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Planète assoiffée: Quelle gouvernance mondiale pour l’eau?

Un livre de Daniel Allard préfacé par le prof. Frédéric Lasserre.

30 ARGUMENTS POUR UN CHANGEMENT

Dans un ouvrage publié il y a une décennie déjà, une quarantaine de scientifiques concertés par le « Rés-eau-ville » du CNRS en France s’entendirent sur l’expression « eau mondialisée ». Ils renvoyaient à l’idée d’acteurs, cohabitant, en s’opposant dans une arène mouvante qui se joue des frontières de l’État-Nation. Si une vision mondiale de l’eau a maintenant plus que dépassé le stade de la constatation, donnant même vie à une forme tacite de gouvernance mondiale, il faut encore
élever le niveau du débat.

L’eau ne sera jamais une ressource comme les autres :
elle est le sang de l’écosystème global que constitue la planète qui accueille toute l’Humanité!

Lorsqu’un haut-fonctionnaire de la FAO vous confie que dans son organisation « la gouvernance mondiale de l’eau est un sujet tabou », il y a peut-être péril en la demeure dans notre maison la Terre… Pour relever le défi de nourrir et de donner adéquatement de l’eau à l’ensemble du vivant de manière pérenne, le statu quo n’est pas envisageable. Quand les humains doivent s’organiser pour vivre ensemble, la solution la plus durable passe par la construction de solutions ensemble. C’est là l’idéal de la démocratie et si l’eau c’est la vie, vivement aussi la démo-EAU-cratie! La bonne gouvernance de l’eau est ainsi ; sa bonne gouvernance mondiale aussi. Proposant cette voie – n’affirmant donc pas ses solutions d’emblée – l’auteur nous livre cependant son constat de 30 raisons qui imposent, dès aujourd’hui, à l’humanité le devoir d’agir pour mieux organiser une nécessaire gouvernance mondiale de l’eau.

Ce livre vise à nourrir le débat. Urgent!
En ayant une vision globale des enjeux.

Parce qu’en face d’une évidente PLANÈTE ASSOIFFÉE, il faudra le plus vite possible convenir de quelle gouvernance mondiale de l’eau l’humanité doit se doter. Parce que nous, les humains, ne devons pas faire l’économie de cette solution et, sans doute, ne pas laisser aux plus puissants d’entre nous en imposer.

Ce livre-outil donne d’ailleurs un coup de projecteur à l’encyclique «Laudato Si» signée par le Pape François le 24 mai 2015. Consacrant cinq pages, complémentaires à l’ouvrage, dédiées à reproduire les passages pertinents sur l’eau et la gouvernance mondiale qu’offrent les réflexions du Vatican. Nourrir le débat… Comment nourrir et abreuver le monde demain? En 2030? Encore en 2050? Ne dit-on pas que lorsque le militant écologiste David Suzuki termina la lecture de «Laudato Si », il se serait mis à pleurer… Puis que lorsqu’on lui demanda « Pourquoi ? », il aurait répondu : « Moi qui suis un spécialiste universel, je n’ai pas été capable d’écrire un pareil texte ».

Continuons le débat. Trouvons les solutions. Et tous ensemble, pour qu’elles soient de vraies solutions.

Vous souhaitez vous procurer ou réserver, chez un libraire, votre exemplaire (papier, PDF ou ePUB)? Voici les codes ISBN:

978-2-9819282-1-4 = ISBN pour Planète assoiffée papier

978-2-9819282-2-1 = ISBN pour Planète assoiffée PDF

978-2-9819282-3-8 = ISBN pour Planète assoiffée ePUB

Le livre est dédié a celui qui fonda le Secrétariat international de l’eau (SIE-ISW-SEE) en 1990-91: Raymond Jost (photo du bas); puis créa notamment la Goutte de l’espoir (photo du haut).

POUR COMMANDER UNE ÉDITION PAPIER directement de l’auteur:

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ÉDITEUR PARTENAIRE

L’eau, tant de défis pour l’avenir. Comment éviter les guerres de l’eau? Comprendre pour agir. L’essai Planète assoiffée est actuellement disponible en version numérique (PDF ou ePUB) sur une multitude de site de vente grâce à un partenariat avec les Éditions Sylvain Harvey.

Essilor et le CNRS lancent un lab d’optique embarquée

Oui, des verres et lunettes à fonctions actives et connectées… La R&D y est à plein; c’est l’optique du futur! Mais pas très loin, déjà partenaires depuis 2004, Essilor et le CNRS ont signé le 14 décembre 2015 un nouveau contrat de recherche qui associe Essilor et le laboratoire LAAS-CNRS pour une durée de 5 ans. Au sein de ce nouveau laboratoire, baptisé OPERA (OPtique EmbaRquée Active) et situé dans le sud de la France, à Toulouse, une équipe commune et multidisciplinaire de chercheurs et d’ingénieurs poursuivra des recherches sur les verres et lunettes à fonctions actives et connectées.

Ces technologies émergentes permettront de concevoir de nouvelles générations de verres optiques, plus performantes en matière de correction de la vue et de confort de port, mais aussi de proposer aux consommateurs d’accéder à de nouveaux usages grâce à leur lunette. Parce que le LAAS-CNRS compte parmi ses domaines d’expertises, l’électronique embarquée, la photonique et la robotique, ainsi qu’une plateforme technologique de haut niveau au service de la conception et de la réalisation des prototypes.

Essilor apportera de son côté son expertise de l’optique et de la vision, de la technologie des matériaux optiques et ses connaissances du besoin dans le domaine des produits ophtalmiques.

Le laboratoire commun OPERA s’inscrit pleinement dans les champs de recherche identifiés par Essilor et le CNRS et dans le cadre de l’accord cadre de collaboration scientifique signé en avril 2015 entre les deux organisations. En ligne avec sa mission d’améliorer la vision pour améliorer la vie, Essilor mise sur l’innovation, au cœur de sa stratégie depuis plus de 165 ans, pour apporter une meilleure correction et protection visuelle aux milliards de personnes qui ont besoin de lunettes.

Précisons que le CNRS est le principal organisme public de recherche en Europe. Avec près de 33 000 personnes, un budget de 3,3 milliards d’euros et une implantation sur l’ensemble du territoire national français, le CNRS exerce son activité dans tous les champs de la connaissance, en s’appuyant sur plus de 1 100 laboratoires.

Le CNRS a une longue tradition d’excellence : 20 lauréats du prix Nobel et 12 de la Médaille Fields.

Avec plus de 650 personnes, le Laboratoire d’analyse et d’architecture des systèmes (LAAS) est l’une des plus importantes unités propres du CNRS. Basé à Toulouse, il mène des recherches dans quatre disciplines : l’informatique, l’automatique, la robotique et les micro et nano-systèmes. Il est l’un des partenaires académiques avec lequel Essilor entretient des relations de partenaires depuis plus de dix ans.

Essilor: 180 million d’euros/an en recherche et à l’innovation

Un premier Laboratoire Commun (Pix-cell ; 2005-2010) a permis de démontrer l’intérêt de fonctions optiques actives discontinues pour l’optique ophtalmique et d’en développer les bases technologiques. Essilor consacre plus de 180 millions d’euros par an à la recherche et à l’innovation pour proposer des produits toujours plus performants. Ses marques phares sont Varilux®, Crizal®, Transitions®, Definity®, Xperio®, Optifog®, Foster Grant®, BolonTM et Costa®.

Essilor a réalisé un chiffre d’affaires net consolidé de près de 5,7 milliards d’euros en 2014 et emploie 58 000 collaborateurs. Le groupe dispose de 33 usines, de 490 laboratoires de prescription et centres de taillage-montage, ainsi que de plusieurs centres de R&D dans le monde.

Essilor est classé par Forbes parmi les 100 entreprises les plus innovantes du monde.

laas.fr/public/