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Avec CHROME ® assurez-vous d’un plan export en OR qui vous rapportera de l’ARGENT

CHROME ® est un outil; un acronyme voulant référer à 6 dimensions de la qualification internationale d’une PME :

  • Compétences
  • Héritage
  • Réseau
  • Offre
  • Moyens
  • Engagement

C’est un outil sagement élaboré par une firme-conseil à l’international du Québec: Mercadex International, longtemps connue pour son focus sur l’Amérique latine, et qui se positionne plus récemment aussi sur le marché européen.

On a posé la question au grand patron de Mercadex – tout juste débarqué la veille d’un retour de Paris pour être présent au Salon Classe Export de Montréal – à savoir ce qu’il en coûte pour une PME souhaitant passer à travers le processus CHROME® ? Et le temps nécessaire ?

« Un diagnostic CHROME® coûte 2 500$ et sera réalisé en quelques jours-rencontres à l’aide d’un expert évaluateur qui questionnera l’entreprise », de nous répondre sans hésiter Jean-Paul David, en insistant bien sur le fait que c’est un expert externe qui va poser les questions et évaluer les réponses. « C’est un élément très important », précisera-t-il.

L’outil-diagnostic CHROME® est assez bien connu au Québec et a été éprouvé par le gouvernement qui n’hésite plus à l’utiliser officiellement. Expansion Québec a même sa présentation Power Point afin de favoriser l’adoption de l’outil par le plus de PME québécoises possible.

Jean-Pierre David avait même une bonne nouvelle à partager, expliquant que prochainement Mercadex allait automatiser (possiblement en faire un logiciel) davantage l’outil et le rendre largement disponible à travers Expansion Québec, « ce qui permettra de le rendre beaucoup plus abordable », encore de préciser.

En 2014, un long article scientifique publié dans International Journal of Business and Management et signé Jean-Paul David, Guillaume Cariou avait été une autre marque d’appréciation de l’outil. Le rôle stratégique et incontournable du consultant externe y avait aussi été mis en exergue sans détour :

“The experts who took part in the Delphi panel and therefore also in the development of the CHROME framework are unequivocal in saying “input from an external stakeholder from the public or private sector to qualify the firm is essential as he lends the comprehensiveness, perspective and objectivity needed for the exercise”. However, it’s not that the participation of an external expert eliminates the subjectivity associated to his experience; on the contrary, it becomes useful in the interpretation of results as such an evaluation is more an art than a mathematical exercise. The consultant’s value added equally resides within his ability to question.”

Jean-Paul David, Guillaume Cariou, 2014,
« Evaluating the Firm’s Readiness for Internationalization: from the Design to the Application of an International Qualification Framework »,
International Journal of Business and Management

Pourquoi faire valider ainsi son plan à l’exportation ?

Des années d’efforts et beaucoup de ressources sont mobilisées à travers la décision de se lancer à l’international. Pour une PME, le droit à l’erreur est quasi inexistant. S’assurer d’un plan export en OR pour espérer qu’il vous rapportera de l’ARGENT est un acte plein de sagesse et de bonne gouvernance d’entreprise. Et quelques milliers de dollars, ce n’est certes pas cher payé pour se faire dire son « Go – No Go » à l’international.

Ensuite – de même qu’autrement! – il faut assumer.

Uber passe à la caisse en Arabie Saoudite: un investissement de 3,5 milliards $

Ce n’est pas le genre de nouvelle à faire du bruit au Québec par les temps qui courent… En soirée du 1juin 2016 – selon The Associated Press – la multinationale de San Francisco a fait savoir que le fonds d’investissement souverain de l’Arabie Saoudite a injecté 3,5 milliards $ dans la compagnie de transport alternatif, s’assurant aussi d’un siège au conseil d’administration d’Uber.

Le service de commande de taxi par l’application mobile Uber existe dans neuf pays du Moyen-Orient. Un des marchés les plus grandissants, selon ce qu’affirme l’entreprise; 90% des passagers du service en Arabie Saoudite sont des femmes (le pays interdit toujours à celles-ci de conduire une voiture).

Toujours selon Associated Press, l’argent saoudien fait partie d’une ronde de financement plus vaste impliquant de nombreux investisseurs, qui ont fait grimper la valeur d’Uber à 62,5 milliards $.

Uber a amassé plus de 14 milliards $ depuis sa fondation, en 2009, et affirme détenir aujourd’hui plus de 11 milliards $ en argent et en crédit disponible pour son développement. Elle poursuit donc sans trop de souci ses visées expansionnistes aux quatre coins du globe. Attention cependant, car la concurrence est aux pas : Apple a récemment investi 1 milliard $ dans l’entreprise chinoise Didi Cuxing et General Motors 500 millions $ dans l’entreprise états-unienne Lyft.

www.uber.com

 

 

REN21 : Renewables 2016 Global Status Report reveals competitivity in many countries around the world

Year 2015 was a record for renewable energy installations. Renewable power generating capacity saw its largest increase ever, with an estimated 147 gigawatts (GW) added. Modern renewable heat capacity also continued to rise, and renewables use expanded in the transport sector. Distributed renewable energy is advancing rapidly to close the gap between the energy haves- and have-nots.

These results were driven by several factors:

  • First and foremost, renewables are now cost competitive with fossil fuels in many markets.
  • In addition, government leadership continues to play a key role in driving the growth of renewables, particularly wind and solar, in the power sector. As of early 2016, 173 countries had renewable energy targets in place and 146 countries had support policies. Cities, communities and companies are leading the rapidly expanding “100% renewable” movement, playing a vital role in advancing the global energy transition.
  • Additional growth factors include better access to financing, concerns about energy security and the environment and the growing demand for modern energy services in developing and emerging economies.

« What is truly remarkable about these results is that they were achieved at a time when fossil fuel prices were at historic lows, and renewables remained at a significant disadvantage in terms of government subsidies. For every $ spent boosting renewables, nearly four $ were spent to maintain our dependence on fossil fuels », said Christine Lins, Executive Secretary of REN21.

2015 was a record year not only for new installations, but also for investment – reaching USD 286 billion worldwide in renewable power and fuels; if investment in large hydropower (>50 MW) and in heating and cooling is taken into account, the total is far higher. With China accounting for more than one third of the global total, developing countries surpassed developed countries in total renewable energy investments for the first time.

With increased investment came an increase in technological advances, cost reductions and jobs. There are now 8.1 million people working in the renewable energy sector – representing steady growth in stark contrast with depressed labour markets in the broader energy sector.

REN21’s Renewables 2016 Global Status Report

REN21’s Renewables 2016 Global Status Report presents developments and trends through the end of 2015, as well as observed trends from early 2016 where available. This means that accelerated action to reduce greenhouse gas emissions stemming from the Paris Climate Agreement in December is not reflected in the results.

While trends are generally positive, the report highlights several challenges that remain to be addressed if governments are to fulfill their commitments to achieve a global transition away from fossil fuels. These include: achieving effective integration of high shares of renewables into the grid; addressing policy and political instability, regulatory barriers, and fiscal constraints. Further, there is far less policy focus on transport and, particularly, heating and cooling, so these sectors are progressing much more slowly.

« The renewables train is barreling down the tracks, but it’s running on 20th century infrastructure – a system based on outdated thinking where conventional baseload is generated by fossil fuels and nuclear power. To accelerate the transition to a healthier, more-secure and climate-safe future, we need to build the equivalent of a high-speed rail network – a smarter, more flexible system that maximises the use of variable sources of renewable energy, and accommodates decentralised and community-based generation », declare Arthouros Zervos, Chair of REN21.

First published in 2005, the annual Renewables Global Status Report is the most comprehensive and timely overview of the status, recent developments and trends in renewable energy markets, industries, investments, and policy developments worldwide. By design, it does not provide analysis or forecast. Data are provided by a network of 700 contributors, researchers, and authors from all over the world.

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www.ren21.net/gsr

Commerce international africain rime encore avec transport maritime : nouveaux ports à l’horizon

La Banque africaine de développement (BaD) calcule que 92% de l’import/export de l’Afrique entière se fait par voie maritime, comparativement à environ les deux-tiers pour l’Europe. Dans ce contexte, il n’est pas surprenant d’apprendre que les grands noms portuaires de l’Afrique (Alexandrie, Cotonou, Dakar, Durban, Lomé, Luanda, Mombasa, Pointe-Noire ou San Pedro) s’activent pour répondre aux défis de la mondialisation. Mais les perspectives de croissance du continent sont telles que de nombreux nouveaux méga-ports s’ajouteront aux infrastructures disponibles dans les prochaines années. Il faudra apprendre de nouveaux noms!

« Le volume de marchandises transitant par les ports africains doit passer de 265 millions de tonnes en 2009 à plus de 2 milliards de tonnes à l’horizon 2040 », selon la BaD.

7 NOUVEAUX NOMS PORTUAIRES À APPRIVOISER EN AFRIQUE

Tanger Med (Maroc)

En service depuis 2007, il a ravi en 2015 la première place africaine au port de Durban. La toute récente entrée en fonction de Tanger 2 a fait passer sa capacité à 5 millions de conteneurs (et ce sera 8 après la phase 2).

Nqura (Afrique du Sud)

Ouvert en 2012, après dix ans et un milliard d’investissement, il est stratégiquement situé à 20 km de Port Elizabeth, juste à mi-chemin de Durban et du Cap.

Kribi (Cameroun)

Deux terminaux sont entrés en service en 2015; pour une vingtaine de prévus d’ici 2040.

Bagamoyo (Tanzanie)

Grâce surtout à des capitaux du gouvernement central à Pékin, ce port devant traiter 20 millions de conteneurs annuellement en 2020 doit ouvrir pour 2017.

Lamu (Kenya)

Le futur port annonce 32 terminaux, les autorités prévoient l’entrée en service pour 2019.

Lekki et Badagry (Nigéria)

Pour le pays devenu en 2015 la première économie d’Afrique, deux méga projets portuaires se construisent à environ 100 km de Lagos. Leur entrée en service n’est pas attendue avant 2018, avec déjà deux ans de retard.

 

Tout ça sans oublier que la Eximbank de Chine investira au final pas trop loin d’un milliard $ dans la modernisation du port autonome d’Abidjan, dont le chantier doit s’achever d’ici 2019. Il y a aussi le Canal de Suez dont le doublement vient d’être achevé.

Que penser de cette quasi course entre grands ports industriels en Afrique? D’une certaine manière il y a urgence en terre africaine, car encore la BaD nous apprend que « la mauvaise qualité des infrastructures entraîne une perte de productivité des entreprises africaines de l’ordre de 40% ».

L’Afrique par rapport aux principaux ports dans le monde (en 2010)

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Trafic par conteneur (en 2011)

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Exportations québécoises : 5 exemples de dynamisme

Les États-Unis sont – sans surprise – la première destination des exportations provenant des entreprises du Québec. Ensuite viennent la Chine, la France, le Royaume-Uni et les Pays-Bas. Oui, les Pays-Bas au cinquième rang!

Le même sentiment de surprise nous anime lorsque l’on tente d’avoir un regard large de ce qui constitue les biens et les services que les entreprises du Québec réussissent à vendre à travers le monde ces années-ci. La surprise d’une diversité qui rime probablement avec le dynamisme.

Dans la cadre du Salon Classe Export qui se termine aujourd’hui à Montréal, un concours de jeunes PME exportatrices fait rivaliser 5 finalistes qui tentent en quinze minutes de présentation de mettre la main sur un portefeuille de services d’une valeur de plus de 25 000$. Un prix qui aidera certainement la PME gagnante à améliorer son chiffre d’affaires à venir.

Je jury est cependant face à une diversité d’entreprises qui pousse à la réflexion.

  • Créée en 2005, Béké-Bobo est devenue une vedette des pharmacies du Québec avec son ourson thérapeutique Sublime jouant autant le rôle de bouillotte chaude que froide. La France est la cible de sa stratégie export.
  • Concept GEEBEE fabrique à Sherbrooke un nouveau véhicule électrique, monoplace, à deux roues alignées de mobilité durable, qu’elle a conçu notamment pour l’industrie du tourisme.
  • L’entreprise familiale La Fraisonnée fabrique une large gamme de tartinades de fruits en misant sur l’innovation, avec des saveurs uniques telles « pêche à l’érable » et « fraise et chocolat », en emballage haut de gamme.
  • Mecademic conçoit, fabrique et commercialise le plus petit robot industriel au monde, le Meca500 (capacité de charge de 500 grammes). Une innovation sans pareil qui fera son lancement officiel au Salon Automatica de Munich, en Allemagne, en juin prochain.
  • Créée en 2007, Momzelle aide les mères à connaître une expérience positive de l’allaitement par la création et la vente de vêtements d’allaitement pratiques et stylisés.

Cinq entreprises qui se ressemblent absolument en rien! En rien, autre que de présentement oser l’exportation.

Une telle diversité est-elle un signe de dynamisme?

Classe-Export