Tous les articles par Daniel Allard

Depuis 1997, Daniel Allard a co-fondé et dirige le cyberjournal CommerceMonde.com. En 2013, il fit de même avec l'Association des sociétés québécoises cotées en Bourse, organisant notamment le Gala annuel des sociétés en Bourse (2008 à 2015). Le développement de l'équipe de LiNNOVarium.com est son actuelle priorité.

Climat Change or Ocean Change? Élisons des chimistes

L’exemple du Québec démontrera peut-être que des médecins à la tête du gouvernement auront réussi à relever le défi de sauver un système de santé de la crise; que leur compétence pertinente aura compté. Non seulement son actuel ministre à la santé est un célèbre médecin, mais celui-ci compte sur la pleine confiance et l’expertise du premier ministre Philippe Couillard lui-même médecin-chirurgien de formation. Le sauvetage de l’humanité face au changement climatique / Climat Change / Ocean Change ne se fera cependant pas avec des médecins.

Tout d’abord la gouvernance mondiale doit prendre rapidement acte que la complexité du phénomène devrait probablement nous inciter à changer l’appellation de la chose pour qu’elle se préoccupe tout autant du changement dans l’océan: Ocean Change is also Big Problem !

  • L’océan est responsable de la moitié de la création de l’oxygène, que nous respirons.
  • L’océan absorbe le tiers du CO2 émis.
  • L’océan tente encore de fournir assez de poissons pour une humanité en croissance; bien que des mers entières aient été vidées des plus gros poissons et de plus en plus ceux des profondeurs de l’océan pourchassés jusqu’à 400-500 mètres dorénavant, c’est l’aquaculture qui produit maintenant le tiers des prises mondiales.
  • L’océan, par sa profondeur, représente 99% de l’espace permettant la vie en cette planète.

L’océan mondial = 71% de la surface de la Terre
Terre (510 millions km2) = terres émergées (148) + surface des mers (362)

L’humain et l’humanité entière dépendent davantage de l’océan qu’ils ne le perçoivent. Et l’océan représente un tel méga-métabolisme chimique qu’il faut se demander si le titre de chimiste ne devrait pas faire partie des qualifications de ceux qui nous gouvernent…

CETTE CHIMIE… QUI NOUS TRANSFORME

On sait scientifiquement avec plus d’assurance maintenant que les vents ont plus à voir que les courants marins dans les changements de l’atmosphère et le contrôle des températures sur Terre. Mais tout changement fondamental dans le comportement du Gulf Stream – pour parler d’un courant marin parmi les plus connus – aura des conséquences majeures sur le climat du nord de l’Europe. Le phénomène de la hausse des ouragans en nombre et en intensité, quand les vents et l’océan se déchaînent en complices dévastateurs, est par ailleurs déjà bien observable.

Et tout cela a énormément à voir avec le domaine des sciences de la nature qui se nomme la chimie.

L’apparition des quelque 400 « zones mortes » des mers et océans – jusqu’à 17 000 km2 pour celle du Golf du Mexique – s’expliquent par les nitrates et autres fertilisants amenés par les fleuves, qui viennent surcharger localement la capacité d’absorption et finalement étouffer l’eau de toute une zone, créant une zone morte, oui morte parce que sans oxygène (encore de la chimie). D’immenses zones d’un mélange inerte que seulement les ouragans arrivent à brasser suffisamment pour y changer la donne.

La gouvernance mondiale doit donc aussi prendre acte que l’atmosphère de notre planète, les terres immergées de la Terre et l’océan forment en fait un seul et même immense système en constante interaction. Quand le climat change, c’est aussi que l’océan change, et vice-et-versa! Et l’action chimique tout autant que les réactions chimiques des éléments en cause ne sont jamais loin de la bonne compréhension du phénomène, du défi à relever aussi. Et probablement très souvent de la solution également.

La prochaine fois que vous serez participant à une élection, soyez donc attentif à savoir que le curriculum vitae de chacun des candidats comporte ou non des notions de chimie. Oui, élisons davantage de chimistes.

 

oceanTerreIn

Surface totale de la Terre: 510 millions km2
=  terres émergées (148 M km2)
+ surface des mers (362 M km2)

 

oceanSOSoceanSOUS

 

 

 

 

 

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Sources des 4 images:

homme-et-espace.over-blog.com

swagactu.com

livingoceans.org

noble-house.tk

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L’ABC de la bioélectronique en forte hausse avec Alphabet et GSK

L’annonce du jour, avec le groupe pharmaceutique britannique GlaxoSmithKline qui formera une coentreprise en « bioélectronique » avec une filiale d’Alphabet, elle-même rien de moins que la maison mère du géant américain de l’internet Google, va obliger la planète boursière à apprendre rapidement l’ABC de ce drôle d’amalgame.

Mais qu’est-ce que la bioélectronique au juste?

ABC DE LA BIOÉLECTRONIQUE

Les traitements bioélectroniques ont pour objectif de « traiter des pathologies grâce à un échange d’impulsions électriques avec le système nerveux ou un organe spécifique », selon GSK qui, sachons-le, s’était déjà lancé en 2012 dans ce champ de recherche plutôt méconnu ! Et le géant de la pharmaceutique espère plus que jamais que cette technologie pourra un jour traiter des maladies chroniques. On vise nommément déjà l’arthrite, le diabète et aussi l’asthme.

Des maladies donc très connues, alors que le chemin de la bioélectronique est certainement moins exploré. Et comment…

La première – voire unique ! – découverte, si on cherche à approfondir notre connaissance de la bioélectronique en ce 1er août 2016 sur… le moteur de recherche Google, nous mène pendant les deux/trois premières pages de références trouvées, oui nous mène UNIQUEMENT, dans l’univers de l’eau et de la technique créée en 1948 par un ingénieur français hydrologue, Louis-Claude Vincent, pour déterminer l’état de santé/de maladie des êtres vivants.

Comme la vie n’est effectivement possible qu’en présence d’eau, car elle seule permet aux phénomènes physiques de s’accomplir, la bioélectronique y est ici :

« la technique scientifique qui mesure les micro-courants qui accompagnent d’un point de vue dynamique, les échanges biologiques nécessaires à l’entretien de la vie (…)  Trois mesures indispensables caractérisent un milieu aqueux et un terrain biologique – obtenues à l’aide d’un bioélectronimètre – de manière à préciser la qualité de tous les produits de la nature et l’état de santé des êtres vivants humains et animaux :
– le PH
– la résistivité (rhô)
– le potentiel d’oxydo-réduction rH2 »

Selon les mêmes sources web: « La bioélectronique se fonde sur l’étude des charges magnétiques positives des protons et des charges négatives des électrons. Elle s’intéresse donc à la composition physique et atomique de la matière vivante et aux interactions électromagnétiques. Elle se situe bien au-delà de la composition moléculaire généralement utilisées en biologie. Elle permet donc d’élargir et de mieux comprendre tous les phénomènes liés à la vie. » Roger Castell

« Avec la bioélectronique, on aboutit à une médecine de diagnostic et de thérapeutique devenant rigoureusement scientifique […] C’est à la source même de la vie et à son maintien en équilibre que s’adresse la bioélectronique, avec une sûreté et une instantanéité totales, conduisant à une maîtrise absolue, en vue, à la fois de la guérison et de la prévention », écrivait aussi le prénommé Louis-Claude Vincent, en 1969, dans un livre.

La détermination de « l’âge bioélectromagnétique » d’un individu, via les mesures du sang, de la salive et de l’urine, deviennent alors des facteurs constructifs et utiles.

Et que trouve-t-on une fois épuisé le « monopole du professeur Vincent » en la chose ? Oh surprise… quelques liens qui s’interposent justement sur l’arrivée du duo GSK – Google dans la bioélectronique :

journaldemontreal.com/16/08/01/gsk-se-joint-a-google-dans-la…
http://www.commentcamarche.net/news/google-s-implique-dans-la…

Prédisons donc tout de suite, et ça sans beaucoup de mérite, que l’ABC du méconnu sujet de la bioélectronique va vite aller en s’accroissant !

UN LEADER RAPIDEMENT ?

L’accord est en fait entre GSK et Verily Life Sciences, autrefois nommé Google Life Sciences. En ce premier jour d’août 2016, il annonce la création de la société Galvani Bioelectronics. Pas que ça: aussi un investissement pouvant aller jusqu’à 540 millions de livres (sur 7 ans).

Galvani Bioelectronics sera détenue à 55% par GSK et 45% par Verily avec un siège au Royaume-Uni, à Stevenage, au sein même du centre de R&D de GlaxoSmithKline. Avec cette coentreprise : « Le laboratoire veut rapprocher son savoir-faire dans le domaine médical avec celui de Verily dans la miniaturisation d’appareils électroniques ou encore les logiciels », explique-t-on.

On sait aussi qu’un autre centre de recherche sera basé à San Francisco, donc pas trop loin des intérêts de Google cette fois. Comme si chaque partenaire tenait à garder proche une partie du trésor en perspective et convoité.

La nouvelle entreprise aura pour priorité de permettre la recherche, le développement et la commercialisation de traitements bioélectroniques.

Saura-t-elle devenir rapidement un leader mondial de cette voie moderne en traitement des maladies? Les opérateurs à la Bourse sont les premiers à devoir se poser clairement la question, car autant GSK que Google sont des géants publics.

 

Alphabet

gsk

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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E-commerce transfrontalier : mauvaise note pour les politiques commerciales du Canada

« Le commerce en ligne (e-commerce) amoindrit l’obstacle de la distance en matière d’échanges commerciaux, et le Canada doit redoubler d’effort pour tirer parti des avantages économiques, politiques et sociaux du commerce fondé sur les nouvelles technologies », soutiennent Usman Ahmed et Hanne Melin, d’eBay.

À l’examen d’expériences menées par des entreprises canadiennes et de nouvelles données d’eBay pour 2008 à 2013 en matière de commerce électronique, les auteurs d’une nouvelle étude de l’Institut de recherche en politiques publiques montrent d’abord, sans grande surprise, que les entreprises en ligne affichent un taux d’exportation beaucoup plus élevé, qu’elles rejoignent un plus grand nombre de pays et aussi se développent plus rapidement que les entreprises hors ligne.

C’est le contraire qui aurait été une surprise!

On y détaille également que presque toutes les entreprises qui totalisent sur eBay des ventes annuelles de plus de 10 000 $ sont exportatrices, contre seulement 10 % des petites entreprises traditionnelles. Même dans les rares cas où celles-ci font affaires au-delà du marché américain, elles ne touchent qu’un ou deux autres pays, alors que les entreprises exportatrices en rejoignent 19 en moyenne.

COMMENT FAVORISER LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE?

En misant sur ces nouvelles structures d’échange, le Canada favoriserait le renforcement de ses petites entreprises et leur inclusion au commerce international tout en réduisant la domination des très grandes sociétés. Le commerce en ligne attire en effet un plus grand nombre de nouveaux joueurs qui accaparent de larges parts du marché et en atténuent du même coup la concentration.

Le plus grand intérêt de l’étude est qu’elle identifie une faiblesse des politiques commerciales canadiennes à l’heure des TIC et du e-commerce :

« Les règles commerciales actuelles créent des obstacles à ces échanges transfrontaliers », y déplorent aussi les auteurs.

S’appuyant sur des propositions récentes préconisant que le Canada relève le seuil des importations en franchise de droits, ils formulent les recommandations suivantes à l’intention du gouvernement :

  • Renforcer le partenariat entre agences douanières et entreprises en vue de mettre à jour les évaluations des risques et d’accélérer le traitement des biens à la frontière.
  • Intégrer les petites entreprises aux programmes fédéraux de négociants dignes de confiance.
  • Intégrer aux discussions sur les politiques commerciales la question des systèmes postaux, de plus en plus utilisés dans les échanges internationaux, dont la simplification et l’harmonisation entre pays sont désormais indispensables.
  • Élaborer une politique de services financiers technologiquement neutres pour soutenir l’essor des systèmes de paiement numériques.

Ce travail a été publié sous la direction de Stephen Tapp, Ari Van Assche et Robert WolfeRedesigning Canadian Trade Policies for New Global Realities. Il sera le sixième ouvrage de la collection L’art de l’État de l’IRPP. Trente experts universitaires, chercheurs du gouvernement et autres spécialistes y analysent l’incidence de l’évolution des échanges commerciaux, des technologies, et du pouvoir économique et géopolitique sur les politiques canadiennes.

On peut télécharger cette étude qui figurera dans un prochain ouvrage collectif de l’IRPP sur le site de l’Institut (irpp.org/fr).

 

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Chine, eau et grands enjeux

« La Chine met parfois longtemps à repérer son ennemi. Mais quand elle lui déclare la guerre, elle gagne. Toujours. »

Ainsi répondait M. Gao Er Kun, directeur général de l’Eau au ministère des Ressources hydrauliques à Beijing, alors questionné sur l’état des eaux de la Chine par l’auteur académicien de France, Érik Orsenna, qui l’interviewait pour son livre L’avenir de l’eau.

« (…) Seule la pollution peut freiner notre développement. Or nous avons besoin de ce développement. Donc, nous vaincrons la pollution! », poursuivra le convaincu dirigeant de cette Chine militante.

Comme son interlocuteur Breton, le Chinois avait une formation d’économiste et leur entretien dura trois heures. Monsieur Gao avait aussi le bon souvenir d’avoir déjà visité la Bretagne, terre forte de son climat tempéré.

En ouvrant le XIe Plan quinquennal 2006-2010 pour y justifier sa détermination que tous les moyens seront mis en œuvre pour remédier à la pollution, il citera le texte à trois reprises : « À la lumière de la théorie Deng Xiaoping et de l’importante pensée des Trois Représentants, nous devons poursuivre notre réussite économique et sociale en restant fidèles aux concepts scientifiques du développement. »

« Je ne peux pas mieux vous répondre. C’est le préambule… Regardez notre 3e priorité : Économiser nos ressources et protéger l’environnement. »

« Et voyez, là, notre priorité suivante : Construire une société de conservation des ressources et d’amitié avec l’environnement. »

On peut se réjouir de constater que le concept d’éco-civilisation est au cœur du programme économique et social adopté en novembre 2013, lors de la troisième session plénière du 18e Congrès du Comité central du Parti communiste chinois. Avec l’année 2016, la Chine amorce la concrétisation de son XIIIe Plan quinquennal, adopté par son parlement en mars.

Le travail se poursuit… mais la Chine n’a rien d’un long fleuve tranquille en matière d’eau. Elle n’a absolument rien d’un pays au climat tempéré, comme par exemple la France, ou encore le Canada.

SHÉMA 1 : LES « 2 » CHINE DE L’EAU

Moitié NORD
50% de la population
17% de l’eau disponible

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Shanghai

Moitié SUD
50% de la population
83% de l’eau disponible

Le Chinois fit faire mentalement, juste au-dessus de la ville de Shanghai, un trait sur une carte pour séparer en deux la population de son pays, d’est en ouest, dans le but que son invité comprenne facilement l’enjeu fondamental de l’eau en Chine. Sept cents millions de Chinois au Sud avec 83% de la ressource; encore 700 M au Nord avec 17%.

Non seulement le Shéma 1 témoigne déjà de l’enjeu géo-démographique de l’eau en Chine avec une population et une urbanisation en déséquilibre notoire avec l’accès à la ressource, mais la nature du cycle de l’eau y rajoute à l’effort parce que 70% de la pluie tombe en été sur la Chine, principalement en juillet-août. Et s’ils n’y avaient que ces enjeux internes…

GUERRE COMME… GUERRES DE L’EAU?

Impossible de parler des grands enjeux de l’eau en Chine sans parler de la géopolitique de la chose. Très simplement parce que la Chine contrôle le robinet de tout le sud-est asiatique. Et son gouvernement sera bien tenté de se servir sans permission à demander et en toute contradiction avec les besoins croissants des voisins.

Du Pakistan jusqu’au Vietnam – avec l’Inde, le Bangladesh, la Birmanie (Myanmar), le Cambodge, le Laos et aussi la Thaïlande – les huit plus grands pays de cette région déjà surpeuplée du monde dépendent de la Chine pour l’origine de presque tous les grands fleuves qui les abreuvent.

IMAGE 1 : GÉOPOLITIQUE DE L’EAU EN CHINE

ChineWater-Wars

(Source: China Water Risk, 2016)

Oui, oui, oui, oui et encore oui!, la source de l’Indus, d’une partie du Gange, du Brahmapoutre, du Salouen, du Mékong, c’est le plateau du Tibet en Chine!

Et on repense aussitôt au fier militantisme de M. Gao Er Kun : « La Chine met parfois longtemps à repérer son ennemi. Mais quand elle lui déclare la guerre, elle gagne. Toujours »…  Alors on se le demande en mille comme en un : comment ne pas penser au risque de guerres de l’eau?

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Sources des deux images dans le texte: China Water Risk
(a non-profit initiative dedicated to highlighting these risks).

chinawaterrisk.org/about/about-us

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Unique en Amérique: attestation ÉCORESPONSABLE produit et emballage

Pierre Fillion, le PDG de la FEPAC, n’est pas peu fier de son nouveau programme concernant une ATTESTATION ÉCORESPONSABLE ™ pour les produits et/ou emballages, maintenant officiellement disponible pour son réseau d’entreprises en plasturgie et matériaux composites du Québec.

« Ce programme permettra à nos entreprises québécoises de se démarquer de la concurrence. Cette attestation permettra de confirmer votre leadership en matière de développement de produit et/ou emballage responsable et contribuera définitivement à améliorer notre image et crédibilité publique », explique Pierre Fillion dans un message à ses membres.

Unique en son genre en Amérique, cette attestation permettra de faire reconnaître les démarches d’écoconception réalisées pour le développement des emballages, ainsi que leurs attributs écoresponsables d’un manufacturier. L’objectif prioritaire visé par l’attestation étant la réduction de l’empreinte environnementale totale des emballages ou produits, avec une attention particulière portée à l’évitement de l’enfouissement des matières sur l’ensemble du cycle de vie.

ecoresponsable-logo

Cette attestation a été réalisée conjointement avec RECYC-Québec, le Ministère de l’Économie, de la Science et de l’Innovation du Québec, Éco Entreprises Québec, la FEPAC, le Conseil des industries durables et le Groupe AGECO.

www.industries-durables.org

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