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La singularité technologique c’est pour demain ? Humans Need Not Apply

Avec les dernières percées technologiques en matière d’informatique ces dernières années, nous pouvons nous rendre compte que nous sommes bel et bien au coeur d’un monde en changement. Comme on peut le constater avec les différentes technologies à disposition du grand public : traduction et reconnaissance vocale vont toujours en s’améliorant; Google Photos est capable de classifier les images que vous avez prises avec votre téléphone intelligent; capable aussi de les « tagguer » avec des mots clés; capable de classer aussi par photo de personne individuelle ! (Essayez-le : cliquez sur la loupe dans Google Photos et vous verrez la magie!) Saviez-vous qu’en 2023, nous serons en mesure d’atteindre la puissance d’un cerveau humain avec un super ordinateur ?

Wow ! Mais sachez qu’en 2045, un seul super ordinateur devrait avoir la puissance des cerveaux de tous les humains sur terre combinés !

Nous pouvons communiquer avec nos proches bien qu’ils soient à l’autre bout de la planète en conversation vidéo, la médecine avance à une vitesse phénoménale, dans moins de 10 ans nous allons avoir des voitures 100% autonomes.

Par exemple, Google X Labs (whoops, Alphabet…) qui a racheté presque toutes les entreprises en robotique et en intelligence artificielle les plus innovantes, dont Boston Dynamics que vous devez déjà connaître pour entre-autre son robot quadrupède qui peut marcher dans des environnements très accidentés et garder son équilibre malgré des coups d’une certaine force.

L’intelligence artificielle là-dedans ?

Maintenant que nous avons les muscles mécaniques comme les moteurs, la science commence à nous dévoiler les cerveaux mécaniques/artificiels.

L’intelligence artificielle (IA), ou apprentissage informatique, peut permettre à un ordinateur de trouver des solutions à des problèmes de façon pratiquement autonome : prise de décision, analyse des risques, reconnaissance de l’écriture, du langage, des fautes de grammaires, reconnaissance biométrique, signaux électriques du corps humain (cerveau, membres) etc … L’un de ces algorithmes est le réseau de neurones multicouches. Cet algorithme est quasiment universel, vous lui donnez en échantillon des paramètres en entrée et une sortie désirée.

Ex : score au test à l’école selon heures étudiées et heures de sommeil.

(Sommeil : 3h, étude : 3h) = 68% au test
(Sommeil : 8h, étude : 4h) = 96% au test

Après avoir fourni plusieurs échantillons au système, vous pouvez lui demander par exemple « si je dors 6 heures et j’étudies 3 heures, combien j’aurai à mon test ? » Évidemment, plus vous donnerez d’échantillons au système, plus précis il sera. Vous pouvez même avoir plusieurs sorties à votre réseau de neurones, voire plus de sorties que d’entrées et quand même avoir des résultats révélateurs.

Et nous n’avons pas parlé de la vision informatique et des avantages considérables de l’IA dans le secteur médical!

Cet algorithme a de nombreux autres usages intéressants, en plus d’être utilisé pour tous les exemples cités plus haut, c’est aussi le même algorithme pour faire tenir un robot bipède en équilibre, mais aussi pour les prothèses myoélectriques.

perceptron
Représentation d’un neurone formel simple

Cette technique ne peut évidemment pas régler et n’est pas optimale pour tous les problèmes, toutefois il existe une multitude d’algorithmes d’apprentissage informatique différents plus appropriés et performants pour certaines tâches en particulier (classification, détection, reconnaissance, prédiction, décision, etc …)

Nous pouvons déjà accomplir des choses assez impressionnantes avec les technologies d’apprentissage informatique, et vous pouvez considérer que ce n’est que le début (voir le graphique plus bas).

Puissance des ordinateurs au fil des années

Loi de moore future

NOTE: Le nombre de transistors d’un processeur double environ tous les 18 mois.
Cliquez ici pour en savoir plus à propos de la Conjecture de Moore

Humans Need Not Apply

La technologie a toujours des bons et des mauvais côtés. Rappelons, depuis l’industrialisation, tous les gens qui ont perdu leur emploi à cause des percées technologiques, ou vont le perdre… (Lire aussi notre article qui explique pourquoi: L’impression 3D coûtera 5 millions d’emplois d’ici 5 ans). Mais en même temps, cela permet de créer des emplois de plus en plus spécialisés et efficaces. Est-ce que ce dilemme sera bon pour tous le monde ?

Voici un documentaire de 15 minutes qui s’intitule « Humans Need Not Apply », sous-titré en français, qui donne un panorama sur les possibilités actuelles de l’intelligence artificielle, ainsi qu’un aperçu du futur.


Qu’est-ce que le futur nous réserve ? Seul l’avenir nous le dira !

La singularité technologique va-t’elle exister un jour ? Qu’en pensez-vous ?

 

Rattrapons le vol du millénaire

L’arrivée des années 2000 relevait d’abord du mythe. Nous nous demandions tous quel âge nous aurions le moment venu si nous étions, évidemment, venus au monde avant! Au 31 décembre 1999, les nouvelles technologies étaient déjà tellement dans nos vies que la peur du fameux « bug » de l’an 2000 fut parmi les vedettes du célèbre jour. Les systèmes informatiques traverseraient-ils la date fatidique? Ils le firent! L’enthousiasme pouvait demeurer. Par l’implantation des technologies de pointe et progrès des communications, les fameux changements économiques très tranchés vécu au cours des années 1990 avaient même fait annoncer que cette « Nouvelle économie » mettrait jusque fin au cycle des affaires. Que les nouvelles technologies, permettant de mieux contrôler les stocks – avec le just in time –, atténueraient, voire élimineraient, les récessions. Ne savait-on pas que le surinvestissement dans les stocks était l’une des causes premières des fluctuations économiques depuis la Seconde Guerre mondiale…

Effectivement les louanges de ladite nouvelle économie étaient méritées. Elle était réelle : Internet, les innovations des télécommunications et les nouvelles pratiques d’affaires qui en étaient issues aussi. Une véritable accélération de l’innovation et de la productivité fut belle et bien constatée. Mais des gens cupides sont vite venus gâcher la sauce, gonfler le gâteau, pour surtout partir avec.

« Comme la marée descendante révèle les rudes écueils sous la surface de l’eau, le reflux de l’économie a mis a nu les plus choquantes réalités de l’expansion : les problèmes liés à la comptabilité, aux PDG et aux banques, les relations entre marché et politique, la déréglementation… », analyse avec intelligence le prix Nobel d’économie Joseph Stiglitz dans son livre Quand le capitalisme perd la tête, lui si bon témoin des déraillements de l’économie mondiale de 2000 et 2001.

Problèmes d’éthiques comptables qui menèrent Arthur Anderson à la faillite, abus des PDG notamment avec les distributions de stock-options et des banques avec les cadeaux aux initiés et copains – qui provoqueront pour ses dernières des amendes de 1,4 milliard de dollars seulement dans le règlement judiciaire avec l’attorney général de l’État de New York, Eliot Spitzer. Dans les années 1990, la rémunération moyenne des hauts dirigeants des entreprises aux USA s’est accrue de 442% en huit ans, passant de 2 M$ à 10,6 M$. Une flambée d’abus.

www.oag.state.ny.us/press/statements/global/resolution.html.

À la réelle vague de croissance, s’ajouta, par la convoitise, l’immoralité et la corruption, un gonflement de bulle qui, elle, éclata d’autant plus qu’elle avait été artificialisée par les tromperies, mais n’en reste-t-il pas pour autant une promesse qui se réalisait?

Oui, le passage de l’ère industrielle à l’économie de l’information et du savoir laissa présager la fin des cycles économiques de croissance et de récession. Plus de deux siècles de capitalisme en montagne russe trouvaient enfin un aboutissement salvateur, un optimisme vers la disparition de la pauvreté. Bien des analystes très compétents y crurent lors de la fascinante décennie des années 1990 qui n’en finissait pas d’offrir de la croissance à qui mieux mieux. Il était si tentant d’y croire. L’économie de la troisième vague à la Alvin Toffler était belle et bien en marche et la donne changeait fondamentalement.

Le gouffre boursier de mars 2000 vint tout chambouler. Tout remettre en question. Mais en a-t-on tiré les bonnes conclusions… Le 11 septembre de la même année viendra certes brouiller l’analyse. Deux guerres du Golfe plus tard et plus de sagesse dans l’analyse des « start up » et des dot.com, il est possible d’y voir claire.

Un véritable vol du millénaire

L’enquête et le procès sont maintenant terminés et il devient évident que le rêve n’était pas impossible. On nous a volé les fruits de la 3e vague! Un véritable vol du millénaire.

La cupidité des courtiers de Wall Street avec une soif de gains faciles et surtout immoraux, ajoutée à trop de puissants PDG gourmands et malhonnêtes. Des gouvernements faibles devant des responsabilités d’État qui s’imposaient. Il fallait peut-être passer par là! Mais le temps est venu de bien comprendre cette histoire et de remettre les espoirs à la bonne place.

Ni la mondialisation économique, ni des excès de déréglementations ne doivent continuer de porter le blâme. Des fraudeurs et des mauvais exécuteurs ont fait dérailler le train. Le TGV de la nouvelle économie continue bel et bien d’exister.

Ce 1er janvier 2016 le grand quotidien La Presse de Montréal est devenu le premier au monde à mettre fin à son édition papier. Vive LaPresse+ uniquement sur internet. Les avions survolent la planète avec les nouveaux moteurs d’éco-conception 20% plus efficace. Merci à Bombardier.

Ce n’est pas vrai que la mondialisation ne fonctionne pas. Des milliards de dollars circulent mieux, plus vite, vers plus d’opportunités. De la richesse se crée. Du progrès aussi. Il faut organiser tout ça. Que la mondialisation politique suive l’économique. Équilibrer l’État et le marché.

Reprenons vite espoir en cette révolution de la 3e vague, forte du partage du savoir et de l’accès quasi immédiat à l’information partout sur le globe.

Souhaitons-nous cela pour 2016!

(EXCLUSIF) Tourisme durable : VillageMonde.com arrive

2017 a été choisie par l’ONU « Année du tourisme durable ». Ce qui donnera juste le temps nécessaire pour que le monde découvre bien la vision et l’organisme qu’un homme d’affaires de Québec vient de lancer avec la Fondation Village Monde.

L’Assemblée générale des Nations Unies proclame 2017 « Année internationale du tourisme durable pour le développement » face, notamment, à  l’importance « de favoriser la compréhension entre tous les peuples, de faire mieux connaître le riche héritage des différentes civilisations et de faire davantage apprécier les valeurs inhérentes aux différentes cultures, contribuant ainsi à renforcer la paix dans le monde ».

Avec un timing à propos, une homme d’affaires de Québec se fait à l’idée qu’à l’heure du développement de l’économie collaborative et des nouvelles technologies, la mise en relation d’une offre de tourisme villageois avec des voyageurs en quête de partage et d’authenticité devient possible et simplifiée.

Pour faciliter ces échanges, Village Monde a mis en place sa propre plateforme collaborative qui jouera le rôle de carrefour d’échange pour le développement d’un tourisme responsable par la mise en valeur de destinations et d’initiatives locales : le Airbnb du tourisme villageois! En concordance avec les vœux de l’ONU !

La plateforme collaborative de cette nouvelle entreprise d’innovation sociale de Québec  est en ligne officiellement que depuis le 9 décembre 2015. L’équipe de Village Monde compte trois permanents, en plus de la présence régulière de M. Mony et de son épouse.

Quoi faire après Creaform ?

Parce que Village Monde est une initiative originale de Charles Mony, déjà entrepreneur technologique à succès et fondateur de Creaform.

« Après la vente de Creaform en 2013, je me suis demandé si je devais démarrer une nouvelle Start up ou bien travailler à notre fondation. Notre fondation avait été créée en 2010 avec l’idée d’appuyer le micro-entreprenariat… Mon voyage d’une année autour du monde en voilier m’a permis de valider notre concept de tourisme durable », nous explique-t-il.

Village Monde est au croisement de l’entrepreneuriat technologique et du développement international. L’organisation vise à encourager les initiatives productrices de richesse et à améliorer les conditions de vie des communautés éloignées, partout sur la planète, tout en donnant accès à un nouveau type de tourisme : le tourisme villageois.

« On va s’inscrire dans la pensée de l’économie collaborative… C’est une fusée cette affaire-là… il faut embarquer », s’enthousiasme Charles Mony, rencontré dans la belle et patrimoniale Maison Blanchette de la Côte de Cap-Rouge, qui héberge les bureaux de Village Monde.

C’est quoi un village pour Charles Mony ?

« Un établissement humain avec une taille non-anonyme. Disons entre 300 et 5-10 000 habitants… Notre vision c’est de faire vivre la ruralité avant tout », tranche-t-il au final.

Il faut donc davantage penser ruralité que village. Au cœur de cette ruralité, c’est tout de même un village qui vous accueillera sur place. La labellisation des sites est d’ailleurs bâtie sur sept critères. Ce sera le défi de l’année 2016 : élargir l’offre – qui tient présentement sur 15 destinations – à une centaine et avec l’assurance de la qualité.  « Il nous faut atteindre cette masse critique », insiste le fondateur, qui explique que chaque endroit est visité avant de confirmer l’autorisation d’intégrer le label Village Monde.

S’associera-t-il à des grandes ONG déjà existantes ou des partenaires stratégiques comme des compagnies aériennes ? Certainement.

C’est justement en approchant ONE DROP pour établir un partenariat, qu’il a fait la rencontre d’une senior de la coopération internationale, Danielle Valiquette. Un mois plus tard, il lui offrait de sauter dans son aventure pour occuper le poste de directrice générale.

Elle qui a visité plus de 80 pays autant en Afrique, en Amérique du Sud qu’en Asie, longtemps pour Oxfam-Québec, plus récemment pour ONE DROP avant que le Cirque du Soleil ne change de main, y a vu une opportunité à ne pas laisser passer, même si depuis un mois et demi elle navigue entre Québec et Montréal hebdomadairement. C’est effectivement un très beau défi de recommencer à zéro pour bâtir un projet sans équivalent.

« Mon premier défi reste de nous positionner et de mobiliser des partenaires », nous précise Danielle Valiquette, gestionnaire chevronnée de programmes et projets internationaux.

Le concept de Village Monde ne se limitera pas à l’amélioration des rapports Nord-Sud.

« Nous avons déjà le Nord du Québec dans la mire », de répondre encore la directrice générale.

Village Monde : une graine semée par des citoyens sans frontières.

 

www.VillageMonde.com

http://media.unwto.org/fr/press-release/2015-12-10/les-nations-unies-proclament-2017-annee-internationale-du-tourisme-durable-

Lire le plus récent article:

commercemonde.com/2016/07/transat-solidarite-french-tech-rennes-st-malo-vogue-village-monde/

Korem remet 25 000$: quand la faiblesse du $ profite à plus pauvre

Le 15 décembre 2015, l’entreprise de Québec Korem a versé un don de 25 000 $ à Lauberivière, un organisme qui lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale dans la grande région de Québec. Ayant connu une forte croissance, en particulier sur le marché américain qui représente 70 % de son chiffre d’affaires, Korem a su bénéficier d’un taux de change favorable ce qui lui a permis de réaliser d’importants profits pour l’année 2015. L’entreprise et l’ensemble de ses employés ont profité de cette fin d’année et de la période des fêtes pour partager une partie de ces profits avec un organisme qui leur tient à cœur et qui a un impact réel et positif au sein de la communauté.

« La faiblesse du dollar pouvait difficilement être prévisible lors de la planification des budgets pour l’année 2015. La position stratégique que nous avons développée sur le marché américain au cours des dernières années a généré des profits extraordinaires. Ce n’est pas le fruit du hasard. Nous avons été stratégiques, patients et nous avons développé une offre incomparable en Amérique du Nord. La conjoncture économique de 2015 a bonifié la vision corporative. C’est une bonne nouvelle pour nos employés qui profitent de plans de participation aux bénéfices, mais nous souhaitons aussi en faire profiter la collectivité via ce don de 25 000 $ à Lauberivière », explique Sébastien Vachon, président de Korem et membre du conseil d’administration de la Fondation Lauberivière.

Korem est un leader en commercialisation et intégration de technologies et de données géospatiales qui contribue, depuis plus de 22 ans, au succès de ses clients par l’optimisation de leurs processus décisionnels et stratégiques. Son objectif est d’offrir et de recommander à ses clients les meilleurs produits de l’industrie grâce à une équipe d’experts et des alliances stratégiques.

BRAVO à Korem, et de Joyeuses Fêtes au monde entier !

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Sur la photo : Sébastien Vachon, président de Korem et membre du conseil d’administration de Lauberivère.
korem.com
lauberiviere.org

Eco Expo Asia: 10 years of growing for the green industry

  • 10th Eco Expo Asia confirms double-digit visitor growth as green industry continues to expand
  • Strong exhibitor and delegation line-up fulfilled demands for waste management, energy efficiency and green building solutions
  • In-demand thematic zones and conference topics enhanced participants’ experience

The 10 th edition of Eco Expo Asia concluded with great success on 31 October 2015 at the AsiaWorld-Expo. The fair, which ran from 28 – 31 October, was organised by Messe Frankfurt (HK) Ltd and the Hong Kong Trade Development Council, and received full support from the Environment Bureau of the Government of Hong Kong Special Administrative Region as the co-organiser. In 2015, the event welcomed a record-breaking 320 exhibitors as well as 12,385 trade visitors, a 14% increase from last year. The pool of visitors represented 97 countries and regions including the Chinese mainland, Taiwan, India, the US, Japan, Malaysia and Iran, reinforcing Eco Expo Asia’s position as the preeminent trade platform for green businesses in Asia.

Since its launch, Eco Expo Asia has served as a premier showcase for the latest environmental products and services from Hong Kong, the Mainland of China, throughout Asia and around the world. More than 30 delegations of the Mainland of China are present here, underlining the value they see in Eco Expo Asia,” said CY Leung, Chief Executive of the Hong Kong Special Administrative Region, officiated at the opening ceremony.

Opening with the new theme “Embracing a Green and Sustainable Future”, the 2015 edition hosted new pavilions from the State of Illinois and Taiwan, alongside those returning from the Chinese mainland, the EU, Hong Kong, Japan and Switzerland as well as a participation from the Netherlands. Together with other leading companies and brands that also attended, buyers were offered an extensive selection of in-demand products that matched the latest environmental initiatives in Asia.

Sustainable development continues to draw a high-level of international attention. The fair has attracted top industry players and 55 delegations from various sectors. These experts from the waste management and recycling, energy efficiency, green building as well as the air and water quality sectors offered their distinctive green solutions at the fair.

First-time exhibitor Molok Oy from Finland of the EU Pavilion provides clean and economical solutions for efficient and environmentally friendly waste collection. Saritta Duhamel, Controller of Global Activities for the company, said: “We chose Eco Expo Asia as our first stop in entering the East Asia market. We have met potential customers from the Chinese mainland, Indonesia, India, Malaysia and South Korea, which was a successful turnout for our company. China’s eco market is booming and I am optimistic about the industry prospects as well as the future of our business in Asia.”

With more countries pushing ahead with clean energy policies, a Hong Kong company, Robin Energy Ltd, presented their WindArc – a self-sustaining vertical wind turbine street light system that is equipped with a magnetic resistant-free generator. Victor Cheung, Executive Director of the company, commented: “Eco Expo Asia has a concentrated buyer base and is the most relevant to our business compared to other similar shows in Macau and India. We met about 30 potential distributors from countries such as Europe, North America and Singapore on just the first day, which is a very satisfactory number.”

By participating in this programme, I was able to discuss matters related to domestic sales, after-sales services and distributorship directly with suppliers in a quiet environment and in a timely and efficient manner,” stated Huang Jinhai, COO of the e-commerce platform for building materials XunCaiWangCai.com, buyer at the Business Matching Programme.

The Eco Asia Conference is a reputable information exchange platform that has received critical acclaim within the industry over the years. For 2015, it brought together 38 guest speakers from eight countries and regions and attracted over 790 attendees.

The next edition in 2016 will again take place at the AsiaWorld-Expo in Hong Kong from 26 – 29 October 2016.

 

www.messefrankfurt.com
www.messefrankfurt.com.hk
www.ecoexpoasia.com