The GLOBE 2016 Leadership Summit and Innovation Exposition, held every two years in Vancouver, hosts business, policy, and civil society leaders working to address pressing global challenges with business and technology solutions.
Justin Trudeau, Prime Minister of Canada will deliver a keynote speech at GLOBE Series Leadership Summit on March 2, 2016. Premier Christy Clark will deliver remarks to kick off the GLOBE Leadership Summit on the same day. Greg Selinger, Premier of Manitoba, Kathleen Wynne, Premier of Ontario and Philippe Couillard, Premier of Quebec will participate in a candid Premiers’ Armchair Dialogue at the Globe Leadership Summit, on Thursday, March 3.
A trio of Canadian provincial environment ministers will also share insights on how their respective governments approach climate action in an on-stage armchair discussion accessible to GLOBE 2016 visitors: David Heurtel, Minister of Sustainable Development, Environment and Climate Change, Government of Quebec; Mary Polak, Minister of Environment, Government of British Columbia and Glen Clark, Minister of Environment and Climate Change with the Government of Ontario. (They will participate in the session at the GLOBE Innovation Expo, Friday, March 4, 2016.)
This political happening will assume the follow-up of the Paris decisions during COP21? This is the only important thing to keep in mind here.
The GLOBE 2016 Leadership Summit and Innovation Exposition will run at the Vancouver Convention Centre from March 2 to 4, 2016.
“In recent years, provinces have been engaged in something of a ‘race to the top’ on climate action. I’m looking forward to what I expect will be a spirited dialogue, as Ministers highlight the jobs, investment and other opportunities that their work on climate is unlocking in their respective jurisdictions”, said Mike Gerbis, CEO of GLOBE 2016.
GLOBE Series is a private company headquartered in Vancouver, Canada that works to shape global, regional and industry agendas for a sustainable future.
Full conference program: GLOBESeries.com, and for updates follow @GLOBE_Series and #GLOBE2016.
Un livre, encore tout jeune, met en avant plan un rôle historique mondial du peuple juif, de chaque Juif individuellement et de la ville de Jérusalem, que très – voire trop ! – peu de gens maîtrisent sur notre planète.
L’essai UniTerra / Un monde efficace, car c’est d’un essai qu’il s’agit, prend le point de vue sans détour qu’il y a trop de frontières sur la Terre. Et qu’un jour, l’humanité le paiera très chèrement… si on ne rend pas le monde plus efficace avant.
Le livre a déjà ses lettres de noblesse, car c’est Jean-Louis Roy qui a accepté d’en écrire la préface. Jean-Louis Roy, ancien directeur du quotidien montréalais Le Devoir, qui fut aussi délégué général du Québec à Paris et directeur général de la Francophonie. Lui même auteur prolifique.
Présentée comme une œuvre de politique prospective par l’auteur, M. Roy veut y voir « (…) une grande fable éthique où le mal et le bien refont leur très ancienne bataille; une radiographie d’un temps où la mort innombrable surgit d’un monde fatigué des hommes et du sursaut de ceux qui ont survécu au malheur commun et universel; une histoire fabuleuse qui fait du continent africain une réserve de sagesse globale (…) ; une saga politique et diplomatique qui vous conduit dans le moindre quartier de vie planétaire: UNITERRA est tout cela et bien d’autres choses encore. Autant de motifs de le lire et de se laisser guider dans les espaces obscurs et dans les espaces lumineux de l’humanité que cette œuvre singulière explore avec un égal étonnement. »
« Par son ampleur incomparable, sa distribution géographique globale (…) ce récit (…) nous plonge dans un temps inédit. Il a la planète comme espace d’opération. Il repose sur l’émergence d’un leadership qui, depuis un petit pays au sud du continent africain, va s’imposer au monde et conduire à sa réorganisation.
(…)
On verra de nouvelles alliances (…), des frontières se dissoudre suite aux rassemblements de pays dans de nouvelles unités politiques et les puissances résister et consentir… Il vous faut découvrir la suite.
(…)
Vous aimerez cette saga, la naissance du « grand Conseil », la mystérieuse clef de Jérusalem. »
Autres extraits de la préface d’UniTerra signée par Jean-Louis Roy.
Nous nous garderons bien de révéler ici cette fameuse clef, mais voici comment en bon lecteur vous y rendre, à ce fameux chapitre sur Jérusalem, qui n’est rien de moins que le véritable dénouement de ce voyage de 224 pages vers un monde plus efficace, le monde d’Uniterra.
La Chambre de commerce du Montréal métropolitain a salué la signature du Partenariat transpacifique (PTP) par les 12 pays membres, récemment, en Nouvelle-Zélande. Évidemment, l’accord est considéré comme une excellente nouvelle pour les entreprises de la métropole québécoise, qui renforcera leur compétitivité sur la scène internationale. La signature de l’entente, qui sera maintenant suivie d’une période d’échanges au niveau national en vue de la ratification de l’entente d’ici deux ans, ouvre aussi un débat au Québec.
« Il est primordial d’utiliser la période de ratification de l’accord pour mobiliser et promouvoir les secteurs forts de la métropole. La promotion du Canada, de ses métropoles et de ses secteurs économiques phares est une responsabilité partagée entre les entreprises et le gouvernement. Nous encourageons les entreprises montréalaises à commencer dès aujourd’hui le développement de stratégies d’affaires afin d’être déjà bien positionnées pour profiter pleinement des avantages de l’entente lorsqu’elle entrera officiellement en vigueur », de déclarer Michel Leblanc, président et chef de la direction de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain.
« Le fait que le Canada soit l’un des pays fondateurs du PTP aidera les entreprises de la métropole et du reste du Canada à se positionner avantageusement au sein des nouvelles chaînes de valeur asiatiques et mondiales », croit aussi Michel Leblanc.
Rappelons que le Partenariat transpacifique va créer la plus grande zone de libre-échange au monde entre 12 pays représentant ensemble 40 % de l’économie mondiale. Il donnera un accès essentiel et facilité aux entreprises vers plusieurs marchés regroupant près de 800 millions de consommateurs et dont la croissance de certains pays atteint près de 6 % par année.
« À l’heure actuelle, 26,5 % du PIB du Québec repose sur les exportations à l’international. Avec l’Accord économique et commercial global (AECG) entre le Canada et l’Union européenne, l’accord bilatéral avec la Corée du Sud et cet accord, nos entreprises bénéficieront directement de cette libéralisation des marchés. La Chambre et son équipe d’experts en commerce international, le World Trade Centre Montréal, poursuivront leurs efforts pour accompagner les entreprises de la métropole sur ces marchés prometteurs à l’aide, notamment, des séminaires, des ateliers de formation et des missions économiques qu’elles leur offrent depuis 30 ans », assure Michel Leblanc qui parle au nom de ses 7 000 membres.
Et le débat n’a pas attendu la signature formelle avant de débuter.
Ottawa signe… mais promet un débat avant de le ratifier
« Signer le PTP n’implique pas de le ratifier, c’est simplement une « formalité dans le processus » pour permettre au texte d’être soumis à débat au Parlement (…) Cela ne signifie pas que le gouvernement Trudeau ratifiera ultimement le traité de libre-échange entre 12 pays », a précisé avant de partir pour la Nouvelle-Zélande la ministre du Commerce international, Chrystia Freeland.
« S’il est trop tôt pour approuver l’entente, il est aussi trop tôt pour la rejeter », écrit-elle dans une lettre ouverte publiée sur le site de son ministère.
Seul un vote majoritaire à la Chambre des communes assurerait que le Canada ratifie le PTP. La ministre réclame aussi un examen transparent et rigoureux de l’entente par un comité parlementaire.
Au cours des dernières semaines, elle a aussi effectué des consultations publiques sur cet accord, qui touche de nombreux secteurs industriels, commerciaux et agricoles. Assurant avoir reçu des témoignages en faveur et en défaveur de l’accord.
« Je me rends compte que, pour plusieurs, le PTP représente des occasions importantes, mais qu’il est aussi source d’inquiétudes pour d’autres. Bon nombre de Canadiens ne savent trop quoi en penser et beaucoup d’autres se posent des questions », d’affirmer la ministre Freeland.
Avec les dernières percées technologiques en matière d’informatique ces dernières années, nous pouvons nous rendre compte que nous sommes bel et bien au coeur d’un monde en changement. Comme on peut le constater avec les différentes technologies à disposition du grand public : traduction et reconnaissance vocale vont toujours en s’améliorant; Google Photos est capable de classifier les images que vous avez prises avec votre téléphone intelligent; capable aussi de les « tagguer » avec des mots clés; capable de classer aussi par photo de personne individuelle ! (Essayez-le : cliquez sur la loupe dans Google Photos et vous verrez la magie!) Saviez-vous qu’en 2023, nous serons en mesure d’atteindre la puissance d’un cerveau humain avec un super ordinateur ?
Wow ! Mais sachez qu’en 2045, un seul super ordinateur devrait avoir la puissance des cerveaux de tous les humains sur terre combinés !
Nous pouvons communiquer avec nos proches bien qu’ils soient à l’autre bout de la planète en conversation vidéo, la médecine avance à une vitesse phénoménale, dans moins de 10 ans nous allons avoir des voitures 100% autonomes.
Par exemple, Google X Labs (whoops, Alphabet…) qui a racheté presque toutes les entreprises en robotique et en intelligence artificielle les plus innovantes, dont Boston Dynamics que vous devez déjà connaître pour entre-autre son robot quadrupède qui peut marcher dans des environnements très accidentés et garder son équilibre malgré des coups d’une certaine force.
L’intelligence artificielle là-dedans ?
Maintenant que nous avons les muscles mécaniques comme les moteurs, la science commence à nous dévoiler les cerveaux mécaniques/artificiels.
L’intelligence artificielle (IA), ou apprentissage informatique, peut permettre à un ordinateur de trouver des solutions à des problèmes de façon pratiquement autonome : prise de décision, analyse des risques, reconnaissance de l’écriture, du langage, des fautes de grammaires, reconnaissance biométrique, signaux électriques du corps humain (cerveau, membres) etc … L’un de ces algorithmes est le réseau de neurones multicouches. Cet algorithme est quasiment universel, vous lui donnez en échantillon des paramètres en entrée et une sortie désirée.
Ex : score au test à l’école selon heures étudiées et heures de sommeil.
(Sommeil : 3h, étude : 3h) = 68% au test
(Sommeil : 8h, étude : 4h) = 96% au test
Après avoir fourni plusieurs échantillons au système, vous pouvez lui demander par exemple « si je dors 6 heures et j’étudies 3 heures, combien j’aurai à mon test ? » Évidemment, plus vous donnerez d’échantillons au système, plus précis il sera. Vous pouvez même avoir plusieurs sorties à votre réseau de neurones, voire plus de sorties que d’entrées et quand même avoir des résultats révélateurs.
Et nous n’avons pas parlé de la vision informatique et des avantages considérables de l’IA dans le secteur médical!
Cet algorithme a de nombreux autres usages intéressants, en plus d’être utilisé pour tous les exemples cités plus haut, c’est aussi le même algorithme pour faire tenir un robot bipède en équilibre, mais aussi pour les prothèses myoélectriques.
Représentation d’un neurone formel simple
Cette technique ne peut évidemment pas régler et n’est pas optimale pour tous les problèmes, toutefois il existe une multitude d’algorithmes d’apprentissage informatique différents plus appropriés et performants pour certaines tâches en particulier (classification, détection, reconnaissance, prédiction, décision, etc …)
Nous pouvons déjà accomplir des choses assez impressionnantes avec les technologies d’apprentissage informatique, et vous pouvez considérer que ce n’est que le début (voir le graphique plus bas).
La technologie a toujours des bons et des mauvais côtés. Rappelons, depuis l’industrialisation, tous les gens qui ont perdu leur emploi à cause des percées technologiques, ou vont le perdre… (Lire aussi notre article qui explique pourquoi: L’impression 3D coûtera 5 millions d’emplois d’ici 5 ans). Mais en même temps, cela permet de créer des emplois de plus en plus spécialisés et efficaces. Est-ce que ce dilemme sera bon pour tous le monde ?
Voici un documentaire de 15 minutes qui s’intitule « Humans Need Not Apply », sous-titré en français, qui donne un panorama sur les possibilités actuelles de l’intelligence artificielle, ainsi qu’un aperçu du futur.
Qu’est-ce que le futur nous réserve ? Seul l’avenir nous le dira !
La singularité technologique va-t’elle exister un jour ? Qu’en pensez-vous ?
L’arrivée des années 2000 relevait d’abord du mythe. Nous nous demandions tous quel âge nous aurions le moment venu si nous étions, évidemment, venus au monde avant! Au 31 décembre 1999, les nouvelles technologies étaient déjà tellement dans nos vies que la peur du fameux « bug » de l’an 2000 fut parmi les vedettes du célèbre jour. Les systèmes informatiques traverseraient-ils la date fatidique? Ils le firent! L’enthousiasme pouvait demeurer. Par l’implantation des technologies de pointe et progrès des communications, les fameux changements économiques très tranchés vécu au cours des années 1990 avaient même fait annoncer que cette « Nouvelle économie » mettrait jusque fin au cycle des affaires. Que les nouvelles technologies, permettant de mieux contrôler les stocks – avec le just in time –, atténueraient, voire élimineraient, les récessions. Ne savait-on pas que le surinvestissement dans les stocks était l’une des causes premières des fluctuations économiques depuis la Seconde Guerre mondiale…
Effectivement les louanges de ladite nouvelle économie étaient méritées. Elle était réelle : Internet, les innovations des télécommunications et les nouvelles pratiques d’affaires qui en étaient issues aussi. Une véritable accélération de l’innovation et de la productivité fut belle et bien constatée. Mais des gens cupides sont vite venus gâcher la sauce, gonfler le gâteau, pour surtout partir avec.
« Comme la marée descendante révèle les rudes écueils sous la surface de l’eau, le reflux de l’économie a mis a nu les plus choquantes réalités de l’expansion : les problèmes liés à la comptabilité, aux PDG et aux banques, les relations entre marché et politique, la déréglementation… », analyse avec intelligence le prix Nobel d’économie Joseph Stiglitz dans son livre Quand le capitalisme perd la tête, lui si bon témoin des déraillements de l’économie mondiale de 2000 et 2001.
Problèmes d’éthiques comptables qui menèrent Arthur Anderson à la faillite, abus des PDG notamment avec les distributions de stock-options et des banques avec les cadeaux aux initiés et copains – qui provoqueront pour ses dernières des amendes de 1,4 milliard de dollars seulement dans le règlement judiciaire avec l’attorney général de l’État de New York, Eliot Spitzer. Dans les années 1990, la rémunération moyenne des hauts dirigeants des entreprises aux USA s’est accrue de 442% en huit ans, passant de 2 M$ à 10,6 M$. Une flambée d’abus.
À la réelle vague de croissance, s’ajouta, par la convoitise, l’immoralité et la corruption, un gonflement de bulle qui, elle, éclata d’autant plus qu’elle avait été artificialisée par les tromperies, mais n’en reste-t-il pas pour autant une promesse qui se réalisait?
Oui, le passage de l’ère industrielle à l’économie de l’information et du savoir laissa présager la fin des cycles économiques de croissance et de récession. Plus de deux siècles de capitalisme en montagne russe trouvaient enfin un aboutissement salvateur, un optimisme vers la disparition de la pauvreté. Bien des analystes très compétents y crurent lors de la fascinante décennie des années 1990 qui n’en finissait pas d’offrir de la croissance à qui mieux mieux. Il était si tentant d’y croire. L’économie de la troisième vague à la Alvin Toffler était belle et bien en marche et la donne changeait fondamentalement.
Le gouffre boursier de mars 2000 vint tout chambouler. Tout remettre en question. Mais en a-t-on tiré les bonnes conclusions… Le 11 septembre de la même année viendra certes brouiller l’analyse. Deux guerres du Golfe plus tard et plus de sagesse dans l’analyse des « start up » et des dot.com, il est possible d’y voir claire.
Un véritable vol du millénaire
L’enquête et le procès sont maintenant terminés et il devient évident que le rêve n’était pas impossible. On nous a volé les fruits de la 3e vague! Un véritable vol du millénaire.
La cupidité des courtiers de Wall Street avec une soif de gains faciles et surtout immoraux, ajoutée à trop de puissants PDG gourmands et malhonnêtes. Des gouvernements faibles devant des responsabilités d’État qui s’imposaient. Il fallait peut-être passer par là! Mais le temps est venu de bien comprendre cette histoire et de remettre les espoirs à la bonne place.
Ni la mondialisation économique, ni des excès de déréglementations ne doivent continuer de porter le blâme. Des fraudeurs et des mauvais exécuteurs ont fait dérailler le train. Le TGV de la nouvelle économie continue bel et bien d’exister.
Ce 1er janvier 2016 le grand quotidien La Presse de Montréal est devenu le premier au monde à mettre fin à son édition papier. Vive LaPresse+ uniquement sur internet. Les avions survolent la planète avec les nouveaux moteurs d’éco-conception 20% plus efficace. Merci à Bombardier.
Ce n’est pas vrai que la mondialisation ne fonctionne pas. Des milliards de dollars circulent mieux, plus vite, vers plus d’opportunités. De la richesse se crée. Du progrès aussi. Il faut organiser tout ça. Que la mondialisation politique suive l’économique. Équilibrer l’État et le marché.
Reprenons vite espoir en cette révolution de la 3e vague, forte du partage du savoir et de l’accès quasi immédiat à l’information partout sur le globe.