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« Les défis du Canada face aux grandes tendances mondiales » : Le Club Économique de Québec se lance avec Jean Charest comme conférencier

C’est du deux nouvelles en une! Bien inspiré du Club économique de New York, le fondateur du Journal Chefs d’entreprises, Pierre Drapeau, lance le Club Économique de Québec. Un regroupement de membres provenant des plus hautes sphères du domaine des affaires et de la finance ainsi que des milieux industriels, gouvernementaux, institutionnels et commerciaux visant à constituer « un important forum de discussions portant sur un large éventail de sujets d’intérêt pour gens d’affaires avertis ».

« The Economic Club was founded in 1907 by J.W. Beatson, Secretary of the National Economic League in Boston, and four business leaders from New York City. Its founders sought to follow the successful example of the Economic Clubs of Boston, Providence, Worcester, Portland, Springfield, and New Haven with the aim of bringing business people and professionals together for serious discussions of economic, social and other public issues in a non-partisan forum. »
Source: www.econclubny.org

Apolitique et non partisan, le nouveau club de Québec n’y va pas de main morte pour sa première activité. Son lunch-rencontre inaugurale de 10 septembre 2015 présente comme vedette l’ancien premier ministre du Québec Jean Charest. M. Charest a accepté de développer un sujet qu’il connait bien, ayant été lui-même aux origines du déclenchement des négociations commerciales avec l’Union européenne. Si le thème de sa conférence concerne « Les défis du Canada face aux grandes tendances mondiales », il est certain que Jean Charest donnera largement son avis sur la récente entente de libéralisation des échanges entre le Canada et l’UE. Un sujet qui provoque encore des tensions. L’ampleur des concessions canadiennes n’étant pas encore mesurable.

Un bon contact, qui avait été proche des négociations Mexique-UE il y a plus de dix ans maintenant, nous a déjà révélé qu’il n’aurait pas souhaité être à la place des négociateurs canadiens une décennie plus tard. Parce que selon-lui, l’UE est devenue une force négociatrice implacable, qui de plus en plus arrache tout à l’adversaire. Le conférencier Jean Charest sera certes questionné à ce propos.

« Monsieur Charest exposera quelques grandes tendances mondiales comme l’avènement des nouvelles technologies, les économies émergentes, le vieillissement de la population, la crise économique et financière de 2008, les changements climatiques, la réduction de la pauvreté, le pivot de l’économie mondiale vers l’Asie, l’émergence d’une nouvelle classe moyenne et la montée du nationalisme liée à une intensification de la militarisation. Ensuite, il présentera le portrait canadien vis-à-vis ces tendances mondiales », nous explique l’organisateur Pierre Drapeau.

Inspiration new-yorkaise!

N’ayant aucun agenda politique, la principale motivation du Club Économique de Québec est d’être un forum crédible et structuré où des dirigeants choisis, tant au Québec qu’à l’étranger, peuvent s’adresser aux membres et à leurs invités.

Puisque ses conférenciers ont l’entière liberté d’expression, « le Club vise à devenir l’un des plus importants forums entièrement indépendant au pays », explique son site web.

Les conférenciers seront choisis en fonction de leur important statut et de leur rôle de premier plan dans l’actualité. Le Club recevra donc des chefs de gouvernement, des ministres, des législateurs, des économistes, des banquiers, des chefs d’entreprises, des chefs syndicaux, des recteurs d’universités, des gouverneurs, des juges, des généraux et amiraux, des ambassadeurs et des scientifiques.

Les rencontres auront habituellement lieu lors de grands dîners, mais parfois à l’occasion de déjeuners, dans la salle de bal d’un important hôtel de Québec. La teneur de la seconde activité du Club Économique de Québec n’est pas encore connue.

Si l’inspiration new-yorkaise persiste, un gros nom sera du rendez-vous. Stephen S. Poloz, le gouverneur de la Banque du Canada y était l’invité le 12 novembre 2014. Le premier ministre du Canada, Stephen Harper, a aussi prononcé un discours devant l’Économic club de New York, le 20 septembre 2006. Toujours dans la métropole états-unienne, les membres souscrivent annuellement 600$ pour ce statut qui ouvre les portes de la suite 4910 du 350 Fifth Avenue.

Club Économique de Québec
www.econclubny.org

Pour inscription au lunch du 10 septembre: clubeconomiquedequebec.com/#evenements
(Photo: plq.org)

Noé sauvera-il l’humanité une autre fois?

Les Nouvelles options énergétiques (Noé) étaient proposées dès les années 1990 pour amener l’humanité à un monde viable. À Québec, en septembre 2014, le premier Festival du film sur le nucléaire à se tenir en Amérique du Nord avait présenté un documentaire choc dans lequel témoignaient plusieurs environnementalistes convertis à cette source d’énergie, après avoir constaté qu’il serait impossible de sauver l’environnement de la catastrophe autrement. En bonne cause parce que la place que les énergies renouvelables arrive à prendre face aux énergies fossiles reste trop marginale. Le monde commandant trop d’énergie pour ce que la biomasse, le solaire, l’éolien, etc. arrivent à produire. Noé manquera-t-il le bateau?

NOÉ en rappel

J’ai retrouvé Noé en furetant dans ma bibliothèque. Je suis tombé sur Atlas des énergies – pour un monde vivable (ed. Sirios, 1994), et comme ce travail de Benjamin Dessus vient tout juste de traverser ses deux décennies pour la publication – mais 25 ans pour les statistiques prises en compte – j’ai décidé d’y chercher quelques leçons, fort de son quart de siècle de recul.

Première leçon:

Le monde de 1990 diagnostiquait les mêmes grands problèmes énergétiques qu’aujourd’hui :

  • accès aux ressources pétrolières
  • accumulation des déchets nucléaires
  • augmentation des gaz à effet de serre

Seconde leçon:

Bien que global, le problème de l’énergie trouvera plus efficacement ses solutions sur une base locale et dans le respect des diverses réalités géographiques, culturelles et de moyens disponibles.

Incidemment, la proposition de scénario Noé impliquait un redéploiement partiel des capacités d’innovation et d’organisation, principalement mobilisées au service de la productivité de la main-d’oeuvre, vers la réduction des besoins énergétiques. Pour montrer qu’il y a là matière à gains significatifs, Benjamin Dessus nous explique que la poursuite de la croissance de la productivité du travail conduirait, à structure de population active identique, à réduire l’horaire hebdomadaire de travail à 20 heures dès 2020 et à 7 heures en 2060, ou bien a accepter des niveaux de chômage sans commune mesure avec nos réalités.

L’innovation et le progrès technique sont certes sollicités car il faut effectivement faire face à une augmentation constante des besoins mondiaux d’énergie (et ces travaux n’avaient pas vu venir la croissance chinoise à son meilleur, ne la calculant qu’autour de 4% de PIB annuel).

Besoins mondiaux d’énergie En milliards de TEP (tonne équivalent pétrole)
1950 2
1990 8,7
2020 13 à 17 (10,1 scénario Noé)

Les progrès techniques sont souvent spectaculaires :

  • La télé noir et blanc des années 1950 consommait 500 watts, les versions couleurs de 1990 en étaient à 50 ou 100 watts selon leur taille. Les récepteurs à écran plat à cristaux liquides de haute définition sortant des usines japonaises en consomment moins de 20. Une consommation divisée par 25 en quarante ans.
  • En 1990, il fallait 40% d’énergie de moins qu’en 1950 pour produire une voiture.
  • Entre 1972 et 1988, la consommation moyenne d’énergie d’un réfrigérateur chuta de 32%.

Troisième leçon:

« Au cours de la période 1973-1986 (…) les pays de l’OCDE ont montré leur capacité à déconnecter leur croissance économique de leur consommation d’énergie. Alors que leur produit intérieur brut augmentait de 37% au cours de la période, leur consommation globale d’énergie n’enregistrait qu’une croissance de 7%. » (Source : ENERDATA)

Le message ici c’est que les mesures d’efficacité énergétique et d’économies d’énergie demeurent la principale source à puiser.

Quatrième leçon:

La volonté politique restera toujours fondamentale. N’est-il pas désolant de lire, avec Dessus, que les modèles d’automobiles les plus économiques en énergie fabriqués localement au Brésil par les firmes étrangères consommaient 30% de plus d’essence que ceux fabriqués sous la même marque en France ou aux USA? Ça, essentiellement parce que les constructeurs n’avaient pas d’intérêts immédiats à exporter leurs technologies les plus performantes!

Cinquième leçon:

Il y a encore un long chemin avant d’atteindre une certaine équité en matière de développement et d’énergie. En 1990, en Inde chaque habitant consommait en moyenne 300 litres de pétroles par an, contre 7 900 litres de pétroles par an pour un Américains, c’est-à-dire 26 fois moins. La moyenne mondiale s’établissait alors à 1 600 litres de pétroles par an.

Mais Benjamin Dessus concluait sur une note optimiste, bien loin du déluge et surtout bien conscient du potentiel à puiser dans le champ des économies d’énergie:

« Globalement ce que montre Noé, c’est qu’il est possible, sans révolution technologique, d’aboutir vers 2100 à un système énergétique en équilibre avec la nature, qui permette le développement de l’ensemble de l’humanité sans remettre en cause l’avenir de la planète ».

Benjamin Dessus est l’un des 6 fondateurs, en 1992, de www.global-chance.org

La circularisation de l’économie : une stratégie de création d’emploi

Ce qui définit le plus simplement l’économie circulaire c’est l’optimisation de l’utilisation des ressources. Faire plus et mieux avec le moins possible. Et ce n’est pas un concept abstrait, car bien qu’il n’existe pas de données officielles comptabilisant la chose une étude estime que l’économie circulaire « emploie déjà près de 600 000 personnes en France ».* Le potentiel pour la création d’emplois supplémentaires est, de plus, évalué entre 200 000 à 400 000 pour la France seulement. Il y a mieux: les études les plus poussées, qui proviennent du Royaume-Uni, estiment que plus de 500 000 emplois pourraient être créés à l’échelle de ce pays.

Dans un pays qui développe le recyclage depuis longtemps, il est intéressant de constater que les 29 500 ETC (équivalant temps complet) dans le recyclage en France représentent moins du quart des personnes travaillant dans l’industrie du déchet (131 310 ETC).

Les chiffres pour le réemploi et la réutilisation sont encore plus faméliques: 18 400 ETC en 2012.

Des exemples en économie de fonctionnalité, qui mise sur la vente de l’usage plutôt que du produit, montrent cependant le leadership de multinationales telles que Michelin, pour la vente du kilométrage plutôt que de pneumatiques dans des flottes de poids-lourds, et Ricoh, pour la vente des impressions plutôt que des imprimantes.

Et qui sait que la multinationale Coca Cola (shéma circularité) possède déjà sa stratégie en économie circulaire?

Au Japon, les taux de recyclage atteignent presque 100% pour les emballages; 95% pour le béton et le bois de construction. Pas moins de 120 000 emplois nets y ont été créés dans le secteur, entre 2000 et 2007, selon l’étude bilan de 2010 menée par le gouvernement japonais sur la politique des 3R.

Ailleurs dans le monde, c’est aux USA que l’on retrouve l’industrie du remanifacturing la plus développée. Le rapport en 2012 dédié à ce sujet de la United States International Trade Commission estime le secteur à 180 000 ETC. Entre 2009 et 2011, le chiffre d’affaire total de cette industrie est passé de 37 à 43 milliards $ avec une création nette de 14 000 emplois. Mais une étude de 2014 rapportée par la Fondation Ellen MacArthur évalue à un total de 500 000 emplois l’industrie du remanufacturing aux États-Unis.

Déchet vs emploi

Le coût de la mise en décharge atteint une moyenne de 80 euros/tonne en France, contre par exemple 160 en Suède, ce qui montre l’écart et le potentiel d’amélioration du secteur. Une étude comparative conduite en 2012 par la Commission Européenne (CE) établit que le coût d’enfouissement minimum permettant d’atteindre un taux de recyclage de l’ordre de 50% est de 100 euros/tonne.

Tableau 1

Nombre d’emplois créés selon le mode de traitement des déchets

MODE DE TRAITEMENT EMPLOIS CRÉÉS pour 10 000 t traitées (ETC)
Mise en décharge 1
Incinération 3 à 4
Compostage ou méthanisation 11
Démantèlement 50

(Source : ADEME, France, 2013)

La décision d’enfouissement contre celle du compostage représente un rapport dépassant 10 contre 1, lorsque l’on se préoccupe des emplois créés. Le même rapport passe à 50 contre 1 si on pousse jusqu’à la stratégie du démantèlement du déchet, ce qui est énorme à une échelle nationale. De quoi certainement nourrir une politique macro-économique de lutte au chômage.

 

* Deboutière et Georgeault, Quel potentiel d’emplois pour une économie circulaire?, Institut de l’économie circulaire, Paris, 2015.

Savez-vous qui a mis 97 milliards de $ dans son économie verte en 4 ans ?

Non, ce n’est pas le Canada, malheureusement! L’étude « Green growth in motion : Sharing Korea’s experience », du Global green growth institute, qui date de 2011, montre comment la Corée du Sud, par des investissements publics de 97 milliards $ dans l’économie verte entre 2009 et 2013, compte susciter un potentiel de création de 11,8 à 14,7 millions emplois d’ici 2020.

Il ne s’agit heureusement pas d’un cas d’exception. D’autres politiques vertes peuvent mener à des créations d’emplois significatives, selon des études provenant de plusieurs autres pays.

Australie : Mise en place du « facteur 4 », qui s’entend par doubler la valeur des produits tout en divisant par deux la quantité de ressources utilisées : potentiel de création de 3,3 millions emplois.

Afrique du Sud : Énergie peu carbonée, efficacité énergétique et meilleure efficacité d’utilisation des ressources : potentiel de création de 462 000 emplois.

États-Unis : Généralisation de la déconstruction en lieu et place de la démolition : potentiel de création de 200 000 emplois.

Suède : Efficacité de la matière, efficacité énergétique, énergies renouvelables : potentiel de création de 100 000 emplois.

Pays-Bas : Report de la fiscalité du travail vers les ressources (The Ex’tax Project 2014) : potentiel de création de 650 000 emplois.

 

Votre prochain Superman s’appelle Atman : un test scientifiquement validé en RH de 6e génération

« Il n’y a pas de personne incompétente, il n’y a que des personnes à la mauvaise place! »

Le président-fondateur d’Atman Co., Michel Guay, solutionne peut-être facilement la problématique de la gestion des ressources humaines en entreprise ou ailleurs. Son expérience, et surtout son expertise, invitent à l’écoute: il est le créateur d’un test psychométrique de reconnaissance d’aptitudes ayant une validation scientifique convaincante auprès d’un échantillonnage de plusieurs milliers de personnes dans différentes sphères d’activités mondiales.

Ledit Atman, qui est aussi le nom du test, n’a aucune connivence avec la vedette du cinéma! Atman est cependant un super test, qui l’on peut faire en 10 ou 30 minutes selon l’option choisie, permettant d’évaluer les réflexes naturels d’un individu et de maximiser l’adéquation entre son potentiel et les fonctions ou défis à lui confier. On pourrait résumer que chacun de nous est un Superman à la recherche de sa place idéale sous le soleil. De bien se connaître, maîtriser son caractère et ses aptitudes, aide à trouver sa place dans le monde.

À écouter la suite d’anecdotes positives que raconte Michel Guay, il suffit de l’essayer pour finir de se convaincre de la pertinence de la démarche, et ce en toutes occasions. Voire pour aider votre adolescent à s’orienter au mieux, à travers son passage dans le monde de l’éducation. Le plus bel avantage d’Atman est probablement d’être une plate-forme totalement intégrée sur le web.

EN BOURSE À SA FONDATION

Et lorsqu’il fonda Atman Co., il y a trois ans, l’homme d’affaires savait tellement qu’il devrait réaliser une stratégie de croissance rapide et d’acquisitions, notamment à l’international, qu’il a vite fait d’inscrire sa société en Bourse. Il a ainsi récolté 2 millions $ avec le premier appel public à l’épargne (PAPE). On était en décembre 2012.

En fait, la confiance était plus que de mise, car Atman Co. fut l’une des très rares entreprises québécoises à s’inscrire en Bourse cette année-là!

Amorçant, à Québec, le 12 juin 2015, une tournée des investisseurs dans le cadre d’un lunch devant une vingtaine d’invités à l’Hôtel ALT, Michel Guay a expliqué qu’il vient de récolter un autre 2 M$ grâce à une nouvelle émission à 0,18$ par action. De quoi permettre à l’entreprise de Montréal, comptant une quinzaine d’employés, la poursuite de son développement et de sa stratégie de commercialisation. Et ce dernier mot est ici plus qu’important, car Atman Co. doit se développer en comptant essentiellement sur sa quête de parts de marché. Le produit est là, un produit 100% web, un test de 6e génération en gestion RH qui évalue les réflexes naturels d’un individu, et comme l’a clairement reconnu son créateur, ce n’est pas en le perfectionnant qu’il compte brasser plus d’affaires.

TROUVER LES MEILLEURS PARTENAIRES POSSIBLES

La stratégie d’affaires est simple, elle consiste à nouer des partenariats stratégiques. Et le potentiel est bien là : c’est surtout ce qu’il était venu démontrer à son assistance. Précisant que l’entreprise offre des licences d’utilisation depuis l’an dernier, brevet en poche, version API AtmanConnect pleinement fonctionnelle, 6 langues offertes aux usagés… Michel Guay voit l’avenir avec un sourire aux lèvres :

« On va devenir le premier outil du genre dans SalesForce. »

Les autres manifestations d’intérêts pour le test de personnalité Atman sont effectivement diversifiées: les sites de rencontre sur internet (« Il n’y a que EliteSingles qui comporte un volet test actuellement », confirme-t-il), le secteur du gaming (casino), l’événementiel (des organisateurs de congrès qui offrent le test à leurs participants);  et parfois surprenantes : les équipes sportives! Ici c’est pour mieux gérer les espoirs et talents en apparence, avant de trop investir. L’athlète est-il du genre à résister devant le stress intense ou bien il va carrément s’effondrer? C’est bon à savoir, si l’on pense avoir le prochain Wayne Gretzky devant soi!

Et ça coûte combien, se payer un test Atman?

Il y a des forfaits à la quantité et pour les licences également, mais c’est 125$ le test sur une base individuelle.

Qu’est-ce qu’un test de 6e génération? C’est un test normalisé, disons très « user frendly » et qui ne nécessite pas de recourir à un expert ou un psychologue pour l’analyse des résultats.

Dans des économies qui se spécialisent de plus en plus vers les secteurs tertiaires et quaternaires, qui offrent essentiellement des services, les entreprises des pays développés doivent pouvoir compter sur une main-d’oeuvre coupée au couteau… Et trouver son Superman semble encore une préoccupation qui cause problème à bien des patrons, car la start-up en RH fait partie des tendances (trends) actuelles dans le monde du capital de risque, selon les confidences de notre conférencier ce midi-là!

La concurrence de manquera pas pour Atman Co. La plus belle force cachée de cette entreprise québécoise réside déjà dans sa capacité à conserver avec sa base de données tous les résultats accumulés des tests vendus. Une capacité d’analyse et de partages d’expertises bien repérée par plusieurs futurs partenaires rencontrés. À suivre…

Avant de vous laissez, vous vous demandez vous aussi ce que signifie ce mot?

ATMAN: (Hinduism, Buddhism, Jainism, Vedanta)

The true self of an individual beyond identification with phenomena, the essence of an individual.