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NOTES d’un JOURNALISTE EN VACANCES EN INDE… RDV du 02-03-2020 (2 DE 4)

Voici l’article 2 de 4 de notre dossier spécial…

JOUR QUATRE (mais Jour 2 à destination) :

(02-03-2020, modifié le 5-7 mars) Parti du Québec un lundi en après-midi, avec comme premier long-courrier le vol LX-0087 Montréal-Zurich. Agréablement surpris de cette courte escale suisse-alémanique et ravi d’avoir pu admirer un bout des Alpes au soleil levant alors que le vol de la vénérable Lufthansa (LH-0758 Zurich-Francfort) levait lui aussi. Bousculé par le temps dans les dédales des nombreux terminaux et passages roulants de l’immense hub-aéroportuaire de la métropole allemande… Nous parvenions enfin à nous envoler vers l’Inde, ce sous-continent de l’Asie du Sud, vers 09h35 heure d’Europe occidentale.

Objectif: atteindre Chennai (Madras), qui par les airs, en partance de Francfort, est encore une aventure d’une dizaine d’heures en avion long-courrier; tout en se rappelant notre heure de départ du Québec, qui ajoutait un 10 h 30 de décalage horaire que nous devions ajouter à ce périple s’étirant, finalement, sur trois jours du calendrier…

Chennai : 01 h 30 donc la nuit, nuit de novembre, nuit d’un mercredi naissant, offrant un confortable plus de 20 degrés Celsius. Une température fort agréable pour deux Québécois plus que fatigués. Comme le fut la vue quasi silencieuse de pourtant tant d’Indiens nous faisant une sorte d’allée d’honneur à la sortie de l’aéroport.

Une sorte de douce frénésie nous emporte tous les deux… mais à mon silence, un écho s’inscrit dans ma mémoire, pour le reste de ma vie à peine nos deux pieds arpentant l’allée des taxis et autres tuk-tuk, mini-bus, autobus, voitures privés, UBER et consorts s’offrant à nous après des procédures douanières, somme toute, faciles, voire sans histoire :

« J’aime ce pays », s’exclama sans plus attendre
mon camarade de voyage.

Il est rendu passé 04 h 00 du matin lorsque la porte de notre chambre, réservée depuis longtemps du Canada avec AirB&B, nous offre enfin accès à quelques heures de sommeil, sur deux lits petits, mais bien au centre d’une pièce grande et largement fenestrée. D’un côté, elle nous permet de contempler le cloché de la basilique toute proche, et de l’autre, de voir, sentir, savourer le vent et l’air salins de la côte du Golfe du Bengale toute proche.

Vers 09 h 30, après le petit-déjeuner totalement et délicieusement indien de notre hôtesse Nalini (une trop grande assiette métallique que bien partiellement remplie et beaucoup plus du genre repas de midi que le café-croissant beurre et confiture que le visiteur de Paris ou Montréal pourrait espérer) nous chaussions nos sandales et partions enfin à la conquête de ChennaiMadras.

Mission: rendre indien le cellulaire No 1 apporté du Canada, et magasiner un cellulaire No 2 – qui sera incidemment indien – pour compléter les équipements de survie, de communications de base et d’urgence de notre duo de voyageurs, en Inde, pour la première fois de leur vie.

Mais pas avant de faire un arrêt, disons « incontournable », pour tout baptisé catholique en Amérique et/ou touriste en Inde, pour voir et/ou saluer la tombe du fameux saint St-Thomas – oui l’Apôtre parmi les douze dudit Jésus le juif né de Marie – à la SanThome Basilica (basilique St-Thomas l’Apôtre) qui s’offre sous nos yeux à moins d’un kilomètre de notre guest-house.

La basilique Saint-Thomas est une église sise en bord de mer (…) dans le quartier de Mylapore à Chennai. Dans une crypte sous l’autel principal se trouve le tombeau présumé de l’apôtre saint Thomas. Un premier édifice portugais construit au XVIe siècle a été remplacé par une église néo-gothique construite en 1893. Elle est depuis 1952 la cathédrale de l’archidiocèse de Madras-Mylapore.

SOURCE: https://fr.wikipedia.org/wiki/Basilique_Saint-Thomas_de_Chennai

De l’eau bénite à l’eau salée de l’Océan

À deux-trois cents mètres plus à l’ouest, c’est l’imposante plage de sables blonds – s’allongeant sur environ six kilomètres – qui nous est accessible. C’est là que se découvre, notamment, l’atmosphère et des vestiges physiques symboliques, et aussi de conscience, de l’historique vague déferlante meurtrière du tsunami du début du millénaire. La mémoire de quelque 200 victimes décédés ce jour-là, selon ce que l’on apprend sur place, pèse bizarrement, tout en contraste avec la quiétude et le calme du moment. Le soleil et le vent sont si agréables. Des chiens – apparemment tous apparentés car toujours de même grosseur et allure – dorment ça et là, peinards, sous les ombres de petits monticules de plage sablonneuse bien d’à don, voire de « niches » improvisées auto-fabriquées par l’instinct, voire l’intelligence, des premiers intéressés. À cette heure déjà chaude de l’avant-midi, bien peu d’humains se baladent ou reposent sur cette immense plage. Ce qui amplifie momentanément l’apparence de calme, de sécurité et de quiétude du lieu.

Mais dès l’atteinte de l’artère de front de mer – un véritable boulevard urbain – c’est la ville, et la vraie mégalopole, qui est là. Chennai, métropole de toute l’Inde du Sud moderne; Chennai/Madras, ex-capitale et siège de l’un des quatre gouverneurs anglais de l’époque des Indes sous l’Empire britannique des XIXe et XXe siècles d’avant l’indépendance de 1947.

Et notre première vache. Oui, les fameuses vaches qui sont sacrées et donc intouchables en Inde. Celle-là fut blonde, plus que calme car bien couchée à pourtant moins de trois mètres de la bordure de rue. Elle regardait, nous regardait à peine… la regarder! Elle fut à peine distraite par le saut de pelures de fruits/légumes qu’un Indien lui verse, tout proche d’elle, naturellement. Elle n’en fera même pas de cas, tout le temps que nous pourrons l’observer… Les vaches de l’Inde… Ce n’est qu’un début! Celle-là était blonde, et couchée, sur le sable au bord d’un boulevard. Il y en aura bien d’autres.

On se couchera tôt ce mercredi-là, notre première journée en Inde!

Ledit Jour 2, c’était donc le jeudi matin heure locale et notre JOUR QUATRE depuis notre grand départ du lundi. Le cellulaire No 1 a trouvé sa carte SIM. Il est « indiennisé », chez AIRTEL, avec un plaisant et for peu coûteux forfait – pour des canadiens – ; un forfait de 28 jours en téléphonie et messagerie texte illimitées, pour le territoire de l’Inde en entier, à seulement 249 ruppies, oui SEULEMENT 5$.

La recherche du cellulaire No 2 sera presque une quête: neuf, usagé, en petit magasin, en grande surface, en boutique de rue… C’est finalement la rue qui l’emportera. Pour quelques dizaines de dollars, et une bonne heure de magasinage à en choisir un, sous le soleil en pleine rue, car elles sont là les boutiques de rues, le jeune très, trop… occupé vendeur nous vendra enfin l’outil souhaité.

ENFIN! Oui enfin, car il aura fallu attendre, et l’attendre, et attendre encore presque toute une heure. Car nous dûmes revenir sur nos pas. Retrouver ladite petite boutique… dans la bonne rue… Après avoir changé d’idée et avoir à retourner sur place pour malheureusement nous frapper le nez sur une boutique fermée pour la pause de midi. Une attente qui rapidement n’en fut plus une. Devint une aventure… Celle des voyageurs curieux et assoiffés des nouveautés d’un pays tout à découvrir. Une petite heure en fausse patience (il faisait tout de même autour de 30 degrés Celsius sous ce soleil du midi) qui, oui, se transforma progressivement en découvertes, en plaisirs, en reconnaissance et gratitude, et en surprise, voire stupeur et incrédulité, puis en apprentissages de l’observation et satisfaction de la compréhension sans besoin du jugement.

De l’attente à la surprise, voire la stupeur

Qu’il peut effectivement s’en passer des choses rien qu’à rester faire les pieds de grue devant une minuscule boutique de rue qui est fermée pour la pause-midi; dans une rue d’un quartier commercial de Chennai, sous un soleil tapant de ciel bleu de novembre.

Juste en tournant la tête et traversant la rue, un sympathique vieil homme vous brasse un chaï bien chaud et épicé, à boire sur place à l’une des trois petites tablées de son établissement. Ouf, avec le ventilateur fourni en plus : merci / nandri ! Et j’en veux un deuxième SVP. Nandri!

Mais que vois-je qui se présente en mini-troupeau? Juste là, devant mes yeux, sans que j’aille à me lever de ma chaise ni à quitter l’aire de mon salvateur ventilateur : ce sont bien 3-4 vaux qui s’arrachent les détritus de notre bout de rue, notamment cette bête – probablement plus intello que les autres… – qui s’ingurgite le papier journal d’une édition entière de la presse du jour, dit journal pourtant bien suspendu au présentoir sur-élevé de bois de l’étale du marchant voisin de mon vendeur de cellulaire (lui toujours aux volets fermés)! Wow, quel spectacle, en pleine ville de six millions d’habitants. Oui, oh que oui, les vaches – matures/en voie de vêler/avec vaux/vieilles finies, en voix ou silencieuses, dormantes ou déambulant, observantes ou bêtement stationnaires, etc.); ces vaches je vous le dis, elle sont toutes sacrées en Inde. Laissez-moi vous en passer un papier!

Le petit troupeau passe… continuant son chemin; et nous, nous continuons notre attente. Au son de la rue, aux moult sons et milles couleurs et actions de cette artère de petits commerces, avec sa vie urbaine trépidante. Des sons, des images, une chaleur qui finissent presque par nous hypnotiser, nous mener vers Morphée. Le collègue en grille une juste devant moi; je me lève enfin pour le rejoindre. Et soudain ÇA SURGIT! Ceci… Allez… Cliquez ici-bas:

https://l.facebook.com/l.php?u=https%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3Dx6lULt8LDJ8%26feature%3Dshare%26fbclid%3DIwAR1PxN1O4XOo-xccjFrObvBYym3KhCZvI3zNwhlp3VrKEQqmqI2jiBoOHDY&h=AT3sxqw_wjESjoM0jt66HBs-Du2-07VgJmvWkO0-_A_HgmEukC1iVfy_uxuKX4DIIMVFt3xORHkU4JjEHxSGME7R1HQwyfWkMizZnsHMsp1xxE5N2842SXoh2A8Ehw

Comme une surprise, sortie de nul part, le son d’abord puis notre vision de la chose qui s’ajoute aux sens captivés. Ils roulent, se roulent, se déroulent en passant devant nous… Devant NOUS ? NOUS-deux ? Pour nous ? Juste pour nous ? Entre-autres à cause de nous-deux, Blancs d’Occident bien évidents? Ou sans rien à voir avec nous, qui ne serions que des chanceux, ou victimes, du hasard laissés au même hasard du risque de l’incrédulité ? Mais qu’est-ce qui vient de se passer-là juste sous nos yeux ?

Et mon alerte camarade – WOW Merci/Nandri Dick! – qui n’en manquera pas une séquence, à partir du premier coup-d’oeil qu’il a su si rapidement saisir, sentir… pour réagir. Avec son cellulaire à lui, le No 1, il filma, enregistra, sachant parfaitement capter toute l’affaire, pour merci l’immortaliser, pour nous permettre ensuite de la partager.

De VOUS la partager!
Alors qu’était-ce?
Répondez-nous. On lance le débat.

Donnez-nous votre interprétation de cette tranche de vie en Inde. Scène plutôt stupéfiante pour deux frais arrivants du Québec, à leur premier périple en Inde – aux Indes! – et seulement qu’à leur deuxième jour sur place.

Bienvenue en Inde! Incredible India! Incroyable Inde! Aime l’Inde et l’Inde t’aimera. Alors c’était le clou de notre journée. JOUR QUATRE! Coup de misère humaine… Coup de charité extrême… Coup double, peut-être, au final!

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DOSSIER SPÉCIAL: Notes d’un journaliste en vacances en Inde fin 2019 – 4 RDV du 01-02 au 01-05-2020

– RDV du 1er février 2020 (voir le lancement du DOSSIER sur le lien Facebook du cyberjournal)
– RDV du 2 mars 2020
– RDV du 3 avril 2020
– RDV du 1er mai 2020

C’est parti! Reparti… pas pour un nouveau voyage en Inde, mais pour en faire un partage, un geste d’amour envers les précieux lecteurs du Cyberjournal depuis 1997. Merci à vous, plusieurs qui sont des amis proches et fidèles, plusieurs aussi des amis aidants et collaborateurs, plusieurs d’agréables connaissances, trop des inconnus encore. Merci d’avance à ceux qui nous découvrirons grâce à ce DOSSIER SPÉCIAL. Que cette initiative rédactionnelle sans précédent pour le Cyberjournal CommerceMonde.com nous mène tous plus haut dans notre conscience du monde. Il en a bien besoin.

INTRODUCTION
Partir en Inde pour un humain né en Occident comporte une forte dose de la notion « VOYAGE ULTIME »… En tous les cas, c’est la certitude que nous avons à notre retour. Nous, oui, car je ne suis pas parti là en solitaire. Il n’en était pas question. La chance fut d’ailleurs déjà là… c’était quelque part en juin 2019. Il me fut relativement facile de me trouver un brave et fidèle compagnon de voyage pour ce voyage à Auroville, en fait. Car c’est pour découvrir par moi même – voir, sentir, toucher, goûter, regarder, écouter, parler et discuter in situ, comprendre… -; ce, avec l’aide et la complicité de mon compatriote, lui-aussi Québécois, véritablement découvrir donc l’expérience aurovilienne, que nous sommes partis, par un long vol Montréal-Chennai (via l’Europe), pour cette « ville mondiale ».

Alors bienvenue dans ces « Notes d’un journaliste en vacances… » oui en Inde, mais pour raisons très circonstancielles, parce que c’est l’Inde qui a accueilli les Auroviliens, à partir officiellement du 28 février 1968. Date symbolique et importante, même dans l’histoire de l’humanité entière, alors que les représentants de 126 pays étaient formellement unis et réunis sur place, à 8 kilomètres au nord de Pondy, dans l’état du Tamil Nadu, pour une cérémonie de création dudit lieu. Ce, sous l’égide même de l’UNESCO notamment. Ce, pour débuter une expérience sans précédent et encore unique sur notre Terre. Notre petite planète… pour une très complexe humanité.

À suivre… (dès le 2 mars 2020 avec l’article 2 de 4 du dossier spécial) 

Auroville, Tamil Nadu, Inde
Arrivée à Solitude Farm 25-11-2019 Auroville Inde
Crédit photo: CommerceMonde.com

Gaming Innovation : Slot Game Developers Keeping the Spinning Reels Fresh and Exciting

Regardless of how you view online gambling, it’s big business and one that’s proven to be a boon to the gaming industry and developers around the world. Some of the studios behind the most popular online casino games have been around for a surprisingly long time, while others are still forcing their way to the top of a competitive industry, thanks to making the most of cutting-edge technology and exciting innovations. If you’re a regular player of online slots, chances are that these are two of the developers behind more than a few of your favourite games.

Microgaming

Back in 1997, Ultima Online by Origin Systems was launched to the public and for many, it shaped the future of MMOs for the next two decades. However, in 1994 Microgaming was doing the same for casino games, launching the world’s first online casino software.

While Origin has already been swallowed by EA Games and eventually disappeared, Microgaming is still around – and these days is arguably the biggest player within their industry niche, producing a whole suite of software for leading online gambling companies and boasting a massive portfolio featuring hundreds of games.

 

They’ve developed some of the most played online slots such as Avalon, or the aptly named Mega Moolah, with one lucky winner cashing in over €17.8 million in one spin back in 2015. That record win was recently beaten in 2018 with a €18.9 million jackpot payout.

Tie-ins with branded products have also helped the company’s growth, including blockbuster slot games themed around titles such as Jurassic World, Highlander and Game of Thrones, to name just a few. For North American gamers keen to check out the latest online casino slots from Microgaming, one of the options is Dunder Casino, which hosts a huge collection of slots and many featuring progressive jackpots that can sometimes stack up to huge cash prizes.

Yggdrasil

By contrast to some of the bigger names in the online gaming industry, Yggdrasil might be hard to pronounce and considered by some to be a relatively new kid on the block, but they’ve swiftly made waves thanks to their innovative approach to games creation. Indeed, at the International Gaming Awards they were voted Innovator of the Year back-to-back for 2017 and 2018, and Gaming Software Supplier of the year in 2016.

Certainly, they’ve received plenty of deserved recognition and considering that Yggdrasil was only founded in 2013, they’ve grown rapidly and built well on their continued success. Taking a different approach to online casinos, they’ve created appealing titles such as Dark Vortex, Wolf Hunters and The Jungle Book, adding a rich layer of quest-based adventure and role-play to online slots.

 

Quite content at being recognized as an established underdog among giants in the industry, Yggdrasil is changing the way players interact with online casino games, and the biggest operators are taking note. Bringing groundbreaking social networking applications to slot games, or using motion capture to enhance live blackjack, this studio is creatively shaping the future of online gaming and far beyond just gambling oriented games.

Greenpeace dénonce les multinationales toujours responsables de déforestation avec l’huile de palme

Dans une nouvelle enquête publiée le 19 septembre 2018, Greenpeace International révèle que des multinationales comme Unilever, Nestlé, Colgate-Palmolive, Mondelez et L’Oréal restent impliquées dans la destruction des forêts tropicales d’Indonésie. Cela « en dépit de leurs engagements ». Greenpeace dénonce également la « déforestation croissante de la province indonésienne de Papouasie, jusque-là épargnée ».

Toujours selon la même enquête, Greenpeace a examiné les activités de 25 producteurs d’huile de palme responsables de déforestation. L’organisation aura ainsi découvert que depuis fin 2015, ces producteurs qui fournissent de l’huile de palme aux multinationales agroalimentaires et cosmétiques ont détruit plus de 130 000 hectares de forêts.

De plus :

  • 40% des zones déforestées (51 600 hectares) se trouvent en Papouasie indonésienne, une des régions du monde les plus riches en biodiversité et qui était jusqu’à récemment préservée de l’industrie de l’huile de palme.
  • 12 grandes marques s’approvisionnent auprès d’au moins 20 de ces producteurs d’huile de palme : Colgate-Palmolive, General Mills, Hershey, Kellogg’s, Kraft Heinz, L’Oréal, Mars, Mondelez, Nestlé, PepsiCo, Reckitt Benckiser et Unilever.

L’enquête de Greenpeace démontre que Wilmar International – qui est le plus gros négociant d’huile de palme au monde et se positionne d’ailleurs comme le principal client de 18 des producteurs étudiés – continu à détruire les forêts tropicales.

Déjà en 2013, Greenpeace dénonçait « les atteintes à l’environnement de Wilmar et de ses fournisseurs ». Plus tard la même année, Wilmar avait adopté une politique « zéro déforestation, zéro destruction des tourbières et zéro exploitation de la main d’œuvre ». Mais l’analyse la plus récente de Greenpeace prouve qu’encore aujourd’hui « Wilmar s’approvisionne en huile de palme produite par des producteurs qui détruisent les forêts tropicales et s’accaparent les terres de communautés locales ».

«Les multinationales des secteurs agroalimentaire et cosmétique comme Unilever, Nestlé, Colgate-Palmolive et Mondelez ont promis à leurs clients qu’elles n’utiliseraient que de l’huile de palme zéro déforestation, mais elles n’ont pas tenu cette promesse. Ces multinationales doivent régler le problème une bonne fois pour toutes en suspendant leurs relations avec l’entreprise Wilmar tant qu’elle ne peut pas prouver que son huile de palme ne contribue pas à la déforestation»,  a expliqué le chargée de campagne Forêt à Greenpeace Indonésie, Kiki Taufik.

Le rapport présente aussi une évaluation complète de la déforestation touchant présentement la Papouasie indonésienne.

« L’industrie de l’huile de palme s’enracine en ce moment en Papouasie et déforeste à un rythme alarmant. Si nous n’arrêtons pas ces producteurs sans scrupules, les magnifiques forêts de Papouasie seront détruites pour de l’huile de palme, à l’instar de celles de Sumatra et de Kalimantan », alerte aussi Kiki Taufik.

Impacts de l’huile de palme sur l’environnement et le climat

Le rapport “Final countdown” complet en anglais est disponible: ici.

Des photos et des vidéos illustrant l’enquête sont disponibles: ici.

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Source de l’image: Greenpeace

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L’appel à projets du Fonds franco-québécois pour la coopération décentralisée est ouvert

Les municipalités, organismes de développement économique et organisations à but non lucratif du Québec et de la France ont l’opportunité de pouvoir recevoir un appui financier significatif afin de développer des projets de coopération en sollicitant le Fonds franco-québécois pour la coopération décentralisée (FFQCD). Le gestionnaire du fonds procède présentement à un « appel à projet » ouvert jusqu’au 15 octobre 2018.

Dans la perspective québécoise, ce programme s’adresse aux organismes des régions du Québec (municipalités, organismes socio-économiques) qui coopèrent avec une collectivité locale en France (municipalité, département, région).

Le FFQCD permet notamment, de financer une partie des frais de déplacement et de séjour. Il est soutenu par le ministère des Relations internationales et de la Francophonie du Québec et le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères de la République française.

Pour plus d’information : www.mrif.gouv.qc.ca/FFQCD