Archives de catégorie : À la une

Engagement des administrateurs auprès des actionnaires : nouvelles lignes directrices

L’économie de plus en plus mondialisée complexifie sans cesse la relation investisseur/administrateur. Comment rejoindre, par exemple, les attentes et besoins de l’investisseur vivant à Tokyo et Pretoria lorsque les administrateurs au conseil d’administration de la compagnie sont, eux, au siège social à Toronto ? Les lignes directrices que l’Institut des administrateurs de sociétés (IAS), l’association nationale canadienne représentant les conseils et les administrateurs, vient de publier début mars 2016 concernant l’engagement entre administrateurs et actionnaires sont donc bienvenues. Elles sont le résultat des délibérations d’un panel d’investisseurs et d’administrateurs reconnus. Globalement, l’IAS recommande un meilleur engagement des administrateurs auprès des actionnaires et propose six lignes directrices sur le dialogue entre conseil et investisseur.

L’IAS appuie aussi cet engagement de telle manière qu’il soit un complément aux relations avec l’investisseur menées par la direction et s’avère un important moyen de favoriser une compréhension susceptible d’aider les conseils à mieux superviser l’émergence d’entreprises fortes, innovatrices et en croissance.

Pour étudier les mesures nécessaires afin de favoriser un meilleur engagement auprès des actionnaires, l’IAS a réuni un Comité consultatif composé de Greg Boland, Ian Bourne, David Denison, Peter Dey, Eileen Mercier et Michael Wilson.

UN LONG PROCESSUS

L’IAS a identifié le besoin d’un engagement accru et de lignes directrices pour y parvenir lors de son Congrès national de 2015. Les administrateurs font face à des exigences croissantes de la part des investisseurs en vue d’exercer davantage d’influence au conseil. Cela mène parfois à l’activisme des actionnaires ainsi qu’à des opinions souvent divergentes sur la manière de s’acquitter de leurs responsabilités de la part des investisseurs, des autorités réglementaires, des médias et d’autres commentateurs.

« L’IAS est d’avis que les conseils devraient être des leaders dans ce débat, comme il se doit en vertu de leur rôle central à titre de fiduciaires de leurs entreprises (…) nous considérons qu’il s’agit là d’une véritable occasion pour les administrateurs de s’engager auprès des actionnaires de façon judicieuse, soit en établissant des ponts, en favorisant la compréhension mutuelle et en fournissant des renseignements précieux », explique Stan Magidson, président et chef de la direction de l’IAS.

Le fruit de ces délibérations est un document qui présente six grandes recommandations aux acteurs du marché canadien :

  1. Apprenez à connaître vos investisseurs les plus importants.
    • Les conseils devraient connaître leurs actionnaires d’importance et leurs parts de l’actionnariat.
  2. Apprenez à reconnaître les principaux avantages de l’engagement.
    • L’engagement consiste à mieux comprendre le point de vue de l’autre.
  3. Établissez un processus qui fonctionne pour vous
    • Adoptez une approche stratégique.
  4. Établissez des sujets de discussion.
    • Sachez de quoi vous parlez et de quoi vous pouvez parler.
  5. Invitez les participants qu’il faut.
    • Faites en sorte que ce soit les décideurs qui soient dans la salle.
  6. Examinez et analysez ce que vous avez appris.
    • Passez en revue l’information que vous tirez de votre engagement.

Les recommandations sont exposées plus en détail dans le document intitulé Lignes directrices concernant l’engagement des administrateurs auprès des actionnaires, disponible à l’adresse Guide de l’IAS sur l’interaction entre les administrateurs et les actionnaires

ICD_Engagement_FR_Thumbnail (1)

L’IAS est une association professionnelle sans but lucratif comptant plus de 10 000 membres et un réseau de 11 sections régionales à travers le Canada. Représentant les intérêts des administrateurs, l’institut encourage le partage des connaissances et de la sagesse au moyen de la formation, de programmes et services de développement professionnel, ainsi que d’un leadership et d’une représentation éclairés afin d’atteindre les normes les plus élevées en matière de gouvernance.

www.icd.ca

Chronique: Faire affaires en Europe

(2e de 6)

L’Union européenne est le deuxième partenaire commercial du Québec, tout juste derrière les États-Unis. Première économie mondiale, l’Europe représente donc, pour les entrepreneurs et exportateurs du Québec, un débouché particulièrement intéressant. Le commerce de marchandises entre les deux économies représentait un peu plus de 11 % du commerce total du Québec en 2015 et tout semble indiquer que ce pourcentage augmentera de façon significative lorsque l’accord économique et commercial entériné l’an dernier entre le Canada et l’Union européenne sera ratifié. Les entrepreneurs québécois intéressés à faire affaires en Europe – et plus particulièrement en France, compte tenu des liens privilégiés qui unissent traditionnellement ce pays et le Québec – ont donc plus que jamais d’excellentes raisons de s’y préparer. Nous allons tenter de contribuer à cette réflexion dans les lignes qui suivent.

La reprise de l’économie européenne s’appuie sur des assises solides et la zone euro continue d’offrir des opportunités d’affaires particulièrement intéressantes. À moyen terme, un nouvel essor de l’investissement et de la produc­tivité, appuyé par la poursuite de réformes structurelles, devrait permettre à l’économie européenne de confirmer sa place de choix sur l’échiquier planétaire.

UN ACCORD ÉCONOMIQUE ET COMMERCIAL GLOBAL QUI BÉNÉFICIERA À L’ÉCONOMIE CANADIENNE

L’accord de libre-échange (AECG) conclu en 2013 entre le Canada et l’Union européenne (UE) englobe non seulement le commerce de biens et de services, mais aussi les investissements, la mobilité de la main-d’œuvre, l’accès aux marchés publics, l’environnement, les droits de propriété intellectuelle et la réglementation. L’implantation de cet accord, dont les révisions légales sont maintenant complétées, comportera bien sûr certains défis, mais tout semble indiquer que ses bienfaits seront multiples et très importants pour l’économie canadienne.

Une étude conjointe Canada-UE publiée en octobre 2008 prévoit notamment qu’un accord économique et commercial entre le Canada et l’Union européenne devrait accroître les échanges bilatéraux de 20 % et injecter 12 milliards $ dans l’économie du Canada.

Le jour de l’entrée en vigueur de l’AECG, environ 98 % de toutes les lignes tarifaires de l’Union européenne seront exemptes de droits de douane pour les produits dont l’origine est le Canada. De même, ce seront 98,4 % des lignes tarifaires canadiennes qui seront abolies pour les produits en provenance de l’Union européenne. Dans les deux cas, une période transitoire de trois à huit ans est prévue pour permettre l’élimination graduelle des tarifs douaniers de certains produits considérés comme sensibles.

L’AECG comporte des dispositions visant à favoriser le commerce de services entre le Canada et l’Union européenne, un secteur encore peu développé entre les deux parties et qui jouira d’un potentiel d’accroissement significatif. L’accord comporte également plusieurs mesures afin de faciliter la mobilité des gens d’affaires et de certaines catégories de travailleurs entre les deux zones, et il prévoit un processus de reconnaissance mutuelle des qualifications professionnelles. Les deux parties comptent par ailleurs établir une coopération en matière environnementale.

Pour les entreprises canadiennes et québécoises, l’accord conclu avec l’Union européenne représente une occasion unique d’accéder librement à l’un des plus grands marchés dans le monde et d’ainsi accroître la diversification géographique de leurs activités. L’Union européenne regroupe 28 pays membres, dont le Royaume-Uni, l’Allemagne, la France et l’Italie. Au 1er janvier 2014, la population de l’Union européenne était de 507,4 millions d’habitants; en comparaison, la population des États-Unis était de 317,8 millions alors que celle du Canada n’était que de 35,7 millions. En 2013, la production de l’économie de l’Union européenne était de 17 958 milliards $ US, soit un niveau légèrement plus élevé que celui des États-Unis (16 768 milliards $ US) et presque dix fois plus élevé que celui du Canada (1 827 milliards $ US).

Le Québec et l’Ontario sont particulièrement impliqués dans les échanges commerciaux avec l’Union européenne. Alors que les deux provinces représentent au total près de 56 % de la production canadienne, elles comptent pour environ 70 % des exportations canadiennes destinées à l’Union européenne. Quant aux importations en provenance de l’Union européenne, près de 77 % d’entre elles sont destinées à l’Ontario ou au Québec.

Les bienfaits de l’AECG seront donc nombreux pour l’économie canadienne, puisque celle-ci bénéficiera des occasions d’affaires que suscitera l’ouverture pratiquement sans contraintes au commerce de biens et de services ainsi qu’aux investissements. Les exportateurs canadiens auront un libre accès aux marchés européens, qui leur procureront un potentiel de croissance accru. De plus, l’abolition des tarifs douaniers sur une multitude de produits importés entraînera une réduction des prix à la consommation pour ces biens, ce qui plaira aux ménages canadiens. On s’attend à ce que l’AECG soit signé cette année et qu’il entre en vigueur en 2017.

La directrice principale du Bureau de représentation Desjardins Europe, Lucia Baldino, rappelle que « les entreprises canadiennes ont tout intérêt à s’y préparer dès maintenant, afin de pouvoir profiter pleinement de l’accord dès son entrée en vigueur ».

LBaldino2drapeau

Lucia Baldino


ATELIER PLANIFIER ET RÉUSSIR SON IMPLANTATION EN FRANCE

Si vous prévoyez faire affaires en France, nous vous invitons à participer à un atelier qui vous permettra de bénéficier de l’expertise de fiscalistes, d’avocats et de représentants de Desjardins, de CM-CIC et de Business France. Les conseils de ces spécialistes et les outils qu’ils vous proposeront vous aideront à préparer ou bonifier votre stratégie de développement en France.

L’atelier sera présenté à Sherbrooke le 5 avril et à Drummondville et Joliette, le 6 avril 2016.

Pour plus de détails, veuillez écrire à :

services.internationaux@ccd.desjardins.com.

Pour consulter le Point de vue économique de Desjardins sur le sujet : Accord économique et commercial global entre le Canada et l’Union européenne. Un survol de l’entente, des échanges commerciaux et des avantages

Entreprendre à l'étranger

Consultez la précédente chronique de madame Baldino.

Puissant coup double numérique à Québec : vivez « Intelligences numériques » et « Opportunités digitales »

Un de nos récents articles vous a présenté la 1er STRATÉGIE CANADIENNE DE DÉVELOPPEMENT DES TALENTS NUMÉRIQUES

Un pas dans la même direction sera fait le mois prochain au Québec dans le contexte de la Semaine numérique de Québec. On peut même parler de la possibilité d’y faire un puissant coup-double numérique : d’abord dans le cadre de la nouvelle conférence scientifique  « Intelligences numériques », du 4 au 6, et aussi du rendez-vous d’affaires « Opportunités digitales », les 5 et 6 avril 2016. Dans ce dernier cas, des entreprises ayant fait l’expérience de l’innovation par le numérique viendront présenter les solutions et technologies numériques qu’elles ont implantées en partenariat avec une entreprise du numérique. Au total, 15 exemples représentatifs sont à l’ordre du jour sous trois thématiques.

« Intelligences numériques / Digital Intelligence 2016 », elle, est une nouvelle conférence internationale dédiée aux cultures et à la société numérique, organisée conjointement par l’Université de Nantes, en France, et l’Université Laval de Québec, au Canada. Elle a pour ambition d’être un lieu de rencontres inédit entre chercheurs relevant de thématiques variées afin de débattre et contribuer à la constitution d’un nouveau paradigme scientifique et culturel sur les intelligences numériques. À Québec le principal organisateur de cette conférence de trois jours est l’ITIS, l’Institut Technologie de l’Information et Sociétés.

Intelligences numériques / Digital Intelligence 2016

60 conférenciers | 5 axes thématiques

  • Villes intelligentes et systèmes connectés
  • Humanités, patrimoine et cultures numériques
  • TIC en éducation et jeux sérieux
  • Tendances numériques et Machine-Learning
  • Web social, marché de l’emploi et TIC

 di2016.org/programme-et-conferenciers

À l’ère du monde numérique, tout évolue rapidement et les entreprises ne sont pas épargnées, y compris celles qui travaillent avec des matériaux bien réels pour construire des biens durables, comme des bâtiments et des villes. Les entreprises doivent donc être en mesure de réagir rapidement à la demande de leurs clients et de prendre des décisions éclairées en fonction de nombreuses données à leur disposition. Le numérique devient de plus en plus un outil indispensable pour traiter toutes ces données, optimiser les processus et gagner du temps dans la prise de décision.

APN inc., un manufacturier en aéronautique de Québec, a ainsi réussi à intégrer tous les logiciels qui participent à la production (l’ERP, les machines-outils, les logiciels FAO, etc.) dans un même système CIM (Computer Integrated Manufacturing). Cet outil lui permet de contrôler et de visualiser toute sa production en temps réel. Pour effectuer ce virage et mettre en place ce projet d’envergure visant à assurer une qualité exemplaire des produits, la firme a pu être accompagnée par le CEFRIO via le programme PME 2.0.

Un autre exemple. Le gain de temps et l’efficacité sont des enjeux importants, notamment dans les secteurs du bâtiment et de l’énergie, où les employés travaillent principalement à distance et sur le terrain. Dans la gestion de tous ses chantiers de construction, COMEODE utilise ainsi l’application développée par ArchiReport. Grâce à cette plateforme, cette entreprise peut générer automatiquement, à l’aide d’une tablette, les rapports de suivi incluant photos, positions sur plan et annotations, et les transmettre à ses intervenants directement depuis le chantier. Le gain de temps et de simplicité est indéniable et la ressaisie des informations sur ordinateur est dorénavant dépassée.

De la même façon, IOS Services géoscientifiques et le Centre de géomatique du Québec ont collaboré pour développer une application sur tablette de manière à ce que les géologues en exploration sur le terrain puissent dans un seul outil enregistrer des échantillons avec toutes les informations essentielles (numéro, photos, position GPS, notes, etc.). La gestion des échantillons en est ainsi facilitée et ils sont traités directement avec l’ensemble des informations pertinentes.

LE NUMÉRIQUE AU SERVICE DES VILLE

L’utilisation de la géomatique peut aussi servir à améliorer la vie des citoyens québécois. Dans le domaine du transport routier et de la construction, la Ville de Québec a fait appel à Intelli3 pour développer une application lui permettant de compter les volumes de véhicules et analyser le trafic routier de manière automatique.

Cette solution vise à mieux gérer les impacts de construction d’accès routiers et les détournements de la circulation. La Ville de Québec a mis en place depuis 2013 un programme de vitrine technologique qui lui permet de tester des solutions innovantes dans différents services de la ville et ainsi permettre à ses citoyens d’avoir accès aux nouvelles technologies, numériques pour la plupart.

Intéressé à en apprendre davantage sur ces études de cas ? Vous êtes invitées à vous inscrire à l’événement Opportunités digitales qui se tiendra à Québec dans le cadre de la Semaine numérique.

Opportunite _Digi _bandeau V2

Compétitivité mondiale : un 2 $ vachement gênant!

Pas plus loin encore qu’en 1998, plus de 45% des habitants de la planète devaient vivre avec en moyenne 2 $ par jour maximum. C’était alors presque la moitié de l’humanité ! Le chiffre a certes baissé en 2016, mais il est encore important et touche au-delà d’un milliard de nos semblables.

Réfléchissons-y au moins 2 secondes : vivre avec 2 $ quotidiennement ! Deux fois 1 $… pour toute une journée et arriver à manger, se loger, se soigner…

Alors s’éduquer ? Oubliez ça !

Lorsque les analystes regardent notre même monde de 2016, ce n’est pas immédiatement la crise écologique, les débandades économiques ou la sclérose morale qui inquiètent. L’effondrement de l’ordre social est le risque le plus inquiétant, car il pourrait subvenir n’importe quand, voire soudainement.

Savez-vous comment se comptent déjà les révoltes ouvrières en Chine ces dernières années ? En milliers annuellement. Des centaines par semaine…

À l’échelle de la Terre, comment penser que des masses de mendiants toléreront éternellement un tel niveau de vie, un si petit état de survie ?

Comment penser que la situation est tolérable par tous en considérant juste le fait suivant : que la moyenne de subvention que reçoit une vache en Europe actuellement est justement de l’ordre de 2 $ par jour…?

Tant qu’ils n’en sauront rien !

Ingénierie frugale… l’Université Paris-Saclay en fait sa première chaire industrielle

Une Chaire Industrielle d’Innovation et d’Ingénierie Frugales (I3F) existe depuis peu. La chaire dite I3F fait même partie des projets phares de l’Université Paris-Saclay.

Elle rassemblait à son démarrage trois membres fondateurs: AgroParisTech, TélécomParisTech et l’Institut d’Optique Graduate School, qui portent ensemble ce projet « pour nourrir la production scientifique, la formation et l’innovation ». La chaire accueillera progressivement des partenaires industriels.

DE QUOI PARLONS-NOUS ICI ?

Partir de l’usage pour co-construire des réponses adaptées… Inspirée du « système D » des innovateurs issus des pays du sud, l’innovation frugale devient un état d’esprit qui irradie désormais de nombreuses initiatives de R&D au Sud comme au Nord. L’objectif est ici de repartir à la fois des besoins (de consommateurs, praticiens, entrepreneurs…) et d’imaginer des réponses plus finement ajustées, plus responsables et inclusives de tous les acteurs de la démarche.

L’innovation frugale est en cela porteuse de transformations radicales des usages. Lieu de rassemblement et de partage entre des équipes académiques mobilisées par un projet ambitieux, des valeurs et un périmètre resserré autour des biens essentiels, le dispositif I3F construit de la recherche et de la formation, expérimente des méthodes pédagogiques nouvelles et laisse émerger des innovations en liens étroits avec les parties prenantes : étudiants, enseignants, chercheurs, acteurs économiques, de la société civile ou des pouvoirs publics.

BESOIN D’INTERDISCIPLINARITÉ

L’innovation frugale commande d’instinct des compétences interdisciplinaires. À l’image du titulaire de la chaire, Ivan Le Mintier (formateur, agriculteur et entrepreneur engagé) et des porteurs du projet impliqués dans les trois institutions académiques:

  • Valérie Fernandez, professeur, responsable du département Sciences Economiques et Sociales de Telecom Paristech et directrice scientifique de la chaire ;
  • François Balembois, professeur, directeur général adjoint à l’enseignement et directeur de l’entrepreneuriat et de l’innovation à l’Institut d’Optique ;
  • Gérard Cuvelier, professeur, spécialiste des sciences et procédés des aliments à AgroParisTech ;

La suite consistera en la création et l’animation d’un réseau de tiers lieux ouverts et l’arrivée de nouveaux partenaires économiques pour partager les ambitions, proposer des questions relatives à des projets de terrain et accompagner la mise en œuvre d’innovations.

AgroParisTech est la grande école européenne qui forme ingénieurs et managers dans le domaine du vivant et de l’environnement. Elle propose un cursus ingénieur, une offre masters et une formation doctorale en partenariat avec de grandes universités françaises et étrangères, ainsi qu’une gamme de formation professionnelle continue sous la marque « AgroParisTech Executive« . Il répond aux grands enjeux du 21e siècle : nourrir les hommes en gérant durablement les territoires, préserver les ressources Communiqué de presse 10 novembre 2015 naturelles, favoriser les innovations.

TélécomParisTech forme des ingénieurs à innover et entreprendre dans un monde numérique. Toutes les disciplines des sciences et technologies de l’information et de la communication ainsi que des sciences économiques et sociales (appliquées au numérique) sont couvertes par ses enseignements et sa recherche. Elle se positionne ainsi comme le futur collège de l’innovation par le numérique de l’Université Paris-Saclay.

L’Institut d’Optique Graduate School est un établissement d’enseignement supérieur et de recherche, reconnu d’utilité publique. Il a pour mission d’aider au développement de la photonique française par la formation, la recherche, l’innovation et l’entrepreneuriat. Il forme au niveau ingénieur master et doctorat les cadres et innovateurs de demain avec une forte composante scientifique et technologique liée à la lumière. Il se positionne ainsi comme un acteur majeur en photonique et en innovations technologiques de l’Université Paris Saclay.

AgroParisTech, TelecomParisTech et L’Institut d’Optique Graduate School sont aussi tous trois membres-fondateurs de l’Université Paris-Saclay en France.

 

En savoir plus pour participer à une première dynamique d’échanges: http://leveilleurdelinnovationfrugale.tumblr.com