Archives de catégorie : Général

2020 sera l’année des Émirats arabes unis

Les Émirats arabes unis ne font pas souvent la nouvelle en Occident, mais deux raisons expliquent le présent coup de radar : l’horizon du grand rendez-vous mondial de 2020 et une affaires d’énergie, évidemment.

Commençons par l’énergie!

DU PÉTROLE AU NUCLÉAIRE

Première puissance en matière de diversification de l’économie au Moyen-Orient, ce petit territoire a bien utilisé sa rente pétrolière. Les villes de Doubaï (déjà 2 lignes en fonction) et d’Abu Dhabi (en construction) qui se dotent d’un métro sont déjà des carrefours touristiques de calibre mondial et deux villes modernes. Ce n’est pourtant pas demain la veille que l’on cessera d’y parler du pétrole.

D’autant qu’en 2014, l’ADNOC a repris seule le contrôle des champs pétroliers, après l’expiration des concessions de 75 ans à Shell, BP, Total, Exxon Mobile et Partex. Mais surtout parce que du pétrole et du gaz naturel, le pays en regorge pour encore longtemps, très longtemps.

« À 2,8 millions de barils par jour en 2013, les ÉAU occupaient le 3e rang des pays exportateurs nets; à ce rythme, la 7e réserve mondiale de pétrole devrait être exploitable pour encore un siècle », écrit Thibault Cadro, dans son livre de 2015 (édition de boeck).

Il est donc surprenant d’apprendre que pour répondre aux besoins énergivores de Doubaï et d’Abu Dhabi, les ÉAU sont en train de se doter de quatre stations d’énergie nucléaire. Actuellement en construction, elles entreront en production entre 2017 et 2020, pour produire jusqu’à 29% de l’énergie du territoire.

Après l’Iran, les Émirats arabes unis deviendront donc dès l’an prochain le 2e pays arabo-musulman utilisant le nucléaire civil.

CARREFOUR DU MONDE EN 2020

La présence humaine est avérée à partir de 5 200 avant J.C. aux ÉAU. Les tribus bédouines des Beni Yas y pratiquaient le confédéralisme dès le 16e siècle. Entre les Turcs et les Arabes, elles surent maintenir leur culture. Ce qui explique peut-être que ce peuple d’environ 1 million de natifs accepte et accueille actuellement quelque 8 M de travailleurs étrangers venant de l’Inde (2,8 M), du Bangladesh (1,1 M), du Pakistan (1 M), d’Égypte (0,7 M) et des Philippines (0,5 M), et aussi environ 500 000 d’Occidentaux. Bref, les Émirats arabes unis sont un impressionnant carrefour de cultures.

Une recette qui l’aura porté au Top 30 des puissances économiques mondiales, avec un PIB multiplié par 8 entre 1993 et 2013. Faisant partie de la première catégorie des pays en matière de qualité de la vie, les ÉAU sont 40e sur 187 pays selon la liste de l’ONU.

Côte des pirates devenue États de la Trêve sous la protection des Britanniques, les sept émirats presque poussés à l’indépendance en 1971 seront pays hôte d’une Exposition universelle en 2020. En novembre 2013, c’est la ville de Doubaï qui fut ainsi choisie et qui se prépare à accueillir le monde sous la thématique : « Connecter les esprits, construire le futur ».

Les Expos sont des plateformes d’innovation où les nations peuvent partager leurs idées sur des enjeux mondiaux, que cela soit l’urbanisme à Shanghai en 2010, la nutrition à Milan en 2015 ou encore l’énergie en 2017 à Astana. Le projet de Dubaï offre une nouvelle approche en ne se focalisant pas sur un sujet unique, mais plutôt sur une vision, une manière de penser, qui peut alimenter les projets et stimuler la recherche. Site du Bureau international des expositions

Déjà décider de mettre à son agenda de 2020 un séjour dans ce coin du monde est donc peut-être une excellente idée! Et si vous voulez aussi y aller pour y brasser des affaires, alors retenez trois noms d’autant de familles stratégiques aux Émirats : Futtaim, Habtoor et Tayer. Trois familles cumulant des dizaines de collaborations avec les plus grandes entreprises du monde présentent aux ÉAU. Le développement des affaires c’est eux!

Alors que la politique résonne davantage avec les Al Maktoum, Al Nahyan et Al Qassimi. Et n’oubliez surtout pas le grand Zayed; le fondateur du pays.

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Expo Dubai 2020

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ChinAfrique : CGCOC s’implique dans l’autoroute Lagos-Dakar

L’enjeu des infrastructures est toujours au cœur des stratégies de développement économique. Et l’année 2016 aura déjà confirmé une énième implication majeure de la Chine dans ce qui reliera ultimement les mégapoles ouest-africaines de Dakar, au Sénégal, et de Lagos, au Nigéria, via une véritable autoroute. Soit une infrastructure fondamentale pour l’avenir de toute l’Afrique de l’Ouest : l’Autoroute transafricaine numéro 7.

L’autoroute Lagos-Dakar parmi les accords de la Cédéao avec le chinois CGCOC

Signés le 20 janvier 2016 à Abuja, au Nigéria, cinq protocoles d’accord conclus entre la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) et le groupe chinois CGCOC entraient ainsi dans une phase d’étude qui rapproche de la mise en chantier. Le volet autoroutier de l’accord portant sur le financement et la construction de l’axe Lagos – Dakar, des ingénieurs privés chinois avaient fait le déplacement sur le terrain, en octobre 2015, pour conduire des études préparatoires. Avec maintenant le feu vert de Pékin, le plus grand projet d’infrastructures routières, ferroviaires et aériennes destiné à relier des capitales africaines s’active.

Outre l’autoroute côtière trans-ouest africaine, les cinq protocoles d’accord couvrent le chemin de fer trans-ouest africain et les infrastructures de télécommunication d’Afrique de l’Ouest, l’aviation régionale ouest africaine, ainsi que la construction du nouveau siège de la Cédéao et de ses annexes à Abuja.

Une réunion des ministres des Infrastructures/Transports routiers/Travaux publics et de la Justice sur le Corridor Dakar-Abidjan s’est aussi tenue le 14 avril à Banjul, en Gambie. Organisée par la Commission de la Cédéao pour présenter le Projet du Corridor Routier Dakar-Abidjan, on voulait alors convenir avec les États membres des modalités de sa mise en œuvre (Sénégal, Gambie, Guinée-Bissau, Guinée, Sierra Leone, Liberia et Côte d’Ivoire).

But : étendre le projet de développement de corridor déjà prévu sur le tronçon Abidjan-Lagos pour couvrir la totalité du Corridor Dakar-Lagos. Construire totalement l’Autoroute transafricaine numéro 7.

Le corridor Abidjan-Lagos couvrira 1 028 km en connectant en premier les plus grandes agglomérations et les centres économiques les plus dynamiques de l’Afrique de l’Ouest que sont Abidjan, Accra, Cotonou, Lomé et Lagos.

Pas une première pour la Chine

Le projet de construction de l’autoroute Abidjan-Grand Bassam implique déjà en grande partie du financement par la Chine (Eximbank Chine), qui ici a consenti à l’endroit de la Côte d’Ivoire un financement de 53 milliards de FCFA. Il s’agit d’un prêt de 20 ans, avec un différé de 7 ans et un taux d’intérêt de 2%.

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Crédit photo: ictsd.org

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Semaine québécoise de l’informatique libre 2016

Le Logiciel Libre au Québec

GnulinuxDepuis 2009, l’organisme FACIL, avec l’appui de nombreux organismes de la communauté du logiciel libre au Québec, organise presque à chaque années l’événement SQIL (Semaine québécoise de l’informatique libre). Il s’agit d’une série d’activités ayant pour objectif de promouvoir l’utilisation du logiciel libre et des données ouvertes. Il y en a pour tous les niveaux: pour les débutants, comme les plus expérimentés.

Cette semaine offre de nombreuses activités, notamment conférences, ateliers, rencontres, projections de films, tables ronde et plus.

« L’informatique libre au service d’une société libre » est le thème de l’édition 2016 de la SQIL.

Pour sa 8e édition, le SQIL 2016 aura lieu du 17 au 25 septembre 2016 dans plusieurs villes à travers le Québec, notamment Québec, Montréal et La Pocatière.

Logiciel Libre = Providence technologique

Le fait qu’il y ait des méga-corporations avec quasi monopole dans l’industrie des technologies de l’information et des communications peut porter atteinte au recherche et développement de nouvelles percées technologiques dans le domaine.

C’est là que l’informatique libre intervient : le plus gros réseau de recherche et développement du monde. En effet, quel secteur d’activité ne requiert pas d’infrastructure informatique ? Aucun ! Qu’arrive-t-il aux entreprises qui n’intègrent pas de solutions informatiques ? Elles auront plus de difficultés à gérer leur croissance face à la compétition.

Si ces entreprises, consortiums et organismes travaillent main dans la main pour développer de façon collaborative des solutions informatiques que n’importe qui pourra utiliser, contribuer, modifier et redistribuer librement, qu’est-ce qu’on gagne au final ? L’indépendance dans les technologies de l’information et des communications.

Imaginons la PME qui doit renouveler ses licences pour ses postes informatiques à chaque année, suite bureautique, logiciels d’inventaire, de serveurs, de base de données, et engager un expert certifié. Pour la plupart des PME, il s’agit d’un coup dur à prendre. Nous parlons de PME, mais le coup peut être dur à prendre aussi pour les grandes entreprises, pour les gouvernements, même pour les particuliers.

Un exemple parfait d’informatique libre que vous connaissez sans doute: Wikipédia! Tout le monde a l’autorisation de lire, contribuer, modifier et redistribuer gratuitement son contenu, mais aussi les logiciels sur lequel il fonctionne (Mediawiki, Linux, etc.)

L’informatique libre est là pour que, plutôt que tout le monde travaillent en cachette – chacun dans leur coin – sur des technologies équivalentes, que ce soit la même technologie pour tout le monde; tout le monde travaillent en équipe sur une architecture flexible, concrète et universelle pour atteindre plus rapidement des objectifs communs. Il s’agit là d’alliance stratégique. Que ce soit le secteur médical, gouvernemental, militaire, commercial, institutionnel ou autre, le logiciel libre ne peut apporter que des avantages.

On ne bâtit pas une civilisation extra-terrestre en développant nos technologies en cachette chacun de notre côté et en brevetant tout et n’importe-quoi ; on bâtit une civilisation extra-terrestre en partageant notre savoir et nos connaissances.

L’informatique libre ne consiste pas seulement en des logiciels libres, mais aussi au matériel libre, la culture du libre, les standards ouverts et consortiums, la confidentialité et la protection de la vie personnelle, la neutralité du réseau internet, l’égalité sociale dans la société numérique et encore plus…

Pourquoi le logiciel libre est important?

L’informatique fait désormais partie intégrante de la société d’aujourd’hui et personne ne peut le nier. Au même titre que les besoins essentiels (eau, nourriture, électricité, chauffage, transport etc.), l’informatique est maintenant un pilier indispensable au plein fonctionnement de l’économie internationale et à la paix sociale.

Lorsqu’un organisme, ou un particulier, achète un logiciel, ne pas avoir le droit d’accéder au code source et d’y apporter les modifications désirées est non seulement contre-productif, mais aussi cela ne respecte pas les droits de l’utilisateur. Lorsque l’utilisateur n’a pas le contrôle sur le logiciel, c’est le logiciel qui a le contrôle sur l’utilisateur.

Si le logiciel n’est pas open source, le fournisseur peut accéder à tous vos fichiers, accéder à votre localisation géographique, espionner votre microphone et webcam, en collaboration avec un gouvernement ou non, et ce, sans que vous le sachiez.

Si le logiciel est open sourcemais pas libre : vous pouvez savoir s’il comporte un logiciel espion, mais si vous souhaitez adapter ce logiciel aux besoins de votre entreprise et y contribuer, ou en faire la distribution de service, vous n’en aurez pas l’autorisation.

Le logiciel libre est important parce qu’il respecte vos libertés fondamentales en tant que citoyen ou en tant qu’organisme, c’est-à-dire votre confidentialité, votre indépendance et celles de vos données, votre liberté, votre culture de  la connaissance générale et votre accès à l’information. Tout ça est respecté!

Horaire des activités du SQIL 2016

La SQIL favorise la convergence des mouvements pour le logiciel libre, le matériel libre, le savoir libre et la culture libre au Québec. Tout ce qui peut se mettre sous une licence libre et participe à la construction, au développement et à la conservation des communs numériques est à l’honneur ! Célébrons nos ressources partagées !

Que vous soyez un étudiant, un professionnel ou fanatique de l’informatique, un utilisateur normal d’ordinateur ou un hacker, débutant ou expérimenté, vous trouverez un événement qui vous intéressera.

Cliquez ici pour voir le calendrier de la SQIL 2016

 


Vous êtes invités à participer en grand nombre aux activités de la SQIL 2016 !

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La culture n’est pas une marque de casino, mais…

L’homme d’affaires québécois Alexandre Taillefer a été président de conseil d’administration de l’Opéra de Montréal et du Musée d’art contemporain de la même ville depuis les quatre dernières années. Dans un contexte de rationalisation des budgets de l’État, il a très bien pu constater que le développement de la clientèle – et incidemment des revenus autonomes – doit être une priorité pour l’industrie de la culture. Or, la culture est bien plus qu’une marque de yogourt ou un nouveau site de casino en ligne … Et à ce titre, il vaut probablement mieux s’inspirer davantage des USA que de la France.

Dans son texte d’opinion du numéro d’été 2016 du magazine québécois Voir, Alexandre Taillefer explique comment le Musée d’art contemporain de Montréal (MAC) a su augmenter ses revenus. Simple: il a augmenté son budget de marketing au moins dans les mêmes proportions! Le solde net permettant à l’institution d’engranger 1 million de beaux $.

C’est aussi ça la culture et le showbiz, savoir se vendre !

Pour lui, le Québec culturel est « très bon pour créer de l’offre. Il faudrait peut-être apprendre à créer de la demande », ajoute-t-il aussitôt.

« S’inspirer un peu plus des Américains et un peu moins des Français qui comptent entièrement sur l’État pour financer leur culture », lançait ensuite Alexandre Taillefer.

Son expérience au MAC fut donc très concluante: les revenus de billetterie ont été directement reliés aux budgets alloués à la commercialisation. Simplement parce que pour un consommateur la culture entre directement en concurrence avec tout le reste et qu’il faut le rejoindre sur cette base. Ou, comme Taillefer sait si bien le dire lui-même: « Parce que comme pour le yogourt dans un supermarché, le produit culturel bien en vue vendra beaucoup plus que celui qui est caché dans la section des produits spécialisés. »

Autre bel exemple de son message: il explique avoir constaté qu’il existe une corrélation directe entre les artistes et chansons qui sont répertoriés sur les pages d’accueil de sites comme iTunes et Spotify et les téléchargements individuels générés. Ici c’est la règle du 98/2; oui ici 2% des chansons génèrent 98% des revenus.

Survivre sans le showbiz, c’est savoir se vendre !

UN GUERRIER DES AFFAIRES

Alexandre Taillefer n’est pas un néophyte de la commercialisation. Actionnaire principal de Taxelco, il vient d’annoncer l’acquisition de Taxi Diamond par son entreprise, devenant donc propriétaire de la plus importante flotte de taxis de la ville de Montréal. Son initiale flotte de taxis hybrides et électriques prendra encore plus d’expansion dans la métropole du Québec. Car il a la culture du bizness et des affaires.

Sachons que Diamond s’ajoutait ainsi à Taxi Hochelaga, acquis l’an dernier par Taxelco, et à Téo Taxi, le service de taxis entièrement électriques qui fut lancé il y a quelques mois par l’entreprise. À cette fin, une douzaine de luxueuses voitures Tesla, d’origine californienne, ainsi que d’autres automobiles vertes de moindre gamme comme les Soul, du constructeur coréen Kia, et des Leaf, du japonais Nissan furent acquises.

Et la prochaine fois que vous choisirez une soirée culturelle au Casino de Montréal, vous saurez quel genre de taxi joindre!

Bonne soirée.

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TMX : Roundtable for solutions to Canada’s growth capital gap

TMX Group will funding an independent working group, the Advancing Innovation Roundtable, which will examine ways to increase access to growth capital for companies in Canada‘s innovation economy. The Roundtable will deliver a set of actionable recommendations in early 2017 on how to successfully scale globally competitive enterprises in a variety of sectors including technology, clean technology, life sciences and advanced manufacturing.

Launching in September 2016, the Roundtable will focus on the scalability issues of Canadian technology and innovation firms caused by insufficient growth funding beyond the initial seed and start-up stages.

Members will include senior leaders from the Canadian investment community, including pension plan groups, banks, endowments, venture capital firms and private equity funds.

This Roundtable will be chaired by Salil Munjal, General Partner at Yaletown Partners, a leading private investment firm focused on financing growth-stage technology companies. Earlier in his career, Mr. Munjal was President & COO of Leitch Technology Corporation, a TSX-listed company that he helped grow to over a thousand employees in six offices globally.

« Where Canada lags behind our global peers is in the development of market-leading technology companies with significant scale. The Roundtable will explore new strategies to increase the supply of growth capital to develop large, next generation companies in Canada. TMX plays a vital role in Canadian capital formation and has a demonstrated history of leadership in driving change, such as the Mining Standards Task Force that gave rise to National Instrument 43-101 and mandated majority voting to help improve corporate governance standards in Canada. I look forward to collaborating with TMX and leading experts in the Canadian investment community to realize the full potential of Canada’s innovation economy companies, » said Mr. Munjal.

« TMX is focused on powering the development of an innovation economy in Canada. Canadian capital markets are vital to helping entrepreneurs through the crucial start-up phase, but also later in the financing chain as their companies scale up to become market leaders. The Roundtable recommendations will help accelerate the growth of Canadian businesses and better position Canada’s economy for high-quality economic development and job creation. Salil’s experience in both the private and public markets as a leading investor and successful business leader positions him well to help guide the Roundtable, » said Lou Eccleston, Chief Executive Officer, TMX Group.

Before delivering its recommendations, the Advancing Innovation Roundtable will consult with industry stakeholders, investors and financial leaders who are key partners in building Canada into a competitive innovation country.

 

Le Groupe TMX financera un nouveau groupe de travail indépendant, la Table ronde pour propulser l’innovation, qui examinera des avenues pour améliorer l’accès au capital de croissance pour les sociétés de l’économie de l’innovation du Canada. Cette table ronde, qui sera lancée en septembre 2016, concentrera ses efforts sur les problèmes d’évolution que connaissent les entreprises canadiennes des secteurs de la technologie et de l’innovation en raison de l’insuffisance du financement de croissance au-delà des stades de la création et du démarrage. Au début de 2017, elle formulera un ensemble de recommandations pratiques sur la façon de faire évoluer les entreprises qui seront concurrentielles sur la scène internationale dans différents secteurs, dont ceux des technologies, des technologies propres, des sciences de la vie et de la fabrication de pointe.

Les membres de la table ronde comprendront des chefs de file des milieux de l’investissement canadiens issus notamment de caisses de retraite, de banques, de fondations, de sociétés de capital de risque et de fonds de capital-investissement. La table ronde sera présidée par Salil Munjal, associé commandité de Yaletown Partners, une importante société de placement privé qui se concentre sur le financement des entreprises technologiques au stade de croissance. Plus tôt dans sa carrière, M. Munjal a été président et chef de l’exploitation de Leitch Technology Corporation, une société inscrite à la TSX qu’il a aidée à faire croître au-delà du seuil de mille employés dans six bureaux partout dans le monde.

Avant d’annoncer ses recommandations, la Table ronde pour propulser l’innovation mènera des consultations auprès des intervenants du secteur, des investisseurs et des chefs de file financiers qui sont des partenaires clés pour faire du Canada un pays concurrentiel sur le plan de l’innovation.

tmx.com

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