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4e révolution industrielle : la numérisation/impression 3D coûtera 5 millions d’emplois dans les principales économies mondiales d’ici 5 ans

C’est ce donc prévient un rapport diffusé par le World Economic Forum (WEF), organisateur du forum de Davos, qui vient de se tenir en Suisse. La quatrième révolution industrielle « entraînera de larges perturbations non seulement sur le modèle des affaires, mais aussi sur le marché du travail pendant les cinq prochaines années », y indique-t-on.

Après la 1e révolution (avènement de la machine à vapeur), la 2e (électricité, chaîne de montage), la 3e (électronique, robotique), arrive celle qui combinera plusieurs facteurs à l’oeuvre comme l’internet des objets ou les mégadonnées (big data) pour transformer l’économie. On l’appel communément l’ère de l’impression 3D.

Ces transformations entraîneront « (…) une perte nette de plus de 5 millions d’emplois dans une quinzaine d’importants pays développés et émergents», affirme le WEF. Après une analyse de la situation dans des économies comme celles des États-Unis, de l’Allemagne, de la France, de la Chine et du Brésil.

« Sans une action urgente et ciblée dès aujourd’hui pour gérer cette transition à moyen terme et créer une main-d’oeuvre avec des compétences pour l’avenir, les gouvernements devront faire face à un chômage en hausse constante et à des inégalités », alerte le président et fondateur du WEF, Klaus Schwab, cité dans un communiqué.

« Le poids de la perte d’emplois, comme conséquence de l’automatisation et la désintermédiation de la quatrième révolution industrielle aura un impact relativement équitable entre les hommes et les femmes, 52% des 5,1 millions d’emplois perdus d’ici 5 ans concernant les hommes et 48% les femmes », précise notamment le rapport. « Mais comme les femmes constituent une part moins importante aujourd’hui que les hommes sur le marché du travail, cela signifie que le fossé entre hommes et femmes pourrait devenir plus important », ajoute le document.

 

Exportations d’eau à grande échelle : la Commission mixte internationale félicite les gouvernements pour la protection des Grands Lacs

C’est un enjeu majeur en Amérique du Nord à moyen et long terme : la gestion des eaux des cinq Grands Lacs, immense réserve mondiale en eau douce. Allons plus loin sans hésitation et parlons de la protection des Grands Lacs! Hors la Commission mixte internationale (CMI) a félicité, mi-janvier 2016, les gouvernements fédéraux, étatiques et provinciaux pour les énormes progrès qu’ils ont réalisés dans le bassin des Grands Lacs afin de le protéger des déviations de cours d’eau et d’y gérer les utilisations avec prélèvement.

En 2000, la CMI a demandé aux gouvernements de renforcer les moyens de défense contre les dangers posés par les transferts à l’extérieur du bassin des Grands Lacs. Ledit rapport vise à résumer les progrès réalisés depuis ce temps.

Selon le rapport de la CMI, les développements réalisés depuis 2000 constituent « en majeure partie une réussite ». Les lacunes d’ordre stratégique que la CMI a mises en évidence en 2000 ont été en grande partie comblées. Afin de maintenir cette dynamique positive, il faudra à la fois de la vigilance en matière de gestion et de nouvelles avancées scientifiques.

La plus grande réalisation depuis la publication du rapport de la CMI en 2000 a été la signature en 2008 du Great Lakes-St. Lawrence River Basin Water Resources Compact par les huit États bordant les Grands Lacs et d’un accord parallèle par ces huit États, l’Ontario et le Québec dans le but d’interdire la plupart des déviations et des exportations.

PROTECTION DES GRANDS LACS

Les États et les provinces ont pris d’autres mesures importantes en vue de protéger les eaux des Grands Lacs des déviations et des exportations.

« Les citoyens de la région des Grands Lacs ont été bien servis par leurs gouvernements, qui ont adopté une approche rationnelle et efficace pour mettre un frein aux transferts à l’extérieur du bassin. Il s’agit là d’un véritable modèle pour les bassins versants de partout dans le monde, qui met l’accent sur la conservation de l’eau et l’intendance », a déclaré Benoît Bouchard, commissaire de la section canadienne.

« Il n’y a pas de surplus d’eau dans les Grands Lacs, car seulement 1% de l’alimentation en eau de la région des Grands Lacs est renouvelé chaque année par les chutes de pluie et la fonte des neiges », a déclaré Dereth Glance, commissaire de la section des États-Unis.

En vue de renforcer les défenses de la région contre les transferts d’eau à grande échelle, la CMI recommande que :

  • les États, les provinces et les gouvernements fédéraux élaborent des méthodes visant à améliorer l’exactitude des données sur l’utilisation de l’eau et des estimations de l’utilisation avec prélèvement;
  • en plus de continuer à appliquer une approche de gestion adaptative pour la prise de décisions relatives aux déviations, aux utilisations avec prélèvement et à la gestion des niveaux d’eau des lacs, les gouvernements fédéraux, provinciaux et étatiques intègrent la résilience aux changements climatiques dans les politiques et pratiques de gestion pertinentes;
  • les États et les provinces tiennent entièrement compte des conséquences écologiques et des effets négatifs sur la qualité de l’eau qu’entraînent les prélèvements d’eau souterraine lorsqu’ils ont à établir des procédures de délivrance de permis d’utilisation de l’eau et à prendre des décisions concernant l’utilisation avec prélèvement;
  • les organismes de recherche fédéraux, provinciaux et étatiques continuent d’améliorer la cartographie et la compréhension des aquifères souterrains dans le bassin, afin de déterminer les endroits où l’approvisionnement en eau souterraine pourra se dégrader à l’avenir et de sélectionner les méthodes de gestion permettant d’éviter ces problèmes;
  • les secteurs public et privé de la société établissent une collaboration à grande échelle en vue d’améliorer l’intendance des ressources hydriques en colmatant les fuites dans les infrastructures hydrauliques publiques, en appuyant l’innovation et en augmentant le financement nécessaire pour combler le déficit régional lié aux infrastructures hydrauliques;
  • les États et les provinces envisagent la possibilité d’adopter un cadre binational de fiducie d’intérêt public comme filet de sécurité pour le Compact et l’accord de 2008.

Le CMI a constaté que de grandes lacunes persistent entre nos connaissances sur les niveaux d’eau et les débits, et sur leurs effets sur l’écosystème du bassin. En raison des incertitudes actuelles, notamment celles qui sont liées aux changements climatiques et à la simple menace de l’imprévisible, les administrations dans le bassin doivent continuellement appliquer un principe de précaution afin d’assurer, dans la mesure du possible, un approvisionnement suffisant pour toutes les utilisations à long terme de l’écosystème et du milieu socioéconomique. 

La Commission mixte internationale a été créée en vertu du Traité des eaux limitrophes de 1909 pour aider les États-Unis et le Canada à prévenir et à résoudre les différends relatifs à l’utilisation des eaux qu’ils partagent.

Pour obtenir de plus amples renseignements sur la protection des eaux dans les Grands Lacs, veuillez consulter le rapport complet.

IMPLICATION DES BASSINOIS-BASSINOISES

Dans ce contexte, il n’est pas inutile de rappeler le rôle que peut jouer le citoyen à la base. Et c’est dans cet esprit que les 26 et 27 juin 2012, une quarantaine de participants venus des quatre coins du bassin, de Chicago aux Îles de la Madeleine, du lac Champlain à la Basse-Côte-Nord, se sont réunis à Québec pour un premier rendez-vous citoyen. Ce séminaire de travail a permis d’élaborer des orientations communes, de définir les conditions d’une meilleure participation citoyenne dans la gestion intégrée des ressources en eau, et a mené à l’adoption de cet Appel citoyen : «Des solitudes au ralliement».

« Le 27 juin 2012, des représentants du SIE et du Réseau des organismes de bassin versant d’Amérique du Nord (ROBAN) ont pris la parole devant l’Assemblée générale de l’Alliance des villes des Grands Lacs et du Saint-Laurent afin de leur présenter la Symphonie ainsi que le résultat des deux jours de rencontre à Québec. Cette initiative est coordonnée par le Secrétariat International de l’eau », résumait Raymond Jost, le secrétaire général du SIE, à l’origine de cette initiative.

Cette 1ère Symphonie Grands Lacs/St-Laurent et sons Golfe avait surtout fait prendre conscience de l’interdépendance de l’ensemble du territoire : du premier des Grands Lacs au cœur du continent nord-américain, jusqu’au Golfe du St-Laurent aux portes de l’océan Atlantique. Et de l’unicité de la population habitant cet immense bassin hydrographique, pour qui le nom de « Bassinois / Bassinoises » fut alors adopté.

Lire aussi :

L’EAU c’est la vie!
1ère Symphonie Grands Lacs/St-Laurent, Québec, juin 2012

http://www.mediaterre.org/international/actu,20120719202130.html

http://www.umoncton.ca/umcs-bddzc/files/umcs-bddzc/wf/wf/pdf/1re%20Symphonie%20Grands%20Lacs%20Saint-Laurent.pdf

 

Ce monde qui change… un recteur du Canada reçoit un doctorat honorifique d’une université africaine!

La nouvelle est tombée le 19 janvier 2016. Une bonne nouvelle ! Une nouvelle qui montre que le monde change… Nous sommes à l’époque qui permet à des universités de l’Afrique de porter haute reconnaissance de l’apport à la science de gens des économies les plus développées du monde.

Et pas seulement une université d’une grande mégalopole des pays en développement. Il faut rouler longtemps pour arriver à Bambey, une toute petite ville du Sénégal située dans la région de Diourbel, joliment dit « sur la voie ferrée » qui mène de Dakar à Tambacounda.

« Aux alentours de Bambey on cultive le mil et l’arachide… La végétation est assez fournie, avec de nombreux baobabs. Pendant la saison des pluies la verdure est très marquée. Comme presque partout au Sénégal, Bambey connaît un sol plat, presque sans relief. » Wikipédia nous apprend aussi que la population s’y élevait à environ 21 000 habitants (en 2002).

Parce que c’est l’Université Alioune DIOP de Bambey, qui vient de décerner son tout premier doctorat honorifique, et c’est au recteur de l’Université Laval, de Québec au Canada, et professeur en foresterie, Denis Brière, qu’elle a choisi de l’attribuer.

Ému de se joindre à la « jeune et dynamique » communauté de l’Université Alioune Diop de Bambey à titre de docteur honoris causa, le recteur Brière a d’ailleurs accepté cet honneur au nom de tous les membres de la communauté universitaire de l’Université Laval, qui compte plus de 270 000 diplômés de par le monde, incluant quelques centaines au Sénégal.

La prestigieuse reconnaissance vient souligner le parcours professionnel exemplaire du recteur de l’Université Laval et son accomplissement remarquable à ce titre, en plus de témoigner de l’amitié entre deux importantes universités de la francophonie désireuses d’intensifier leurs collaborations.

« Dans le monde d’aujourd’hui, qui appelle à la traversée des frontières et au partage des expertises et des ressources, les collaborations interuniversitaires comme la nôtre sont garantes de croissance et de réussite. » Denis Brière

Tablant sur les valeurs de développement durable de l’établissement et son parcours vers la carboneutralité, le recteur Brière a aussi réitéré l’engagement de l’Université Laval en matière de développement et de recherche envers l’université sénégalaise qui pourra s’appuyer « (…) sur nos forces en développement durable pour développer une licence dans ce domaine, ici, à l’Université Alioune Diop de Bambey, et compter sur l’expertise et la renommée internationale de nos facultés pour vous accompagner dans la diversification de vos filières et la structuration de vos activités de recherche », a aussi soutenu le recteur.

 

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(Crédit des deux photos: Université Laval)

 

 

Développez des « produits circulaires » : vos produits sont-ils 5R ?

Qu’est-ce que des produits circulaires ? La plupart des produits n’ont pas été conçus pour pouvoir être réintroduits dans le cycle de production, de distribution et d’utilisation. Ceci rend difficile la transition vers une économique circulaire, qui vise zéro déchet. Il est donc nécessaire de concevoir de nouveaux produits qui puissent être facilement réemployés, réparés, remis en état, refabriqués ou encore recyclés (5R). C’est-à-dire des produits « circulaires ».

Voici, en ce début d’année, quelques éléments d’une stratégie qui vous permettra de passer aux produits circulaires.

L’ABC DES PRODUITS CIRCULAIRES

Une entreprise qui souhaite développer de nouveaux produits en prenant en compte leurs impacts sur l’environnement met en place une démarche d’éco-conception. De nombreuses méthodes ont été développées pour mettre en place une démarche d’éco-conception. Cette démarche permet d’anticiper et de limiter les impacts environnementaux des produits, biens et services. Elle consiste à prendre en compte l’impact environnemental du produit, sur l’ensemble de son cycle de vie, lors de sa conception. Elle est multicritères, car elle prend en considération chacune des étapes du cycle de vie du produit.

Une entreprise qui souhaite mettre en place un modèle économique circulaire doit développer des produits conçus en vue de leur retraitement. Les recommandations pour concevoir un produit facilement démontable sont ainsi regroupées en deux catégories : la structure du produit et la sélection des attaches.

Une conception modulaire permet d’isoler les composants stables de ceux dont la technologie peut évoluer et qui, une fois devenus obsolètes, pourront être remplacés.

Le nombre de pièces peut, par exemple, être réduit en intégrant plusieurs pièces entre elles. Les pièces et composants de rechange doivent être facilement disponibles. Un accès facile aux composants permet de réduire le temps de démontage. Idéalement les composants doivent être accessibles à partir d’un seul plan d’accès. Regrouper les matériaux dangereux dans des modules séparés et facilement accessibles est aussi recommandé. Utilisez des systèmes de fixation qui ne n’assiste pas d’attache et éviter les fixations permanentes, comme le soudage et de sertissage.

Évitez les pièces et composants de formes géométriques aux endroits où les contaminants peuvent s’accumuler. Utilisez des pièces similaires ou très différentes. Les pièces similaires sont interchangeables. Les pièces différentes ne peuvent pas être confondues. Utilisez des matières compatibles lorsque des matériaux différents doivent être utilisés. Choisir des matériaux avec des propriétés différentes aide pour les séparer facilement. Marquez les pièces en plastique. Évitez des finitions comme les peintures, enduits ou les revêtements. Les peintures peuvent, par exemple, souiller le plastique, lors de leur recyclage, et les matériaux résistants sont préférés aux enduits de protection.

Si les matériaux ne sont pas compatibles avec celui des pièces attachées, les matériaux de fixation doivent être séparés facilement après le broyage. Par exemple, en utilisant une fixation de fer, pour attacher deux pièces en plastique.

L’écho-efficacité est la fourniture de biens et de services à un prix compétitif qui répondent aux besoins humaines et leur apportent une qualité de vie, tout en réduisant progressivement l’impact écologique et la consommation des ressources tout au long de cycle de vie, à un niveau au moins en ligne avec les capacités estimées de charge de la Terre. Elle a pour objectif de créer plus de valeur avec moins impact.

L’APPROCHE CRADEL TO CRADLE

L’approche du berceau au berceau (Cradle to cradle) vise à développer des produits qui ont un cycle de vie circulaire afin de pouvoir être récupérés et réutilisés continuellement. Cette approche de conception bénéfique repose sur l’utilisation de matériaux sûrs, la remise en état et l’utilisation continue des matériaux, la préservation de l’eau, l’utilisation d’énergies renouvelables et le respect de l’équité sociale.

Les chaussures de la compagnie Puma sont biodégradables. Lorsqu’elles arrivent en fin de vie, elles sont collectées, déchiquetées puis transportées vers une installation de compostage industrielle où elles se transforment, dans les six mois, en nutriments.

Si des entreprises de renom telles que Kodak, Volkswagen, Umicore, Solvay, Suez, Orange, ReCellular, HP, Puma, O2, Nintendo, Boing, Maersk, Bosch, CHEP, Patagonia, ifixit, Caterpillar, Siemens, Auchan, Ostara, Citrotecno, Renault, Philips, Xerox, Electrolux, Interface, Nexans, Dunlopillo, Steelcase, Michelin, Coca Cola et IBM s’activent, depuis plusieurs années pour certaines, en matière d’économie circulaire, il est probablement le temps que vous y portiez intérêt vous aussi?

 

Sur l’économie circulaire: www.vric.ca

 

Faites comme SmartReno, Communauto et La Pastèque : avec Desjardins, le marché européen est à votre portée!

En janvier 2012, Desjardins s’implantait en Europe par l’entremise d’un Bureau de représentation à Paris pour mieux s’occuper du marché européen. Objectif : créer un relais pour les entreprises désireuses de mener des projets à l’international. Au terme de ses quatre premières années d’opération, le bureau européen de Desjardins  a  accompagné, pas moins de 720 entreprises des deux côtés de l’Atlantique, en plus de mettre en œuvre de nombreuses activités de réseautage à l’intention des clients canadiens et européens.

L’ACCOMPAGNEMENT STRATÉGIQUE DES ENTREPRISES, AU COEUR DES ACTIVITÉS QUOTIDIENNES

« Notre offre est bien rodée et nous répondons parfaitement aux besoins spécifiques des entreprises canadiennes et européennes qui visent des marchés outre-mer. De plus, notre enracinement en sol européen nous permet de raffiner quotidiennement nos connaissances en matière d’économie, de législation et de fiscalité, et ce, au plus grand bénéfice des entrepreneurs de chez nous », explique Lucia Baldino, directrice principale du bureau de Desjardins à Paris, pour qui les résultats obtenus au cours des 48 derniers mois sont éloquents.

À l’inverse, Lucia Baldino ajoute que même si la notoriété de Desjardins en est à ses balbutiements en Europe, l’institution a rapidement été en mesure de guider de nombreuses entreprises européennes qui cherchaient à développer le marché nord-américain : « Notre participation aux missions d’affaires organisées en terres canadiennes par notre partenaire le groupe Crédit Mutuel-CIC a permis aux entrepreneurs européens d’établir un premier contact avec des homologues canadiens. »

Desjardins a également conçu Entreprendre et conquérir le marché canadien, un guide destiné aux sociétés françaises souhaitant faire des affaires au Canada. Un guide pour le marché français sera disponible en 2016.

Lucia Baldino souligne que Desjardins organisait récemment une seconde mission d’affaires en France. « Cette initiative a permis aux 8 entreprises québécoises d’échanger avec des experts européens, d’établir des contacts auprès des organismes franco-canadiens et même de rencontrer plusieurs entreprises avec lesquelles elles négocient déjà des ententes commerciales. »

Outre le volet « entreprise », mentionnons que depuis la fin de l’année 2014, le bureau de représentation accompagne également les particuliers qui s’implanteront en Europe ou au Canada.

UNE FORMULE QUI A DÉJÀ FAIT SES PREUVES

La contribution de Desjardins aux succès des entreprises québécoises en sol européen est mesurable, comme le démontrent ces quelques exemples.

  • Créée en 2012, SmartReno est une entreprise de Montréal qui, forte de son succès dans certaines grandes villes canadiennes, aspire à devenir un leader mondial. SmartReno permet aux habitants des grands centres, à la recherche d’un entrepreneur, de décrire leur projet de rénovation en quelques lignes sur son site Internet. Dans un délai de 24 heures, ils obtiennent des soumissions de trois entrepreneurs qualifiés. Quelque 20 000 projets sont soumis annuellement sur le site de l’entreprise. L’an dernier, pour l’ouverture de son site Internet à Munich en Allemagne, l’entreprise a été dans l’obligation d’ouvrir un compte bancaire en Euros pour ses opérations allemandes. Étant donné que toutes leurs opérations bancaires s’effectuaient avec Desjardins, il a été facile pour l’entreprise d’être mise en relation avec le Crédit Mutuel afin d’ouvrir le compte rapidement.
  • Communauto, est l’une des entreprises de partage de voiture les plus connues en Amérique du Nord. Grâce à l’expertise de Desjardins, Communauto s’est implantée en Europe sous l’appellation Communauto Mobizen. L’entreprise a pu ainsi agrandir et moderniser son parc automobile et mettre au point son système de prélèvements autorisés selon les normes européennes.
  • Fondée à Montréal en 1998, La Pastèque est une maison d’édition de bandes dessinées et de livres jeunesse. Elle publie annuellement plus d’une vingtaine de titres au Québec, en France, en Belgique et en Suisse. Pendant plusieurs années, l’entreprise a tenté sans succès d’ouvrir un compte bancaire pour ses activités européennes. Avec la croissance de ses affaires en Europe, ce compte était devenu une priorité pour l’entreprise. Grâce à son partenariat avec le Crédit Mutuel, Desjardins a accompagné La Pastèque  dans ce processus. Résultat, le compte a été ouvert en à peine une semaine. De plus, l’entreprise a tissé de nombreux liens d’affaires par l’entremise du réseau de Desjardins en Europe, permettant ainsi à cette dernière d’accélérer son développement et d’envisager un futur prospère.

Pour plus de renseignements sur les activités du bureau de représentation Desjardins en Europe, nous vous invitons à consulter le www.desjardins-europe.com.

 

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