Terre Harquail et chercheur principal à Metal Earth

Les métaux, qui représentent 19,6% des exportations et 4% du produit intérieur brut (PIB), constituent l’un des principaux leviers de l’économie canadienne. Avec Metal Earth, l’industrie et le gouvernement seront dotés de nouvelles connaissances, de personnel hautement qualifié, de protocoles et d’outils leur permettant de concentrer les crédits alloués à l’exploration et à l’infrastructure dans les domaines à forte minéralisation en métaux.

« Metal Earth est une nouvelle approche qui va au-delà de la recherche traditionnelle au niveau du gisement ou du district. Il transformera la façon dont nous faisons l’exploration de métaux et notre compréhension de l’évolution de la Terre. » Harold Gibson

Metal Earth mobilisera des chercheurs de la Laurentienne et de ses établissements partenaires, recrutera plus de 35 chercheurs postdoctoraux, assistants de recherche, techniciens et employés de soutien, et verra participer plus de 80 étudiants des cycles supérieurs et de 100 étudiants de premier cycle et de nombreux sous-traitants.

Par ailleurs, Metal Earth fera embaucher à l’Université Laurentienne un titulaire d’une chaire de recherche en ciblage d’exploration et trois autres professeurs en géologie précambrienne, modélisation de systèmes terrestres et géophysique appliquée.

Metal Earth compte de nombreux partenaires, dont les Sociétés géologiques du Canada, de l’Ontario, du Québec, du Manitoba, des Territoires du Nord-Ouest et du Nunavut, le Fonds du patrimoine du Nord de l’Ontario (SGFPNO), TMAC Resources, le Carnegie Institute, Noront Resources Ltd., l’Université de Western Australia, l’Université Laval, l’Université de Tasmanie, l’Université de Toronto, la famille Harquail, l’Université du Québec à Chicoutimi, l’Université d’Ottawa, Vale, MIRA Geoscience Ltd., le Centre d’excellence en innovation minière et MIRARCO.

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www.laurentienne.ca

Photo: colourbox.com

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