Archives de catégorie : Général

Gestion de patrimoine : SSQ Groupe financier et L&T Infotech partenaires technologiques

UnitraxMD devient un incontournable pour les quelque 2 000 personnes à l’emploi du Groupe financier SSQ. Le million de clients générant un volume d’affaires de près de trois milliards $ et un actif sous gestion de près de 11 G$ n’en sentiront pas grand-chose, mais SSQ Groupe financier vient d’annoncer qu’elle a remplacé son ancienne plateforme par UnitraxMD, un système exclusif de tenue de comptes pour agents des transferts de L&T Infotech, afin de gérer ses fonds distincts, ses produits de gestion privée de patrimoine et ses comptes à intérêt garanti (CIG) boursiers et autres.

« Depuis 1994, notre produit phare permet aux sociétés de fonds de placement et aux compagnies d’assurance de gérer leurs produits de gestion de patrimoine. Aujourd’hui, Unitrax est utilisé par plus de 200 entreprises, ce qui représente un actif sous gestion de 650 milliards $ canadiens. Cette nouvelle alliance avec l’une des institutions financières les plus prestigieuses du Canada consolide notre réputation à titre de géant mondial des technologies », souligne Chad Alderson, le directeur général de L&T Infotech.

Ce partenariat produira des avantages immédiats : en plus d’accélérer la mise en marché des nouveaux produits, il améliorera le rendement, la fiabilité et la flexibilité des plateformes de gestion des fonds distincts et de répartition de l’actif de SSQ Groupe financier.

« SSQ a fait d’importants gains au Canada ces dernières années. Nous nous réjouissons de ce partenariat avec L&T Infotech Canada; passer à une plateforme supérieure est l’occasion d’appuyer nos efforts de développement en améliorant les services offerts à nos partenaires et à nos clients », affirme Marc Trépanier, vice-président, Développement des affaires – National, Assurance individuelle et investissement chez SSQ Groupe financier.

L&T Infotech est une filiale de 15 milliards $US détenue à 100% par Larsen & Toubro avec une présence dans les domaines de la construction, l’ingénierie, la fabrication et des services financiers. Larsen & Toubro fut classée 4e sur la récente liste mondiale des compagnies vertes du secteur industriel par Newsweek International. L&T Infotech Canada est un fournisseur de produits, solutions et services logiciels de tenue de dossiers des agences de transfert au Canada. Avec un siège social à Mississauga en Ontario, L&T Infotech Canada offre des solutions technologiques intégrées en mode SaaS à l’industrie des services bancaires et financiers.

SSQ, Société d’assurance-vie inc. est la principale entreprise de SSQ Groupe financier, actif aussi dans les secteurs de l’assurance de dommages avec SSQ, Société d’assurances générales inc. et de l’assurance individuelle avec SSQ, Société d’assurance inc.

lntinfotech.com

ssq.ca

Un 6e Forum Planèt’ERE à Montréal en 2017

L’historique COP-21 de Paris vient tout juste de se terminer sur une note plutôt positive et surtout pleine d’espoir, mais il faudra encore beaucoup d’efforts de sensibilisation et d’éducation avant de s’assurer que le drame climatique est bien derrière nous. C’est particulièrement en se sens que la confirmation que la sixième édition du Forum Planèt’ERE se tiendra au Québec, dont la phase nationale à l’UQAM, du 26 au 30 juin 2017, est une nouvelle significative.

Le coup d’envoi à ce projet encore novateur, afin de susciter l’adhésion et la participation des différents acteurs du milieu, a été fait le 3 décembre 2015 par la directrice du Centre de recherche en éducation et formation relatives à l’environnement et à l’écocitoyenneté (Centr’ERE) qui est aussi professeure au Département de didactique de l’Université du Québec à MontréalLucie Sauvé et Robert Litzler, président de l’Association québécoise pour la promotion de l’éducation relative à l’environnement (AQPERE).

De Rio à Planèt’ERE

Née au Québec à la suite du Sommet de Rio en 1992, Planet’ERE est une organisation internationale qui œuvre à la promotion de l’éducation relative à l’environnement dans l’espace francophone. Elle se dit la seule organisation internationale qui s’occupe d’éducation à l’environnement dans l’espace francophone.

L’organisme est né de manière informelle le 24 novembre 2001, au lendemain de la clôture du forum Planète’ERE 2, lorsque les coordonnateurs nationaux ont donné le feu vert à la création d’une ONG internationale francophone dédiée à la promotion de l’éducation relative à l’environnement.

Trois rencontres importantes – organisées en France – jalonnent ensuite son parcours :

La Rencontre de Rambouillet (18-20 mai 2002)
La Rencontre de Boulogne sur Mer (19-21 novembre 2002)
L’Assemblée générale de fondation (15 avril 2005) organisée en marge du « Colloque International sur l’Education à l’environnement pour un Développement durable« .

Planèt’ERE a pour mission d’encourager le développement et la promotion de l’éducation à l’environnement vers le développement durable EEDD afin que celle-ci serve de moteur à l’amélioration de la qualité de vie de tous les êtres humains qui peuplent la planète.

Rappelons que le 5e Forum s’était déroulé en juin 2013. Le 4e Forum Planèt’ERE s’était, lui, déroulé au Cameroun du 17 au 29 juillet 2010.

On sait déjà que le 6e Forum Planèt’ERE 2017 réunira 12 institutions d’enseignement supérieur au Québec. Les phases régionales se dérouleront simultanément dans huit universités (Université du Québec en Outaouais, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, Université du Québec à Chicoutimi, Université du Québec à Rimouski, Université du Québec à Trois-Rivières, Université Laval, Université de Sherbrooke et Université de Montréal) et quatre cégeps (Cégep de Rosemont, Cégep de St-Jérôme, Cégep de Victoriaville et Cégep de Thedford Mines) en prévision de la phase nationale qui se tiendra l’UQAM.

www.planetere.org

Accélérateur d’entreprises universitaires : Entrepreneuriat Laval 1er au monde

Mis sur pied par UBI Global, en 2012, l’étalon est le test d’évaluation de la performance et des meilleures pratiques des incubateurs d’entreprises universitaires au monde. UBI Global est un organisme de recherche international basé à Stockholm, en Suède, et spécialisé dans l’analyse comparative d’incubateurs universitaires. Après la reconnaissance décernée le 3 novembre 2015, à l’occasion du TIFF Bell Lightbox, à Toronto, à titre de 1er en Amérique du Nord, c’est encore l’Université Laval, de Québec, qui vient de remportée la dernière étape des grands honneurs mondiaux. Entrepreneuriat Laval a donc devancé pas moins de 1200 incubateurs et accélérations qui ont été évalués à partir d’indicateurs de performance… des accélérateurs d’entreprises universitaires provenant des quatre coins du globe, d’Irlande, des États-Unis, de la Belgique, de la Russie, de l’Italie, de Taiwan, de l’Australie, du Mexique et du Kenya.

Elle avait été reconnu 1er accélérateur d’entreprises en Amérique du Nord parmi les établissements ayant terminé le processus d’évaluation, devant plusieurs incubateurs d’entreprises affiliés à des universités prestigieuses.

L’évaluation comporte 50 indicateurs clés mesurant la performance entrepreneuriale, dont la dynamique au sein de l’incubateur, son caractère attrayant et les bénéfices pour le client. Entrepreneuriat Laval s’est particulièrement illustré dans les catégories « valeur pour l’écosystème » et « attractivité » qui comprennent des indicateurs tels que la rétention des talents dans la région et l’offre de services de l’incubateur.

1er DÈS SA SECONDE PARTICIPATION

À sa seconde participation, le président-directeur général d’Entrepreneuriat Laval, Yves Plourde, s’est dit très fier des résultats. « Je tiens à partager cette reconnaissance avec l’Université Laval et l’ensemble de nos partenaires. Je remercie chaleureusement tous ceux et celles qui ont bâti Entrepreneuriat Laval et qui font partie de son présent et de son avenir : les membres fondateurs, les membres du conseil d’administration, les formateurs, les mentors ainsi que les membres de l’équipe actuelle. »

« Cette nouvelle reconnaissance internationale réaffirme le rôle de chef de file d’Entrepreneuriat Laval, un fleuron de l’Université Laval qui, depuis 22 ans, se démarque par l’accompagnement offert aux étudiantes et étudiants dans leur projet d’entreprise. Ces jeunes bâtisseurs ont collaboré de façon remarquable au développement socio-économique du Québec en créant à ce jour plus de 710 entreprises et près de 1 450 emplois », a souligné le recteur de l’Université Laval, Denis Brière.

Depuis 1993, Entrepreneuriat Laval a rendu service à 9 522 étudiants membres, présentant l’entrepreneuriat comme un défi, une possibilité, voire un choix de carrière taillé sur mesure pour plusieurs d’entre eux. En plus de stimuler la fibre entrepreneuriale de ses membres, Entrepreneuriat Laval a favorisé un contexte d’apprentissage et de perfectionnement des compétences grâce à une cinquantaine d’ateliers annuels suivis par plus de 600 participants. Ces ateliers sont offerts par un vaste réseau d’experts bénévoles du milieu des affaires et permettent aux étudiants d’acquérir les connaissances, compétences et aptitudes essentielles au démarrage d’une entreprise.

Entrepreneuriat Laval est de plus partenaire du Profil entrepreneurial offert à l’Université Laval. Un profil unique au Québec présentant une offre de service et de formation diversifiée qui donne l’opportunité aux étudiants de planifier, de gérer et de réaliser divers types de projets en lien avec leurs passions et leur domaine d’études. Il vise à développer des habiletés en gestion de projets et à accroître des compétences entrepreneuriales, tel le réseautage dans un contexte professionnel, la créativité en mode solution et la capacité d’adaptation dans la gestion de projet.

En 2014-2015, 45 programmes d’études à l’Université Laval, dont le baccalauréat en droit, en sciences de la consommation, en intervention sportive, en génie, en biologie, en communication publique, ont offert le profil entrepreneurial. Laval fait partie des plus importantes universités de recherche au Canada, se classant au 6e rang avec des fonds de 325 millions $ alloués à la recherche l’an dernier.

Classement 2015

Accélérateurs universitaires d’entreprises (Amérique du Nord)

 

1. Entrepreneuriat Laval – Université Laval; Canada

2. MassChallenge – Boston University, Northeastern University, Worcester Polytechnic Institute; États-Unis

3. York Entrepreneurship Development Institute – York University, Schulich Executive Education Centre; Canada

4. Launch Chapel Hill – University of North Carolina, Chapel Hill; États-Unis

5. The INKUBATOR – Northern Kentucky University; États-Unis

UBI Global : http://ubi-global.com/global-insights-celebrating-the-future-of-academic-incubators-ubi-awards-in-north-america

Changements climatiques : 1 degré = 2 mètres

Miami, la perle de la Floride, est déjà sur la liste des villes condamnées. Un seul degré Celsius d’augmentation moyenne de la température terrestre provoquera une augmentation du niveau des océans de deux mètres, prédit-on déjà. Hors, l’objectif de COP21 à Paris sera de contenir cette augmentation à pas plus que 2 degrés Celsius. Parce que au-delà serait carrément méga-catastrophique. Malheureusement l’information qui conscientiserait les populations ne se rend pas suffisamment jusqu’à elles. Les conséquences des changements climatiques sont incidemment un enjeu amplifié par la mal gouvernance du phénomène. Les météorologues viennent pourtant de confirmer qu’avec les statistiques de l’année 2015 le seuil du 1 degré d’augmentation est dorénavant atteint. Jamais la Terre n’aura apprécié un mois de novembre si chaud.

Miami trouvera-t-elle de l’espoir à Paris, entre le 30 novembre et le 11 décembre 2015? Les présences à ce sommet politique du président Obama, confirmées, comme de celui de la Chine, sont-elles de bons augures? Il ne sera jamais trop tard pour tenter d’agir. La donne devra cependant mettre les moyens et énergies nécessaires.

Traverser le verrou technologique

Le propre du génie humain est de se dépasser. Un verrou technologique demeure une limite tant que la R&D ne lui trouve pas une solution. Et encore faudra-t-il que la solution soit en même temps économiquement réaliste pour pouvoir être mise en application à une échelle significative. Un prototype ne change pas le monde.

Québec a vue une de ces femmes scientifiques savoir reconnaître dans l’étude du métabolisme de la vache un moyen de capture et de transformation du CO2 pour en faire de l’inoffensif bicarbonate de soude… Oui, étrangement, de la « petite vache », que nous aimons d’ailleurs mettre dans nos réfrigérateurs pour y chasser les mauvaises odeurs.

L’innovation est devenue la compagnie CO2 Solutions inc., qui survit depuis une bonne décennie parce qu’elle se finance via la Bourse et que suffisamment d’acheteurs de ses actions croient en la technologie. Leur patience sera peut-être récompensée, car la phase pilote est maintenant réussie et un évaluateur tiers crédible a encore reconfirmé tout récemment l’efficacité du procédé. Cette technologie est dorénavant une solution technique disponible. Un haut-dirigeant de CO2 Solutions nous expliquait même, en mai dernier, qu’il s’agit d’une technologie « sans véritable concurrent ». Plusieurs autres stratégies proposent de capturer et d’enfouir le CO2. Encore d’autres de le transformer. Mais son modèle enzymatique lui est propre… et fonctionne! C’est un exemple à suivre!

Traverser le verrou politique

Miami, Paris, Québec! Nos politiciens à Paris interpelleront-ils la solution de la scientifique de Québec pour donner de l’espoir aux citoyens de Miami?

193 politiciens sauront-ils devenir plus grands que 1 degré = 2 mètres? Cent quatre-vingt treize (193) correspond au nombre de pays souverains siégeant actuellement à l’ONU.

Plusieurs de ces pays seront représentés par leur chef d’État ou président, lors de ce qui sera – qu’importe son déroulement – l’historique Conférence onusienne sur les changements climatiques (21e conférence des parties) qui débutera à Paris le 30 novembre de notre année 2015. Les participants de ce rendez-vous diplomatique au sommet seront durement jugés par les médias et toutes les populations de la planète.

La question du niveau des attentes n’est même pas un enjeu. C’est la prise au sérieux du nombre de considérant, la justesse des décisions et solutions à amorcer et la résolution à l’atteinte de résultats qui globalement fera foi de tout. En totalité! Parce qu’il n’y a pas de demi-chemin ici, la route devra aller à son but.

Paris devra certainement refaire l’équation Miami-Québec des centaines de fois, avec toutes les technologies déjà disponibles et tous les moyens à consacrer pour en découvrir des meilleures. Le cas de CO2 Solutions n’était qu’un exemple pertinent. Le côté le plus noble de chaque scientifique de la Terre est dorénavant sollicité, si nos politiciens agissent eux-aussi avec la noblesse de leur tâche…

Pour une rare occasion à l’échelle de la vie humaine, une génération décide ici de l’avenir de plusieurs de celles qui lui succédera.

Les « réfugiés climatiques » feront sûrement partie de la réalité politique et internationale de demain de toute manière, mais l’ampleur du phénomène, voire de cette crise à venir, saura se souvenir de l’agir des représentants à la COP21. Leur historique action servira en plus à écrire l’histoire du futur de l’humanité.

Et ultimement sachons reconnaître que la solution passera, aussi, par une responsabilisation personnelle de chacun de nous, tout à fait individuellement, avec des changements de comportements significatifs.

COP21-tous-ensembleTraverser le verrou de l’individu créateur

Le grand historien anglais du siècle dernier, Arnold Toynbee, disait croire fermement que l’avenir d’une civilisation entière « se trouve aux mains d’une minorité d’individus créateurs ». Une minorité d’individus… Vous pourriez très bien décider d’en faire partie. Et vous pourriez très bien être de ceux qui auront fait la différence: Ici gît un des fondateurs de la civilisation écologique.

Ça vous dit?

Pensons-y tous, car semblerait qu’il est encore temps de le faire.

 

Tendance : À l’ère des « techno-humanistes »!

La rédaction a demandé à la coach et formatrice en entreprise de Québec, Corine Markey, d’élaborer sur le concept du travailleur « techno-humaniste », une tendance qu’elle voit poindre.

Avec les exigences de personnalisation dans l’accueil, la prestation de services, la fabrication sur mesure, la gestion et le suivi, une qualité de présence face à l’interlocuteur est requise. Cette exigence « humaniste » est demandée dans plus en plus de fonctions.

Cela demande une capacité d’écoute et d’expression qui tiennent compte de l’autre, de soi et des circonstances. Les préoccupations personnelles sont supposées être évacuées pour offrir une disponibilité et une performance professionnelle quotidienne.

La pilule permettant ce genre de mutation n’est pas encore disponible en pharmacie !

C’est plus un cheminement personnel et en même temps collectif. Coaching, mentorat, parcours professionnalisant viennent appuyer cette évolution. On travaille aussi sur le contexte de travail pour faciliter cette transformation.

Voici quelques illustrations observées sur le terrain :

  • Fido a formé/coaché sur 3 ans son personnel du service à la clientèle (agents, superviseurs, SME,…). Cet investissement fut auto payant dans la mesure où le taux de roulement, avec les coûts de formation qui en découlaient, a diminué, la satisfaction de la clientèle et des agents ont augmenté ainsi que les ventes complémentaires. Il y a un entraînement à mieux servir les clients en ayant du fun ! On améliore l’expérience client et l’expérience agent ! Fido/Rogers a remporté un prisme d’excellence pour cet accomplissement.
  • Une manufacture parvient à augmenter son chiffre d’affaires et son profit en étant très agile par rapport aux demandes de ses clients. Comprendre pour chaque client ce qui est important demande une écoute, une présence et une attention particulière de la soumission à la livraison.
  • Les gestionnaires n’ont plus le monopole des bonnes idées avec la génération Y qui revendique sa part dans la création. Les gestionnaires génèrent des  discussions, colligent les idées et créent un engagement envers les priorités. Leur travail porte plus sur le pourquoi que sur le comment et le quoi faire. Une plus grande autonomie est observée après un certain temps, ce qui laisse du temps aux gestionnaires pour faire leur travail de gestion ! Là aussi, un aspect fun est présent !

Investir dans l’humain

Justifier un investissement dans l’humain auprès du conseil d’administration s’avère encore ardu comparativement aux investissements dans la technologie. Il y a une perception d’investir dans du « mou ». La fée qui changerait les comportements, les façons de faire par magie n’existe pas. Créer une nouvelle façon de fonctionner et de se comporter prend du temps. Cela affecte le rapport au temps, à la tâche et aux relations.

En même temps, cette disponibilité doit se manifester au travers des différents canaux de communication (en personne, au téléphone, courriel, texto et autres clavardages).

« Ils ne veulent plus parler, ils veulent chatter ! »

Exigence digitale !

Voici quelques questions à adresser :

Quels sont les nouveaux protocoles de communication ?
Quelles sont les limitations d’accès à instaurer ?
Donne-t-on accès 24h/24 ?
Comment gère-t-on les réseaux sociaux ?

Les organisations doivent imaginer des solutions et créer de nouveaux standards.

Des nouvelles compétences émergent avec notamment la possibilité de clavarder entre l’individu (client ou employé) et l’organisation. La confiance envers l’écrit (80 % pour les courriels et 88% pour les textos) est supérieure à celle accordée à la parole (65 %) ou en présence (50 %). Écrire la bonne information avec peu de temps d’analyse demande de maîtriser son sujet sur le bout des doigts ;-) !

Une gestion de l’instantané avec une saveur de maturité et d’efficacité, l’ère des techno-humanistes !

En savoir plus (Corine Markey) : service-conseil-cm.com