Chrono Aviation inscrit en 2016 une petite révolution dans l’industrie du transport aérien au Canada avec le lancement officiel de Chrono Aviation Illimité, un club exclusif qui permet de voler à volonté entre Québec, Montréal et Toronto.
Chrono Aviation a été fondée à Québec en 2012. À ses débuts, l’entreprise exploitait un Pilatus PC-12 et employait deux pilotes. Avec sa philosophie différente, axée sur la sécurité et des appareils neufs équipés à la fine pointe de la technologie, Chrono a vite séduit une clientèle à la recherche d’une expérience de vol confortable, efficace et sécuritaire. Chrono Aviation offre maintenant des vols nolisés au Canada et partout aux USA avec une flotte qui compte une dizaine d’appareils. Avec son équipe de plus de 40 employés, depuis novembre 2014 Chrono est la seule compagnie de nolisement à Québec à offrir des appareils de 19 passagers, soit deux Beechcraft 1900D.
FORMULE ILLIMITÉ
L’arrivée de la formule Chrono Aviation Illimité, une première canadienne, offrira maintenant aux gens d’affaires une toute nouvelle façon de voyager puisque pour un forfait de 1 400$ par mois, le statut de membre permettra de voler de façon illimitée sur des vols privés vers 3 destinations stratégiques du Canada (Québec, Montréal et Toronto) avec 6 départs par jour.
Avec ce concept unique au Canada, les membres peuvent profiter de plusieurs avantages : finies les files d’attente et pertes de temps, départs de terminaux exécutifs privés, réservations rapides en moins de 30 secondes, confort et expérience haut de gamme, stationnements gratuits, service personnalisé, réseautage avec des gens d’affaires et surtout, aucun frais caché.
« C’est simplement le Netflix de l’aviation », mentionne dans son communiqué Dany Gagnon, cofondateur de Chrono Aviation.
L’entreprise québécoise GURU profitera de l’Expo Manger Santé et Vivre Vert, au Palais des Congrès de Montréal, pour réaliser le lancement québécois de l’Eau Énergie GURU, le 11 mars 2016.
L’Eau Énergie GURU a été commercialisée aux États-Unis en 2015 et y a remporté le prix « Best Beverage » du magazine américain Vegan Health & Fitness au début de 2016. C’est toujours au titre de « première mondiale » que cette boisson, qui est infusée de thé vert énergisant, a obtenu la certification biologique canadienne, ne contient aucune calorie, aucun sucre et aucun sucrant artificiel. On dit aussi qu’elle est délicieuse au goût!
LA BOISSON DU FUTUR!
Bio, zéro calorie, sans sucre, sans OGM et végétalienne, les propriétés énergisantes de l’Eau Énergie GURU reposent sur de la caféine naturelle, extraite de thé vert. Elle se veut une réponse à la demande des consommateurs qui recherchent une alternative santé aux boissons gazeuses. Selon GURU, ces dernières ont d’ailleurs vu leurs ventes décliner d’environ 25 % en 20 ans.
Ce produit novateur se retrouvera très bientôt sur les tablettes des commerces au Québec. La nouvelle boisson se décline même en plusieurs saveurs rafraîchissantes. L’Eau Énergie GURU est actuellement considérée comme un produit « sans équivalent » ailleurs dans l’industrie.
On doit ici se souvenir du film belge portant sur la triste vie de Thomas (Thomas est amoureux, réalisé par Pierre-Paul Renders en 2000) racontant la vie d’un agoraphobe aigu et de son volet virtuel… Nous y serions presque, selon les progrès réalisés ces cinq dernières années dans l’intelligence artificielle. Les robots de demain seront capables d’exécuter presque toutes les tâches humaines et menacent donc des millions d’emplois. Prostitution incluse!
« La société doit se pencher sur cette question dès maintenant car si des robots font presque tout ce que nous faisons comme travail, qu’allons nous faire ? », s’est interrogé récemment Moshe Vardi, directeur de l’Institute for Information Technology à l’Université Rice, au Texas, alors qu’il était aux côtés d’autres experts à la conférence annuelle de l’American Society for the Advancement of Science (AAAS) réunie à Washington.
Il y avait dans le monde 1,15 million de robots industriels en 2011 et ce nombre devait encore augmenter de 30% pour 2015. Selon la Fédération internationale de robotique, il s’est vendu plus de 160 000 robots industriels dans le monde en 2012.
À cette époque, la moyenne de robots industriels pour 10 000 ouvriers tournait autour de 55 au niveau mondial, soit environ la situation des pays tels que le Royaume-Uni, l’Australie ou la Suisse. Les pays leaders en la matière étant la Corée du Sud (350), le Japon (339) et l’Allemagne (251). Italie, Suède, Danemark, États-Unis, Espagne, Finlande, Taiwan, France, Belgique, Autriche, Canada et les Pays-Bas se situant, toujours en 2012, autour de 150 à 100 robots pour 10 000 ouvriers.
Voila que 2016 n’a pas deux mois faits que déjà des scientifiques n’excluent pas rien de moins que « la fin du travail humain » ! En demandant si l’économie mondiale peut s’adapter à un taux de chômage « de plus de 50% » ?
Les robots industriels ont largement bouleversé le secteur industriel ces quatre dernières décennies, avec des gains de productivité bienvenus. Mais il y a, semble-t-il, un coût net en emplois : « Le nombre de création de postes dans le secteur manufacturier a atteint son pic en 1980 aux États-Unis et n’a cessé depuis de diminuer », a expliqué aussi le chercheur Moshe Vardi.
La recherche se concentre actuellement sur la capacité de raisonnement des machines et les progrès sont spectaculaires.
Il est déjà avancé que 10% des emplois nécessitant de conduire un véhicule aux États-Unis pourraient disparaître en raison de l’automatisation de la conduite d’ici 25 ans.
Toujours aux États-Unis, on observe que les investissements dans l’intelligence artificielle ont été de loin les plus élevés en 2015, ce depuis la naissance de ce domaine de recherche il y a environ un demi siècle. C’est une flèche qui monte ! Fort probablement structurante et annonciatrice de grands bouleversements dans toutes les sociétés.
Avec les dernières percées technologiques en matière d’informatique ces dernières années, nous pouvons nous rendre compte que nous sommes bel et bien au coeur d’un monde en changement. Comme on peut le constater avec les différentes technologies à disposition du grand public : traduction et reconnaissance vocale vont toujours en s’améliorant; Google Photos est capable de classifier les images que vous avez prises avec votre téléphone intelligent; capable aussi de les « tagguer » avec des mots clés; capable de classer aussi par photo de personne individuelle ! (Essayez-le : cliquez sur la loupe dans Google Photos et vous verrez la magie!) Saviez-vous qu’en 2023, nous serons en mesure d’atteindre la puissance d’un cerveau humain avec un super ordinateur ?
Wow ! Mais sachez qu’en 2045, un seul super ordinateur devrait avoir la puissance des cerveaux de tous les humains sur terre combinés !
Nous pouvons communiquer avec nos proches bien qu’ils soient à l’autre bout de la planète en conversation vidéo, la médecine avance à une vitesse phénoménale, dans moins de 10 ans nous allons avoir des voitures 100% autonomes.
Par exemple, Google X Labs (whoops, Alphabet…) qui a racheté presque toutes les entreprises en robotique et en intelligence artificielle les plus innovantes, dont Boston Dynamics que vous devez déjà connaître pour entre-autre son robot quadrupède qui peut marcher dans des environnements très accidentés et garder son équilibre malgré des coups d’une certaine force.
L’intelligence artificielle là-dedans ?
Maintenant que nous avons les muscles mécaniques comme les moteurs, la science commence à nous dévoiler les cerveaux mécaniques/artificiels.
L’intelligence artificielle (IA), ou apprentissage informatique, peut permettre à un ordinateur de trouver des solutions à des problèmes de façon pratiquement autonome : prise de décision, analyse des risques, reconnaissance de l’écriture, du langage, des fautes de grammaires, reconnaissance biométrique, signaux électriques du corps humain (cerveau, membres) etc … L’un de ces algorithmes est le réseau de neurones multicouches. Cet algorithme est quasiment universel, vous lui donnez en échantillon des paramètres en entrée et une sortie désirée.
Ex : score au test à l’école selon heures étudiées et heures de sommeil.
(Sommeil : 3h, étude : 3h) = 68% au test
(Sommeil : 8h, étude : 4h) = 96% au test
Après avoir fourni plusieurs échantillons au système, vous pouvez lui demander par exemple « si je dors 6 heures et j’étudies 3 heures, combien j’aurai à mon test ? » Évidemment, plus vous donnerez d’échantillons au système, plus précis il sera. Vous pouvez même avoir plusieurs sorties à votre réseau de neurones, voire plus de sorties que d’entrées et quand même avoir des résultats révélateurs.
Et nous n’avons pas parlé de la vision informatique et des avantages considérables de l’IA dans le secteur médical!
Cet algorithme a de nombreux autres usages intéressants, en plus d’être utilisé pour tous les exemples cités plus haut, c’est aussi le même algorithme pour faire tenir un robot bipède en équilibre, mais aussi pour les prothèses myoélectriques.
Cette technique ne peut évidemment pas régler et n’est pas optimale pour tous les problèmes, toutefois il existe une multitude d’algorithmes d’apprentissage informatique différents plus appropriés et performants pour certaines tâches en particulier (classification, détection, reconnaissance, prédiction, décision, etc …)
Nous pouvons déjà accomplir des choses assez impressionnantes avec les technologies d’apprentissage informatique, et vous pouvez considérer que ce n’est que le début (voir le graphique plus bas).
La technologie a toujours des bons et des mauvais côtés. Rappelons, depuis l’industrialisation, tous les gens qui ont perdu leur emploi à cause des percées technologiques, ou vont le perdre… (Lire aussi notre article qui explique pourquoi: L’impression 3D coûtera 5 millions d’emplois d’ici 5 ans). Mais en même temps, cela permet de créer des emplois de plus en plus spécialisés et efficaces. Est-ce que ce dilemme sera bon pour tous le monde ?
Voici un documentaire de 15 minutes qui s’intitule « Humans Need Not Apply », sous-titré en français, qui donne un panorama sur les possibilités actuelles de l’intelligence artificielle, ainsi qu’un aperçu du futur.
Qu’est-ce que le futur nous réserve ? Seul l’avenir nous le dira !
La singularité technologique va-t’elle exister un jour ? Qu’en pensez-vous ?
Microsoft vient de dévoiler son projet Natick, un « projet de recherche pour déterminer la faisabilité des centres de données sous-marins ». Les objectifs sont de comprendre les bénéfices, mais aussi les difficultés de déployer des centres de données sous la mer.
Microsoft pense que le déploiement de centres de données en eaux profondes est une bonne solution pour réduire l’empreinte environnementale.
Le but du concept est d’associer l’entrée électrique à partir d’une turbine ou d’un système qui génère de l’énergie marémotrice, mais aussi comme solution de refroidissement.
Nous savons tous bien que les serveurs génèrent beaucoup de chaleur et coûtent cher en électricité pour le refroidissement. Cette solution de Microsoft pourrait être écologique et économique, car il n’y aurait plus à payer cette lourde facture.
Microsoft pense être en mesure de pouvoir déployer un centre de données du début à la fin en 90 jours seulement.
Le système est équipé d’une centaine de capteurs différents pour mesurer l’humidité, le mouvement, la pression et plus encore. Ce qui permet de pouvoir prévenir les pannes matérielles qui pourraient survenir ou aussi les fuites.
Les premiers tests ayant été concluants, les ingénieurs pensent à tester des projets commerciaux de cloud. Un système sous-marin qui sera trois fois plus grand est déjà en cours de conception.
Un premier « datacenter » en production pourrait voir le jour en Floride ou en Europe du Nord
« La première fois que j’en ai entendu parler, je me suis dit: »Eau… électricité, pourquoi faire ça ? » Mais quand vous prenez la peine d’y penser, en fait c’est logique », a avancé Ben Cutler, ingénieur Microsoft qui travaille sur le système de Natick.
Il est prévu qu’après le déploiement de 90 jours, la durée de vie de l’infrastructure informatique durera environ 5 ans, soit le temps de la durée de vie du matériel. Le centre de données serait ensuite remplacé par un neuf. Quant à la durée de vie de l’environnement du « datacenter », elle est au minimum de 20 ans, période après laquelle il doit être récupéré et recyclé.
Est-ce que les « datacenters » du futur seront sous-marins ?