Archives de catégorie : Mondialisation

World Première : Scotland launches a national atlas of palliative care

The first Scottish Atlas of Palliative Care was launched this week by University of Glasgow academics at a major palliative care conference “The Scottish Partnership for Palliative Care annual conference”, in Edinburgh. The Scottish Atlas of Palliative Care contains previously-unavailable data on the availability of palliative care services across Scotland. Until now, Scottish data has been encompassed within UK data. It is the first example of a national atlas of palliative care to be produced anywhere in the world.

University initiative

This Atlas was produced by the Reverend Dr Hamilton Inbadas and Dr Michelle Gilles in a programme led by Professor David Clark of the Glasgow End of Life Studies Group, based at the University of Glasgow’s Dumfries campus. In a colourful and attractive design, the Atlas contains maps, tables, lists and diagrams, illustrating which services are available in Scotland, at what level, and where.

The Scottish Atlas (…) presents a picture of the levels of specialist palliative care provided through different types of services, categorised by each health board area. It also offers a useful list of key documents and milestones that capture the development of Scottish palliative care in the areas of policy, education and socio-cultural attitudes”, said Reverend Dr Inbadas, Research Associate in the Glasgow End of Life Studies Group and lead author of the Atlas.

This document responds to a commitment in the Scottish Government’s 2016 Strategic Framework for Action in Palliative and End of Life Care, which in turn was a response to the World Health Assembly resolution in 2014 which requires all governments to recognise palliative care and to make provision for it in their national health policies.

The Scottish Atlas of Palliative Care will support a range of work in progress to contribute towards our vision that by 2021, everyone in Scotland who needs palliative care will have access to it”, said Craig White, Divisional Clinical Lead at the Scottish Government’s Healthcare Quality and Strategy Directorate.

Definitions of the terms used and the layout of the document are based on those of the existing European Atlas of Palliative Care, making the Scottish data comparable with European data for the first time.

Palliative Care

Professor Clark said: “Scotland is not visible in the European Atlas…, and this is something which we wanted to put right. We hope it will inspire other nations to do the same.”

Dr Michelle Gillies, Clinical Lecturer in Public Health at the University of Glasgow, managed the data collection which involved identifying and interviewing service providers and then extracting quantitative data from these narratives.  The team will now analyse the Scottish data and compare it with data from the European Atlas, to outline gaps and areas for improvement in Scotland’s palliative care provision.

This World Première was produced by the University of Glasgow with funding from the Scottish Government.

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Link to Scottish Atlas:

www.glasgow.ac.uk/scottishatlasofpalliativecare

www.gla.ac.uk/schools/interdisciplinary/staff/hamiltoninbadas/

www.gla.ac.uk/researchinstitutes/healthwellbeing/

www.gla.ac.uk/schools/interdisciplinary/staff/davidclark/

www.palliativecarescotland.org.uk/

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COMMERCE INTERNATIONAL : CIQ ajoute des outils au QUÉBEC

Les  entrepreneurs exportateurs au Québec peuvent désormais trouver en un clic l’expert à l’international dont ils ont besoin et apprendre une foule d’informations pratiques sur l’exportation au Québec. Et d’autres nouveautés ont récemment faits leur apparition chez Commerce International Québec (CIQ).

Nouveau site internet

Après plusieurs semaines de développement, Commerce International Québec vient de présenter son nouveau site Web. Pensé pour le grand public, mais aussi pour tout entrepreneur à la recherche de services à l’exportation dans sa région, il offre une foule d’information sur les services et activités offerts par les organismes régionaux de promotion des exportations (ORPEX) à travers le Québec.

Un tout nouvel outil y permet de trouver l’expert à l’international desservant le territoire où est située votre entreprise. Il suffit d’écrire son code postal et le tour est joué. Vous y verrez également une carte interactive permettant de localiser l’ORPEX présent dans votre région.

Nouveau service pour les entreprises faisant affaires aux États-Unis

Commerce International Québec a de plus conclu le 18 août dernier une entente de partenariat avec le Groupe Conseil C-TPAT (GCC) qui permettra d’offrir sur l’ensemble du territoire québécois des services d’accompagnement menant à la certification C-TPAT et au maintien de celle-ci par l’entremise de ses membres.

GCC possède une expertise reconnue internationalement dans la prestation de services reliés à la sécurisation de la frontière. CIQuébec et les ORPEX ont mis de l’avant des efforts conjoints avec GCC afin d’offrir rapidement le service aux PME québécoises.

« Nous sommes heureux de la signature de l’entente de partenariat avec CIQuébec qui permettra à GCC d’avoir une représentation dans l’ensemble des régions du Québec et aux ORPEX membres de CIQuébec d’offrir ce nouveau service aux entreprises exportatrices du Québec et à celles-ci de se conformer aux nouvelles normes de sécurités américaines et internationales », explique Dominic McInnis, fondateur de GCC.

Cours de commerce international en ligne

Commerce International Québec entamera aussi à la mi-janvier 2017 sa toute première cohorte de cours sur les aspects pratiques du commerce international. Ce cours sera destiné aux employés d’entreprises québécoises qui souhaitent perfectionner leurs connaissances en matière de commerce international. Ces cours s’échelonneront sur 12 semaines et seront donnés en ligne les mercredis après-midi par l’expert en développement du commerce extérieur et chroniqueur du cyberjournal CommerceMonde.com, Karl Miville-de Chêne.

Mandat renouvelé pour Yanick Godbout

Le président de Commerce International Québec, Yanick Godbout, voit par ailleurs son mandat renouvelé pour une nouvelle année. En poste depuis un an, M. Godbout est directeur de Développement PME International (DPMEI) et commissaire à l’exportation pour la région Chaudière-Appalaches.

« C’est une fierté de présider le conseil d’administration de Commerce international Québec, le plus grand réseau d’accompagnateurs des PME exportatrices du Québec. En 2015, c’est 2 500 entreprises qui ont fait appel à nos services, soit environ 1 exportateur sur 4, et nous travaillons très fort afin de jouer un rôle encore plus important dans la croissance économique nationale », explique Yanick Godbout.

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www.ciquebec.ca

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2020 sera l’année des Émirats arabes unis

Les Émirats arabes unis ne font pas souvent la nouvelle en Occident, mais deux raisons expliquent le présent coup de radar : l’horizon du grand rendez-vous mondial de 2020 et une affaires d’énergie, évidemment.

Commençons par l’énergie!

DU PÉTROLE AU NUCLÉAIRE

Première puissance en matière de diversification de l’économie au Moyen-Orient, ce petit territoire a bien utilisé sa rente pétrolière. Les villes de Doubaï (déjà 2 lignes en fonction) et d’Abu Dhabi (en construction) qui se dotent d’un métro sont déjà des carrefours touristiques de calibre mondial et deux villes modernes. Ce n’est pourtant pas demain la veille que l’on cessera d’y parler du pétrole.

D’autant qu’en 2014, l’ADNOC a repris seule le contrôle des champs pétroliers, après l’expiration des concessions de 75 ans à Shell, BP, Total, Exxon Mobile et Partex. Mais surtout parce que du pétrole et du gaz naturel, le pays en regorge pour encore longtemps, très longtemps.

« À 2,8 millions de barils par jour en 2013, les ÉAU occupaient le 3e rang des pays exportateurs nets; à ce rythme, la 7e réserve mondiale de pétrole devrait être exploitable pour encore un siècle », écrit Thibault Cadro, dans son livre de 2015 (édition de boeck).

Il est donc surprenant d’apprendre que pour répondre aux besoins énergivores de Doubaï et d’Abu Dhabi, les ÉAU sont en train de se doter de quatre stations d’énergie nucléaire. Actuellement en construction, elles entreront en production entre 2017 et 2020, pour produire jusqu’à 29% de l’énergie du territoire.

Après l’Iran, les Émirats arabes unis deviendront donc dès l’an prochain le 2e pays arabo-musulman utilisant le nucléaire civil.

CARREFOUR DU MONDE EN 2020

La présence humaine est avérée à partir de 5 200 avant J.C. aux ÉAU. Les tribus bédouines des Beni Yas y pratiquaient le confédéralisme dès le 16e siècle. Entre les Turcs et les Arabes, elles surent maintenir leur culture. Ce qui explique peut-être que ce peuple d’environ 1 million de natifs accepte et accueille actuellement quelque 8 M de travailleurs étrangers venant de l’Inde (2,8 M), du Bangladesh (1,1 M), du Pakistan (1 M), d’Égypte (0,7 M) et des Philippines (0,5 M), et aussi environ 500 000 d’Occidentaux. Bref, les Émirats arabes unis sont un impressionnant carrefour de cultures.

Une recette qui l’aura porté au Top 30 des puissances économiques mondiales, avec un PIB multiplié par 8 entre 1993 et 2013. Faisant partie de la première catégorie des pays en matière de qualité de la vie, les ÉAU sont 40e sur 187 pays selon la liste de l’ONU.

Côte des pirates devenue États de la Trêve sous la protection des Britanniques, les sept émirats presque poussés à l’indépendance en 1971 seront pays hôte d’une Exposition universelle en 2020. En novembre 2013, c’est la ville de Doubaï qui fut ainsi choisie et qui se prépare à accueillir le monde sous la thématique : « Connecter les esprits, construire le futur ».

Les Expos sont des plateformes d’innovation où les nations peuvent partager leurs idées sur des enjeux mondiaux, que cela soit l’urbanisme à Shanghai en 2010, la nutrition à Milan en 2015 ou encore l’énergie en 2017 à Astana. Le projet de Dubaï offre une nouvelle approche en ne se focalisant pas sur un sujet unique, mais plutôt sur une vision, une manière de penser, qui peut alimenter les projets et stimuler la recherche. Site du Bureau international des expositions

Déjà décider de mettre à son agenda de 2020 un séjour dans ce coin du monde est donc peut-être une excellente idée! Et si vous voulez aussi y aller pour y brasser des affaires, alors retenez trois noms d’autant de familles stratégiques aux Émirats : Futtaim, Habtoor et Tayer. Trois familles cumulant des dizaines de collaborations avec les plus grandes entreprises du monde présentent aux ÉAU. Le développement des affaires c’est eux!

Alors que la politique résonne davantage avec les Al Maktoum, Al Nahyan et Al Qassimi. Et n’oubliez surtout pas le grand Zayed; le fondateur du pays.

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Expo Dubai 2020

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Un vent d’Asie regroupe Bull Housser à Norton Rose Fulbright  

Le Partenariat trans Pacifique (PTP) n’est pas encore ratifié par les États au traité commercial, mais les avocats ne prennent pas de chance. Septembre 2016 est encore à sa première moitié que nous apprenons que le 1er janvier 2017 s’appliquera un regroupement de ce qui représentera alors 3 892 avocats à l’échelle mondiale, dont 667 au Canada. Ce sont Norton Rose Fulbright et Bull Housser qui ont annoncé leur regroupement.

« Nos clients respectifs souhaitent avoir accès plus facilement aux services de notre cabinet partout au Canada, sur la côte ouest des États-Unis et dans les pays côtiers du Pacifique. En plus de répondre à ce besoin, notre regroupement nous assure une présence à Vancouver et offre à nos clients l’expertise régionale et la connaissance du marché dont ils ont besoin pour tirer parti des possibilités d’investissement et de développement canadiennes et étrangères en Colombie-Britannique », d’expliquer Charles Hurdon, associé-chef de la direction de Norton Rose Fulbright.

Norton Rose Fulbright et Bull Housser ont des forces complémentaires et, ensemble, ils offriront des compétences de premier plan sur le marché dans les secteurs de l’énergie, des mines, des infrastructures, des services financiers, de l’immobilier, du transport maritime, des installations portuaires, des sciences de la vie, des soins de santé et de la technologie.

En Colombie-Britannique, Bull Housser est un acteur important du milieu des affaires depuis plus d’un siècle, et le cabinet a aidé activement la province à enregistrer la croissance la plus rapide au Canada, tout en maintenant des liens essentiels avec la région de l’Asie-Pacifique. Le passage de Bull Housser à la plateforme mondiale de Norton Rose Fulbright présentera trois principaux avantages pour les clients :

  • une offre de services novateurs,
  • une efficience accrue grâce à des technologies, des systèmes de pointe,
  • un accès à des conseillers juridiques hors pair dans le monde entier.

Charles Hurdon demeurera associé-chef de la direction de ce nouveau Norton Rose Fulbright au Canada et Janet Grove demeurera associée-directrice du bureau de Vancouver, lequel continuera à offrir sa gamme complète de services juridiques. Tous les avocats de ce bureau demeureront en poste et seront toujours soutenus par un groupe de professionnels juridiques reconnus et chevronnés du Canada et d’ailleurs dans le monde.

Le cabinet d’avocats Bull Housser est établi à Vancouver depuis 126 ans. L’un des principaux cabinets d’avocats de cette ville; il compte présentement 92 avocats et plus de 150 employés.

Voir la Fiche technique (après fusion).

English press release : BULL HOUSSER COMBINES WITH GLOBAL LAW FIRM NORTON ROSE FULBRIGHT

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Le marché olympien du pari sportif en ligne

J’avais environ dix ans lorsque mes parents me firent prendre l’avion pour la première fois de ma vie pour aller découvrir les chaudes plages de la Floride, un rêve pour tous les Québécois en hiver. Les radios crachaient partout Pink Floyd, The Wall, mais pour mon père l’intérêt fut plutôt de nous amener aux courses de chiens. Ce fut ma première occasion de voir en action le pari sportif. Des séries de lévriers lancés en chasse derrière un drôle de lapin; chaque fois après que des séries de parieurs aient misé sur quel brave chien coifferait le fil d’arrivée le premier. Aujourd’hui, je peux miser de même sans le brouhaha des aéroports et les désagréments des grands déplacements, oui sans la fébrilité des salons de jeux mais tranquillement et directement de mon salon, dans ma maison, avec l’extension Internet du faramineux marché du pari sportif et les accès du web tel NetBet Sport. Alors Nadal ou Lopez vainqueur ? William ou William ? Le PSG ou Liverpool ?

Évidemment, le pari sportif n’est pas une nouveauté dans l’histoire du monde. C’est son arrivée sur internet et, surtout, sa régularisation qui l’a fait bondir.

On dit que le pari sportif existe depuis la fin du XIXè siècle, en référence à la période où les courses hippiques et ensuite le pari mutuel urbain (PMU) se sont développés en France. Et la diversification des paris n’a pas tardé. Aujourd’hui, il est possible de miser sur presque tous les types de sports et événements sportifs se déroulant n’importe où dans le monde.

Baseball; Football; Tennis; Basketball; Rugby; Formule 1; Handball; Rugby à XIII; Cyclisme; Volleyball; Hockey; Foot US; Boxe; Ski; Sport Automobile; Moto; Golf; Snooker…

Le foot en salle ou le beach volley ont même leurs adeptes!

Début des années 2000 : le pari sportif en ligne

Le développement des sites de paris sportifs en ligne, au début des années 2000, a donné un nouveau souffle au secteur. De fait, les salles virtuelles de paris sont en passe de détrôner les bookmakers traditionnels et le phénomène n’en est qu’à son commencement. Car seul une trentaine de pays, dont le Mexique, la Tanzanie, l’Australie et l’Afrique du Sud, ont accepté de légaliser la privatisation des paris sportifs depuis longtemps.

Dans d’autres pays, le monopole du jeu appartient encore au gouvernement, empêchant le développement des sites privés de paris sportifs. Mais globalement, d’après les experts, le secteur du pari sportif sera totalement libéralisé d’ici 15 à 20 ans, puisque les législateurs ne résisteront pas longtemps aux pressions des opérateurs et des joueurs et au marché olympien du pari sportif en ligne.

Le marché européen du pari sportif

C’est en 2010 que le marché des jeux en ligne s’est ouvert à la concurrence en France. Après des débuts timides, le marché français des paris sportifs sur Internet est cependant en train de s’envoler. Les mises enregistrées au 1er trimestre de 2016 auront chiffré 516 millions d’euros: une augmentation de 47% en un an. Il s’agit même, selon l’Autorité de régulation des jeux en ligne (ARJEL), « du plus haut montant réuni sur un trimestre depuis l’ouverture du marché des jeux d’argent en ligne en 2010 ».

Mais il n’y a pas que la France. Les paris sportifs en Europe représenteraient, selon les spécialistes, un marché d’environ dix milliards d’euros. Comme la majorité des pays, incluant la France, avaient encore le monopole sur les jeux, la Commission Européenne a dû s’imposer avec la libéralisation progressive de ce secteur, jugeant que c’était dans l’intérêt de l’économie de l’Union. Mais aussi de celle des pays membres, puisque des millions de joueurs s’y exercent déjà alors que les profits qu’ils génèrent n’entrent pas encore dans les caisses d’État.

En France seulement, le chiffre d’affaires annuel de la Française des Jeux n’était que de l’ordre de 630 millions d’euros, alors qu’une seule semaine de tournois à Roland Garros rapportait un milliard d’euros aux sites de paris sportifs en ligne. Au R-U, où le rugby, le cricket, le foot et la boxe sont les sports vedettes, on recensait déjà quelque 800 000 parieurs pour un chiffre d’affaires annuel de 3,5 milliards d’euros; des chiffres qui étaient à peu près les mêmes pour l’Italie, tandis que l’Espagne tablait à 200 000 joueurs, mais qui ont tout de même généré plus d’un milliard d’euros de recettes en 2009.

Dès 2011, le marché des paris sportifs était prévu rapporter jusqu’à 10 milliards de revenus sur l’ensemble du territoire européen. Le nombre de joueurs devant augmenter de 30%, avec une participation accrue des 18-45 ans.

Le pari sportif dans le reste du monde

En dehors de l’Europe, les États-Unis constituent le premier marché mondial pour les paris sportifs. En deuxième position vient la Chine. Macao, un territoire spécial chinois, est considéré comme le Las Vegas de l’Asie et de nombreux casinos, aussi bien terrestres que virtuels y sont implantés. Dans tous les cas, les 5 à 10 prochaines années seront décisives et marqueront l’apogée des paris sportifs dans le monde.

Hors du Web point de salut; foot-tennis-basket ne laissent que des miettes aux autres sports.

L’Autorité de régulation des jeux en ligne a bien confirmé qu’en France les tendances enregistrées en 2014 se maintiennent en 2015. Ainsi, le secteur des paris sportifs fut la seule composante du marché des jeux d’argent en ligne à connaitre une dynamique de croissance qui s’est accentuée en 2015.

Car au contraire, les mises enregistrées en paris hippiques reculent continuellement et ont été en baisse pour la quatrième année consécutive. Le déclin de l’activité du poker se prolonge également dû à la chute des mises enregistrées en cash game.

Le recul de l’activité des paris hippiques peut certes être mis en relief avec le dynamisme du pari sportif. Jusqu’en 2013, les enjeux enregistrés en paris hippiques étaient nettement supérieurs à ceux réunis en paris sportifs (+263 millions d’euros).

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En savoir plus:
Euro 2016 : la bataille des sites de paris sportifs

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