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Un vent d’Asie regroupe Bull Housser à Norton Rose Fulbright  

Le Partenariat trans Pacifique (PTP) n’est pas encore ratifié par les États au traité commercial, mais les avocats ne prennent pas de chance. Septembre 2016 est encore à sa première moitié que nous apprenons que le 1er janvier 2017 s’appliquera un regroupement de ce qui représentera alors 3 892 avocats à l’échelle mondiale, dont 667 au Canada. Ce sont Norton Rose Fulbright et Bull Housser qui ont annoncé leur regroupement.

« Nos clients respectifs souhaitent avoir accès plus facilement aux services de notre cabinet partout au Canada, sur la côte ouest des États-Unis et dans les pays côtiers du Pacifique. En plus de répondre à ce besoin, notre regroupement nous assure une présence à Vancouver et offre à nos clients l’expertise régionale et la connaissance du marché dont ils ont besoin pour tirer parti des possibilités d’investissement et de développement canadiennes et étrangères en Colombie-Britannique », d’expliquer Charles Hurdon, associé-chef de la direction de Norton Rose Fulbright.

Norton Rose Fulbright et Bull Housser ont des forces complémentaires et, ensemble, ils offriront des compétences de premier plan sur le marché dans les secteurs de l’énergie, des mines, des infrastructures, des services financiers, de l’immobilier, du transport maritime, des installations portuaires, des sciences de la vie, des soins de santé et de la technologie.

En Colombie-Britannique, Bull Housser est un acteur important du milieu des affaires depuis plus d’un siècle, et le cabinet a aidé activement la province à enregistrer la croissance la plus rapide au Canada, tout en maintenant des liens essentiels avec la région de l’Asie-Pacifique. Le passage de Bull Housser à la plateforme mondiale de Norton Rose Fulbright présentera trois principaux avantages pour les clients :

  • une offre de services novateurs,
  • une efficience accrue grâce à des technologies, des systèmes de pointe,
  • un accès à des conseillers juridiques hors pair dans le monde entier.

Charles Hurdon demeurera associé-chef de la direction de ce nouveau Norton Rose Fulbright au Canada et Janet Grove demeurera associée-directrice du bureau de Vancouver, lequel continuera à offrir sa gamme complète de services juridiques. Tous les avocats de ce bureau demeureront en poste et seront toujours soutenus par un groupe de professionnels juridiques reconnus et chevronnés du Canada et d’ailleurs dans le monde.

Le cabinet d’avocats Bull Housser est établi à Vancouver depuis 126 ans. L’un des principaux cabinets d’avocats de cette ville; il compte présentement 92 avocats et plus de 150 employés.

Voir la Fiche technique (après fusion).

English press release : BULL HOUSSER COMBINES WITH GLOBAL LAW FIRM NORTON ROSE FULBRIGHT

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Metal Earth : 104 millions $CND pour relancer l’industrie mondiale des minéraux

Certes pas désintéressé dans l’affaire, l’initiative annoncée le 8 septembre 2016 à Sudbury implique le gouvernement fédéral canadien pour un investissement de sa part de 49 269 000 $, dans un programme de recherche en exploration minérale de l’Université Laurentienne qui, avec un total de 22 autres partenaires issus des milieux universitaires, industriels et gouvernementaux, y versent 55 000 000 $, en espèces et en nature. But de l’opération : aider des investissements d’exploration à faible risque et à inverser la tendance actuelle, celle des faibles taux de découverte de nouveaux gisements minéraux, tant au Canada qu’à l’étranger.

Cette initiative de sept ans est baptisée Metal Earth. La contribution du Canada provient du Fonds d’excellence en recherche Apogée Canada (FERAC) pour un coup d’impulsion de 49 269 000 $ sur sept ans.

« L’Université Laurentienne est déjà le bénéficiaire le plus en vue au Canada de fonds de recherche en géologie économique et figure parmi les meilleurs établissements au monde… 

(…) Nous sommes fiers d’appuyer la Laurentienne et le Centre de recherche en exploration minérale à l’École des sciences de la Terre Harquail, et de la voir devenir le leader mondial incontesté dans la recherche en exploration minérale », a déclaré le député de Sudbury, Paul Lefebvre, au nom du ministre, le jour de l’annonce.

Par son mandat, le FERAC aide les établissements d’enseignement post-secondaire canadiens à exceller à l’échelle mondiale dans les domaines de recherche porteurs d’avantages économiques à long terme pour le Canada. Le concours inaugural a donné lieu à cinq octrois de fonds totalisant 350 000 000 $ en 2015. L’annonce du 8 septembre faite par le gouvernement fédéral voit attribuer 900 000 000 $ à 13 universités sur 51 candidats. Chaque établissement ne pouvait présenter qu’une seule demande.

Les résultats des travaux de Metal Earth seront transférables dans le monde entier et aideront le Canada à demeurer un leader de poids dans la quête mondiale de métaux.

Un troisième concours devrait être lancé en 2021-2022. Les décisions de financement ont été prises par un comité de sélection de premier plan, après examen des demandes par les pairs basé sur le mérite scientifique et la capacité manifeste à mener des projets à l’échelle internationale, la pertinence stratégique pour le Canada et la qualité du plan de mise en œuvre.

« L’annonce de financement (…) est la plus importante depuis la création de la Laurentienne il y a 56 ans et le plus grand programme de recherche en exploration jamais entrepris au Canada », a déclaré le recteur et vice-chancelier de l’université, Dominic Giroux.

Plus tôt la même journée, l’Université Laurentienne avait également annoncé un don de 10 000 000 $ qu’a fait la famille Harquail au Département des sciences de la Terre, nouvellement rebaptisé l’École des sciences de la Terre Harquail. Soulignons que David Harquail est président et chef de la direction de Franco-Nevada Corporation, une société de redevances axée sur l’or et inscrite à la cote de la Bourse de Toronto et de la Bourse de New York.

Répondre à un problème mondial

« Les réserves mondiales de métaux sont en train de s’épuiser du fait de la demande accrue et de la diminution des taux de découverte au cours des dix dernières années. Or, il se trouve que les dépenses consacrées à la prospection ont augmenté tandis que les taux de découverte ont diminué. Sans moyen de découvrir et d’extraire des métaux, les sociétés modernes seront confrontées à une crise qui aura des répercussions négatives sur le développement social, technologique et industriel. Pourtant, le Canada dispose de gisements minéraux encore inexploités. »
Harold Gibson
Directeur du Centre de recherche en exploration minérale (CREM) de l’École des sciences de la Terre Harquail et chercheur principal à Metal Earth

Les métaux, qui représentent 19,6% des exportations et 4% du produit intérieur brut (PIB), constituent l’un des principaux leviers de l’économie canadienne. Avec Metal Earth, l’industrie et le gouvernement seront dotés de nouvelles connaissances, de personnel hautement qualifié, de protocoles et d’outils leur permettant de concentrer les crédits alloués à l’exploration et à l’infrastructure dans les domaines à forte minéralisation en métaux.

« Metal Earth est une nouvelle approche qui va au-delà de la recherche traditionnelle au niveau du gisement ou du district. Il transformera la façon dont nous faisons l’exploration de métaux et notre compréhension de l’évolution de la Terre. » Harold Gibson

Metal Earth mobilisera des chercheurs de la Laurentienne et de ses établissements partenaires, recrutera plus de 35 chercheurs postdoctoraux, assistants de recherche, techniciens et employés de soutien, et verra participer plus de 80 étudiants des cycles supérieurs et de 100 étudiants de premier cycle et de nombreux sous-traitants.

Par ailleurs, Metal Earth fera embaucher à l’Université Laurentienne un titulaire d’une chaire de recherche en ciblage d’exploration et trois autres professeurs en géologie précambrienne, modélisation de systèmes terrestres et géophysique appliquée.

Metal Earth compte de nombreux partenaires, dont les Sociétés géologiques du Canada, de l’Ontario, du Québec, du Manitoba, des Territoires du Nord-Ouest et du Nunavut, le Fonds du patrimoine du Nord de l’Ontario (SGFPNO), TMAC Resources, le Carnegie Institute, Noront Resources Ltd., l’Université de Western Australia, l’Université Laval, l’Université de Tasmanie, l’Université de Toronto, la famille Harquail, l’Université du Québec à Chicoutimi, l’Université d’Ottawa, Vale, MIRA Geoscience Ltd., le Centre d’excellence en innovation minière et MIRARCO.

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www.laurentienne.ca

Photo: colourbox.com

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Le marché olympien du pari sportif en ligne

J’avais environ dix ans lorsque mes parents me firent prendre l’avion pour la première fois de ma vie pour aller découvrir les chaudes plages de la Floride, un rêve pour tous les Québécois en hiver. Les radios crachaient partout Pink Floyd, The Wall, mais pour mon père l’intérêt fut plutôt de nous amener aux courses de chiens. Ce fut ma première occasion de voir en action le pari sportif. Des séries de lévriers lancés en chasse derrière un drôle de lapin; chaque fois après que des séries de parieurs aient misé sur quel brave chien coifferait le fil d’arrivée le premier. Aujourd’hui, je peux miser de même sans le brouhaha des aéroports et les désagréments des grands déplacements, oui sans la fébrilité des salons de jeux mais tranquillement et directement de mon salon, dans ma maison, avec l’extension Internet du faramineux marché du pari sportif et les accès du web tel NetBet Sport. Alors Nadal ou Lopez vainqueur ? William ou William ? Le PSG ou Liverpool ?

Évidemment, le pari sportif n’est pas une nouveauté dans l’histoire du monde. C’est son arrivée sur internet et, surtout, sa régularisation qui l’a fait bondir.

On dit que le pari sportif existe depuis la fin du XIXè siècle, en référence à la période où les courses hippiques et ensuite le pari mutuel urbain (PMU) se sont développés en France. Et la diversification des paris n’a pas tardé. Aujourd’hui, il est possible de miser sur presque tous les types de sports et événements sportifs se déroulant n’importe où dans le monde.

Baseball; Football; Tennis; Basketball; Rugby; Formule 1; Handball; Rugby à XIII; Cyclisme; Volleyball; Hockey; Foot US; Boxe; Ski; Sport Automobile; Moto; Golf; Snooker…

Le foot en salle ou le beach volley ont même leurs adeptes!

Début des années 2000 : le pari sportif en ligne

Le développement des sites de paris sportifs en ligne, au début des années 2000, a donné un nouveau souffle au secteur. De fait, les salles virtuelles de paris sont en passe de détrôner les bookmakers traditionnels et le phénomène n’en est qu’à son commencement. Car seul une trentaine de pays, dont le Mexique, la Tanzanie, l’Australie et l’Afrique du Sud, ont accepté de légaliser la privatisation des paris sportifs depuis longtemps.

Dans d’autres pays, le monopole du jeu appartient encore au gouvernement, empêchant le développement des sites privés de paris sportifs. Mais globalement, d’après les experts, le secteur du pari sportif sera totalement libéralisé d’ici 15 à 20 ans, puisque les législateurs ne résisteront pas longtemps aux pressions des opérateurs et des joueurs et au marché olympien du pari sportif en ligne.

Le marché européen du pari sportif

C’est en 2010 que le marché des jeux en ligne s’est ouvert à la concurrence en France. Après des débuts timides, le marché français des paris sportifs sur Internet est cependant en train de s’envoler. Les mises enregistrées au 1er trimestre de 2016 auront chiffré 516 millions d’euros: une augmentation de 47% en un an. Il s’agit même, selon l’Autorité de régulation des jeux en ligne (ARJEL), « du plus haut montant réuni sur un trimestre depuis l’ouverture du marché des jeux d’argent en ligne en 2010 ».

Mais il n’y a pas que la France. Les paris sportifs en Europe représenteraient, selon les spécialistes, un marché d’environ dix milliards d’euros. Comme la majorité des pays, incluant la France, avaient encore le monopole sur les jeux, la Commission Européenne a dû s’imposer avec la libéralisation progressive de ce secteur, jugeant que c’était dans l’intérêt de l’économie de l’Union. Mais aussi de celle des pays membres, puisque des millions de joueurs s’y exercent déjà alors que les profits qu’ils génèrent n’entrent pas encore dans les caisses d’État.

En France seulement, le chiffre d’affaires annuel de la Française des Jeux n’était que de l’ordre de 630 millions d’euros, alors qu’une seule semaine de tournois à Roland Garros rapportait un milliard d’euros aux sites de paris sportifs en ligne. Au R-U, où le rugby, le cricket, le foot et la boxe sont les sports vedettes, on recensait déjà quelque 800 000 parieurs pour un chiffre d’affaires annuel de 3,5 milliards d’euros; des chiffres qui étaient à peu près les mêmes pour l’Italie, tandis que l’Espagne tablait à 200 000 joueurs, mais qui ont tout de même généré plus d’un milliard d’euros de recettes en 2009.

Dès 2011, le marché des paris sportifs était prévu rapporter jusqu’à 10 milliards de revenus sur l’ensemble du territoire européen. Le nombre de joueurs devant augmenter de 30%, avec une participation accrue des 18-45 ans.

Le pari sportif dans le reste du monde

En dehors de l’Europe, les États-Unis constituent le premier marché mondial pour les paris sportifs. En deuxième position vient la Chine. Macao, un territoire spécial chinois, est considéré comme le Las Vegas de l’Asie et de nombreux casinos, aussi bien terrestres que virtuels y sont implantés. Dans tous les cas, les 5 à 10 prochaines années seront décisives et marqueront l’apogée des paris sportifs dans le monde.

Hors du Web point de salut; foot-tennis-basket ne laissent que des miettes aux autres sports.

L’Autorité de régulation des jeux en ligne a bien confirmé qu’en France les tendances enregistrées en 2014 se maintiennent en 2015. Ainsi, le secteur des paris sportifs fut la seule composante du marché des jeux d’argent en ligne à connaitre une dynamique de croissance qui s’est accentuée en 2015.

Car au contraire, les mises enregistrées en paris hippiques reculent continuellement et ont été en baisse pour la quatrième année consécutive. Le déclin de l’activité du poker se prolonge également dû à la chute des mises enregistrées en cash game.

Le recul de l’activité des paris hippiques peut certes être mis en relief avec le dynamisme du pari sportif. Jusqu’en 2013, les enjeux enregistrés en paris hippiques étaient nettement supérieurs à ceux réunis en paris sportifs (+263 millions d’euros).

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En savoir plus:
Euro 2016 : la bataille des sites de paris sportifs

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Semaine québécoise de l’informatique libre 2016

Le Logiciel Libre au Québec

GnulinuxDepuis 2009, l’organisme FACIL, avec l’appui de nombreux organismes de la communauté du logiciel libre au Québec, organise presque à chaque années l’événement SQIL (Semaine québécoise de l’informatique libre). Il s’agit d’une série d’activités ayant pour objectif de promouvoir l’utilisation du logiciel libre et des données ouvertes. Il y en a pour tous les niveaux: pour les débutants, comme les plus expérimentés.

Cette semaine offre de nombreuses activités, notamment conférences, ateliers, rencontres, projections de films, tables ronde et plus.

« L’informatique libre au service d’une société libre » est le thème de l’édition 2016 de la SQIL.

Pour sa 8e édition, le SQIL 2016 aura lieu du 17 au 25 septembre 2016 dans plusieurs villes à travers le Québec, notamment Québec, Montréal et La Pocatière.

Logiciel Libre = Providence technologique

Le fait qu’il y ait des méga-corporations avec quasi monopole dans l’industrie des technologies de l’information et des communications peut porter atteinte au recherche et développement de nouvelles percées technologiques dans le domaine.

C’est là que l’informatique libre intervient : le plus gros réseau de recherche et développement du monde. En effet, quel secteur d’activité ne requiert pas d’infrastructure informatique ? Aucun ! Qu’arrive-t-il aux entreprises qui n’intègrent pas de solutions informatiques ? Elles auront plus de difficultés à gérer leur croissance face à la compétition.

Si ces entreprises, consortiums et organismes travaillent main dans la main pour développer de façon collaborative des solutions informatiques que n’importe qui pourra utiliser, contribuer, modifier et redistribuer librement, qu’est-ce qu’on gagne au final ? L’indépendance dans les technologies de l’information et des communications.

Imaginons la PME qui doit renouveler ses licences pour ses postes informatiques à chaque année, suite bureautique, logiciels d’inventaire, de serveurs, de base de données, et engager un expert certifié. Pour la plupart des PME, il s’agit d’un coup dur à prendre. Nous parlons de PME, mais le coup peut être dur à prendre aussi pour les grandes entreprises, pour les gouvernements, même pour les particuliers.

Un exemple parfait d’informatique libre que vous connaissez sans doute: Wikipédia! Tout le monde a l’autorisation de lire, contribuer, modifier et redistribuer gratuitement son contenu, mais aussi les logiciels sur lequel il fonctionne (Mediawiki, Linux, etc.)

L’informatique libre est là pour que, plutôt que tout le monde travaillent en cachette – chacun dans leur coin – sur des technologies équivalentes, que ce soit la même technologie pour tout le monde; tout le monde travaillent en équipe sur une architecture flexible, concrète et universelle pour atteindre plus rapidement des objectifs communs. Il s’agit là d’alliance stratégique. Que ce soit le secteur médical, gouvernemental, militaire, commercial, institutionnel ou autre, le logiciel libre ne peut apporter que des avantages.

On ne bâtit pas une civilisation extra-terrestre en développant nos technologies en cachette chacun de notre côté et en brevetant tout et n’importe-quoi ; on bâtit une civilisation extra-terrestre en partageant notre savoir et nos connaissances.

L’informatique libre ne consiste pas seulement en des logiciels libres, mais aussi au matériel libre, la culture du libre, les standards ouverts et consortiums, la confidentialité et la protection de la vie personnelle, la neutralité du réseau internet, l’égalité sociale dans la société numérique et encore plus…

Pourquoi le logiciel libre est important?

L’informatique fait désormais partie intégrante de la société d’aujourd’hui et personne ne peut le nier. Au même titre que les besoins essentiels (eau, nourriture, électricité, chauffage, transport etc.), l’informatique est maintenant un pilier indispensable au plein fonctionnement de l’économie internationale et à la paix sociale.

Lorsqu’un organisme, ou un particulier, achète un logiciel, ne pas avoir le droit d’accéder au code source et d’y apporter les modifications désirées est non seulement contre-productif, mais aussi cela ne respecte pas les droits de l’utilisateur. Lorsque l’utilisateur n’a pas le contrôle sur le logiciel, c’est le logiciel qui a le contrôle sur l’utilisateur.

Si le logiciel n’est pas open source, le fournisseur peut accéder à tous vos fichiers, accéder à votre localisation géographique, espionner votre microphone et webcam, en collaboration avec un gouvernement ou non, et ce, sans que vous le sachiez.

Si le logiciel est open sourcemais pas libre : vous pouvez savoir s’il comporte un logiciel espion, mais si vous souhaitez adapter ce logiciel aux besoins de votre entreprise et y contribuer, ou en faire la distribution de service, vous n’en aurez pas l’autorisation.

Le logiciel libre est important parce qu’il respecte vos libertés fondamentales en tant que citoyen ou en tant qu’organisme, c’est-à-dire votre confidentialité, votre indépendance et celles de vos données, votre liberté, votre culture de  la connaissance générale et votre accès à l’information. Tout ça est respecté!

Horaire des activités du SQIL 2016

La SQIL favorise la convergence des mouvements pour le logiciel libre, le matériel libre, le savoir libre et la culture libre au Québec. Tout ce qui peut se mettre sous une licence libre et participe à la construction, au développement et à la conservation des communs numériques est à l’honneur ! Célébrons nos ressources partagées !

Que vous soyez un étudiant, un professionnel ou fanatique de l’informatique, un utilisateur normal d’ordinateur ou un hacker, débutant ou expérimenté, vous trouverez un événement qui vous intéressera.

Cliquez ici pour voir le calendrier de la SQIL 2016

 


Vous êtes invités à participer en grand nombre aux activités de la SQIL 2016 !

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