Archives de catégorie : Économie internationale

100 millions de femmes profiteront de l’Initiative pour les micronutriments

Cent millions de femmes et de filles à travers le monde auront accès à une meilleure nutrition grâce à l’initiative Bon départ lancée, le 18 mai 2016 à Copenhague, par l’Initiative pour les micronutriments (MI), avec le soutien du Gouvernement du Canada.

La malnutrition demeure l’un des obstacles les plus persistants au développement humain et elle limite la capacité de chaque génération de femmes et de filles à grandir, à apprendre, à gagner de l’argent et à diriger. Les statistiques révèlent que un milliard de femmes et de filles sont sous-alimentées, et le coût de ce potentiel perdu sape les progrès mondiaux dans de nombreux domaines de l’activité humaine, y compris la capacité de l’humanité à atteindre les objectifs de développement durable (ODD).

Le Canada a donc renforcé son leadership mondial sur la nutrition en soutenant l’Initiative pour les micronutriments en lançant l’initiative Bon départ, une plateforme d’investissement novatrice ayant pour objectif d’améliorer la nutrition pour 100 millions de femmes et de filles d’ici 2020.

« Nous sommes en 2016 et il y encore un milliard de femmes et de filles à travers le monde qui souffrent de malnutrition. Le Canada reconnaît l’importance d’investir dans des initiatives comme Bon départ pour changer le statu quo des femmes et des filles à travers le monde », a déclaré Marie-Claude Bibeau, ministre canadienne du Développement international et de la Francophonie.

L’initiative Bon départ repose sur cinq piliers stratégiques, y compris des programmes à fort impact, des partenariats, la mobilisation de ressources, du soutien technique et la défense d’intérêts. Bon départ vise à mobiliser la communauté du développement international pour générer le savoir-faire, les ressources et les solutions nécessaires pour habiliter les femmes et les filles grâce à une meilleure nutrition.

Avec 75 millions $ en soutien d’ancrage déjà investis par le Gouvernement du Canada, MI lance des programmes dans neuf pays à travers l’Afrique et l’Asie qui atteindront 50 millions de femmes et de filles d’ici 2020.

Maintenant, MI utilise ces investissements stratégiques comme point de départ pour tirer parti d’un soutien supplémentaire de donateurs, de pays et de partenaires, afin de doubler son impact. Le soutien du Canada a déjà généré un soutien supplémentaire, y compris un investissement de 1,5 M$ de l’Agence australienne pour le développement international et un partenariat stratégique avec le Gouvernement d’Indonésie afin d’améliorer la nutrition pour un million de femmes enceintes et d’enfants dans deux des provinces les plus touchées en Indonésie.

« La malnutrition est l’une des plus longues batailles que l’humanité ait menée. La question que nous devrions tous commencer à poser est comment pouvons-nous amener le début de la fin de la malnutrition? Des initiatives telles que Bon départ sont une étincelle qui nous emmène plus près de la réponse. Cela commence en faisant bien plus pour les femmes et les filles », a déclaré Joel Spicer, président et chef de la direction d’Initiative pour les micronutriments.

L’initiative Bon départ était lancée à Copenhague lors de la conférence Women Deliver, soit le plus grand rassemblement sur la santé, les droits et le bien-être des femmes et des filles depuis plus d’une décennie, lors d’un événement animé par Femi Oke de Al Jazeera English.

L’Initiative pour les micronutriments (MI) est un organisme international sans but lucratif basé au Canada voué à garantir aux personnes les plus vulnérables, plus particulièrement les femmes et les enfants dans les pays en développement, d’avoir accès à l’alimentation dont elles ont besoin pour survivre et prospérer. Notre mission est d’être un chef de file mondial dans la promotion de solutions intégrées, innovatrices et durables afin de réduire les carences en micronutriments grâce à la défense d’intérêts, au soutien technique et programmatique, et à la collaboration. Grâce à des investissements du Canada et d’autres donateurs généreux l’organisation rejoint 500 millions de personnes dans plus de 70 pays chaque année.

www.micronutrient.org

Croissance des entreprises : un Forum international à Québec en juillet

Du 5 au 7 juillet 2016, Québec sera l’hôte d’un événement international axé sur la croissance des PME. Et ce sont la Chambre de commerce et d’industrie de Québec (CCIQ), Québec International (QI) et le Centre des congrès de Québec, en collaboration avec le World Entrepreneurship Forum (WEnF), qui présentent la toute première édition du Forum international de Québec sur la croissance des entreprises.

Le Forum, qui se tiendra au Centre des congrès de Québec, sera une occasion pour les entrepreneurs d’échanger sur les défis qu’ils rencontrent au quotidien. Au programme : visites d’entreprises, études de cas, ateliers interactifs, panel de discussion et conférenciers de renom.

Quelque 200 entrepreneurs et intervenants économiques principalement d’Amérique du Nord et d’Europe sont attendus à ce congrès qui se veut un laboratoire d’idées pour accélérer la croissance de l’entreprise et le développement de l’entrepreneur.

Ces chefs d’entreprises viendront partager leurs expériences et échanger sur les défis liés à la croissance (innovation, financement, risques).

L’initiative avait été présentée à la vice-première ministre du Québec et ministre responsable des Petites et Moyennes Entreprises, de l’Allègement réglementaire et du Développement économique régional, qui salue l’initiative et elle appuie la tenue de l’événement, Lise Thériault.

« Le Centre des congrès de Québec, dont l’un de ses rôles est d’agir comme générateur d’occasions d’affaires, a servi en quelque sorte de bougie d’allumage à cet important projet. Nous voulions tenir une rencontre internationale d’entrepreneurs selon le modèle de la WEnF, alors nous avons approché la CCIQ et QI pour obtenir leur soutien et pour bâtir de toutes pièces notre propre forum ».
P.-Michel Bouchard, pdg du Centre des congrès de Québec.

« La tenue de cet événement démontrera le dynamisme économique de la région et renforcera la position de Québec à titre de pôle économique incontournable. Qu’ils habitent en Europe ou en Amérique, les entrepreneurs sont confrontés à des enjeux de croissance similaires: l’innovation n’a pas de frontière, d’où l’intérêt de constamment rechercher de nouvelles façons de s’améliorer. Nous pouvons aider les PME à croître grâce à la force de nos réseaux respectifs », analyse Alain Aubut, président et chef de la direction de la Chambre de commerce et d’industrie de Québec.

La programmation du Forum vise à identifier les conditions gagnantes inspirées de nouvelles pratiques de gestion. La présentation de modèles d’écosystèmes performants est incluse. Outre du Québec, des participants de l’Ontario, des États-Unis, du Brésil, de la France et de la Corée du Sud sont déjà attendus.

Rappelons que le Forum s’inspire du concept du World Entrepreneurship Forum, tenu en Chine, en octobre 2015. Des dirigeants des trois organisations ont participé à l’événement et ont profité de l’occasion pour conclure un partenariat avec les organisateurs du WEnF. Cette collaboration donnera accès à leur réseau mondial et positionnera le Forum de Québec comme le seul événement du genre en Amérique du Nord. Plusieurs entreprises de Québec apparaissent à la programmation de l’événement.

Pour plus d’information sur la programmation du Forum international de Québec sur la croissance des entreprises, rendez-vous au www.cciquebec.ca/forumcroissance.

Exports from international tourism rise 4% in 2015

International tourism receipts in destinations around the world grew by 3.6% in 2015, in line with the 4.4% increase in international arrivals. For the fourth consecutive year, international tourism grew faster than world merchandise trade, raising tourism’s share in world’s exports to 7% in 2015. The total export value from international tourism amounted to US$ 1.4 trillion.

Income generated by international visitors on accommodation, food and drink, entertainment, shopping and other services and goods reached an estimated US$ 1,232 billion (euro 1,110 billion) in 2015, an increase of 3.6% accounting for exchange rate fluctuations and inflation. International tourist arrivals (overnight visitors) increased by 4.4% in 2015, reaching a total of 1,184 million.

Alongside international tourism receipts (the travel item of the balance of payments), international tourism generated US$ 210 billion in exports through international non-resident passenger transport services, bringing the total value of tourism exports up to US$ 1.4 trillion, or US$ 4 billion a day on average.

Tourism is today a major category of international trade in services (…) Despite a weak and slow economic recovery, spending on international tourism grew significantly in 2015, proving the sector’s relevance in stimulating economic growth, boosting exports and creating jobs for an increasing number of economies worldwide”, said UNWTO Secretary-General Taleb Rifai addressing the 60th Regional Commission for the Americas meeting in Havana, Cuba.

International tourism represents 7% of total world exports and 30% of services exports. The share of tourism in overall exports of goods and services increased from 6% to 7% in 2015 as for the fourth consecutive year international tourism outgrew world merchandise trade, which grew 2.8% in 2015 according to recent data reported by the World Trade Organization.

As a worldwide export category, tourism ranks third after fuels and chemicals and ahead of food and automotive products. In many developing countries, tourism ranks as the first export sector.

Unusually strong exchange rate fluctuations in 2015 seriously influenced receipts for individual destinations and regions, expressed in current US dollars. Taking into account exchange rate fluctuations and inflation, receipts in the Americas, Asia and the Pacific and the Middle East all grew by 4%, while in Europe they grew by 3% and in Africa by 2%.

The Caribbean, Central and South America show strong growth in international tourism receipts

The Americas continued to enjoy robust results both in international arrivals and receipts in 2015, with a strong US dollar fuelling outbound travel from the United States and benefiting many destinations across the region. The Caribbean, Central America and South America all recorded 7% growth in receipts, while North America saw a 3% increase.

As prices of raw materials have decreased, tourism has shown a strong capacity to compensate for weaker export revenue in many commodity- and oil-exporting countries (…) Tourism is increasingly an essential component of export diversification for many emerging economies as well as several advanced ones”, said Mr. Rifai.

The United States, China, Spain and France remain the world’s top tourism destinations

The United States (US$ 178 billion), China (US$ 114 billion), Spain (US$ 57 billion) and France (US$ 46 billion) continue to be the top destinations both in international tourism receipts and tourist arrivals.

The above data is preliminary and subject to revision. 2015 has shown some unusual strong appreciation of the US dollar to many currencies, rendering receipts earned in these currencies lower in US dollar. Furthermore, China revised both its international tourism receipts and expenditure series substantially in 2015 and retrospectively for 2014 due to methodological changes.

A few leading source markets drive outbound tourism in 2015

China, the United States and the United Kingdom led outbound tourism last year, fuelled by their strong currencies and economies.

China continues to lead global outbound travel after double-digit growth in tourism expenditure every year since 2004, benefitting Asian destinations such as Japan and Thailand as well as the United States and various European destinations. Spending by Chinese travellers increased 25% in 2015 to reach US$ 292 billion, as total outbound travellers rose 10% to 128 million.

Tourism expenditure from the world’s second largest source market, the United States, increased by 9% in 2015 to US$ 120 billion, while the number of outbound travellers grew by 8% to 73 million. Expenditure from the United Kingdom, the fourth largest market globally, increased 8% to US$ 63 billion with 65 million of its residents travelling abroad, up 9%. By contrast Germany, the world’s third largest market, reported a small decline in spending (US$ 76 billion), partly due to the weaker euro.

France’s expenditure on outbound tourism reached US$ 38 billion, Russia’s US$ 35 billion and that of the Republic of Korea a total of US$ 25 billion.

 

Note: The above data is preliminary and subject to revision.

UNWTO World Tourism Barometer
International Tourist Arrivals 2015 infographics

Contacts: UNWTO Communications & Publications Programme

 

Commerce mondial: croissance modérée pour 2016; incertitudes sur la demande

La croissance du commerce mondial en volume devrait rester faible en 2016, à 2,8% donc sans changement par rapport au taux de 2,8% enregistré en 2015. Les importations des pays développés devraient diminuer en 2016 tandis que la demande de produits importés devrait reprendre dans les économies d’Asie en développement. La croissance du commerce mondial devrait atteindre 3,6% en 2017. Tout ceci selon les économistes de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC).

« Le commerce enregistre toujours une croissance positive, mais à un rythme décevant. Pour la cinquième année consécutive, la croissance du commerce sera inférieure à 3%. De plus, si le commerce mondial augmente en volume, il a diminué en valeur en raison de la fluctuation des taux de change et de la baisse des prix des produits de base. Cela pourrait entraver la croissance économique déjà fragile des pays en développement vulnérables… »

« En outre, il subsiste la menace d’un protectionnisme rampant car de nombreux gouvernements continuent d’appliquer des restrictions au commerce et le stock de ces mesures continue d’augmenter », de préciser le directeur général de l’OMC, Roberto Azevêdo.

LES RISQUES

Les risques par rapport à ces prévisions sont principalement des risques baissiers, notamment si le ralentissement de l’économie chinoise est plus marqué que prévu, si la volatilité des marchés financiers s’aggrave et si les pays très endettés sont exposés à de fortes fluctuations des taux de change. Il y a cependant un potentiel de hausse si le soutien monétaire accordé par la Banque centrale européenne parvient à générer une croissance plus rapide dans la zone euro.

Sur la base des prévisions pour 2016, le commerce mondial aura progressé à peu près au même rythme que le PIB mondial pendant cinq ans (aux taux de change du marché), et non deux fois plus vite, comme c’était le cas auparavant. Une période aussi longue et ininterrompue de croissance faible mais positive du commerce est sans précédent, mais il ne faut pas en surestimer l’importance. Globalement, la croissance du commerce a été plus faible entre 1980 et 1985, avec un taux de moins de 3% pendant cinq années sur six, dont deux années de contraction pure et simple.

Les différents indicateurs de l’activité économique et commerciale dans les premiers mois de 2016 sont mitigés, certains indiquant un raffermissement de la croissance du commerce et de la production tandis que d’autres suggèrent plutôt un ralentissement. Du côté positif, le trafic de conteneurs dans les principaux ports a regagné une grande partie du terrain perdu du fait du ralentissement du commerce l’année dernière, tandis que les ventes d’automobiles – qui sont l’un des meilleurs indicateurs d’un ralentissement futur du commerce – ont continué de croître à un rythme soutenu dans les pays développés. En revanche, les indicateurs composites avancés de l’Organisation de coopération et de développement économiques laissent entrevoir un fléchissement de la croissance dans les pays de l’OCDE, et une volatilité persistante des marchés financiers en 2016. La croissance du commerce pourrait donc elle aussi rester volatile en 2016.

FAITS SAILLANTS

  • Le volume du commerce mondial des marchandises devrait augmenter de 2,8% en 2016 (2,8% en 2015) alors que la croissance du PIB fléchit dans les économies développées et reprend dans les économies en développement.
  • La croissance du commerce devrait s’accélérer en 2017, pour s’établir à 3,6%, ce qui reste inférieur à la moyenne de 5% enregistrée depuis 1990. Il existe des risques de baisse par rapport aux prévisions, notamment si le ralentissement des économies émergentes se poursuit et si la volatilité financière persiste.
  • L’Amérique du Sud est la région où la croissance des importations a été la plus faible en 2015, une grave récession au Brésil ayant fait baisser la demande.
  • Les exportations des économies développées ont progressé plus lentement que celles des pays en développement en 2015, avec une croissance de 2,6% en volume pour les premières contre 3,3% pour les seconds.
  • Les importations des économies développées ont fortement augmenté l’année dernière, tandis que celles des pays en développement ont stagné, avec une croissance de 4,5% pour les premières et de 0,2% pour les seconds.
  • Un fort ralentissement du commerce a touché toutes les régions au deuxième trimestre de 2015, mais s’est largement inversé vers la fin de l’année.
  • L’année 2015 est la quatrième année consécutive durant laquelle la croissance du commerce mondial des marchandises est restée inférieure à 3,0% en rythme annuel.

Perspectives pour 2016 et 2017

Les prévisions de l’OMC, qui font état d’une croissance de 2,8% du commerce mondial des marchandises en volume en 2016 et d’une croissance du commerce de 3,6% en 2017, reposent sur des estimations consensuelles du PIB réel aux taux de change du marché établies par les économistes (Tableau 1). Selon ces estimations, le PIB mondial devrait augmenter de 2,4% cette année et de 2,7% l’année prochaine, et la croissance devrait ralentir légèrement dans les pays développés en 2016 et s’accélérer modestement dans les pays en développement.

Les exportations des pays développés et celles des pays en développement devraient croître à peu près au même rythme en 2016, de 2,9% pour les premiers et de 2,8% pour les seconds. Dans le même temps, les importations des économies développées devraient progresser plus vite que celles des économies en développement en 2016, avec une augmentation de 3,3% pour les premières contre 1,8% pour les secondes.

Les risques de baisse par rapport aux prévisions commerciales subsistent. La confiance des entreprises et des consommateurs s’est détériorée récemment dans les pays développés. Par conséquent, les prévisionnistes tablent maintenant sur une croissance plus lente du PIB dans l’Union européenne et aux États-Unis en 2016, suivie d’un rebond en 2017. L’instabilité financière en Asie a cessé pour l’essentiel, mais pourrait revenir si les données économiques sont supérieures ou inférieures aux attentes du marché. En revanche, une politique monétaire plus accommodante de la Banque centrale européenne pourrait relancer la croissance dans la zone euro et stimuler la demande de biens et de services, y compris la demande d’importations.

TABLEAU 1
Volume du commerce des marchandises et PIB réel, 2011-2017a
Variation annuelle en %

OMC2016-7short
a Les chiffres pour 2016 et 2017 sont des projections.
b Les autres régions comprennent l’Afrique, la Communauté d’États indépendants et le Moyen‑Orient.

Sources: Secrétariat de l’OMC pour le commerce, estimations consensuelles pour le PIB.

Les données annuelles, trimestrielles et mensuelles sur le commerce peuvent être consultées à l’adresse: https://www.wto.org/french/res_f/statis_f/statis_f.htm

 

Cherchez-vous un milliardaire? Entre Londres et Paris…

Par les temps qui courent, avec 77 citoyens milliardaires, la ville de Londres n’en a jamais compté autant et elle vient d’ailleurs d’être sacrée la ville qui en compte le plus dans le monde, devant New York, San Francisco et Hong Kong. Ça c’est selon le palmarès annuel établi par le Sunday Times.

Selon ce classement,

  • Londres (77) arrive donc devant
  • New York (61)
  • San Francisco (57)
  • Hong Kong (49)
  • Moscou (38)
  • Los Angeles (35)
  • Pékin (33)
  • Paris (30)

Pour un beau total de 380 milliardaires, mais gérant combien de milliards? C’est une autre affaire… On sait en tous les cas, qu’à eux seuls, les frères David et Simon Reuben pèsent 13,1 milliards de livres, selon la même initiative d’enquête du Sunday Times.

PAR PAYS, ALLEZ AUX USA

Si votre quête voit plus large, par pays, ce sont encore…

  • les États-Unis, qui arrivent largement en tête (378 milliardaires) à 2 contre 1 devant, oui…
  • la Chine (193)
  • le Royaume-Uni (120)
  • l’Allemagne (66)
  • l’Inde (56)
  • la France (44)
  • la Russie (43)
  • la Suisse (39)

Pour ici un nouveau beau  total de 959 milliardaires.

VIVA LONDON, U-K et PAUL McCARTNEY !

Il n’y a jamais eu autant de milliardaires au Royaume-Uni qui en comptait presque trois fois moins (43) en 2009, indique également ce supplément du Sunday Times, qui se penche sur les 1 000 personnes les plus riches du Royaume-Uni.

Ici leur richesse totale comme milliardaire est connue et se monte à 355 milliards de livres et est, elle aussi, en continuelle augmentation depuis 2009, date à laquelle elle ne pesait qu’un peu plus de 100 milliards de livres.

Notons donc que pour ce pays, au total, la richesse cumulée des 1 000 personnes les plus fortunées du pays pèse 576 milliards de livres contre 547 milliards l’année dernière, soit plus d’un quart du produit intérieur brut (PIB) de la Grande-Bretagne.

Ce Top 1 000 du Royaume-Uni est dominé par le duo des frères David et Simon Reuben, pesant 13,1 milliards de livres, alors que le dernier de la liste se contente de 103 millions de livres (contre 55 millions en 2009).

L’industriel indien de l’acier, Lakshmi Mittal, qui était 1er de cette liste en 2008, a dégringolé en 11e position avec 7,1 milliards de livres, essuyant une perte de 2,1 milliards de livres sur 2015.

Paul McCartney reste en tête des musiciens les plus riches à 760 millions de livres, alors qu’Elton John (280 millions de livres) et Mick Jagger (235 millions) sont loin derrière, alors que la jeune chanteuse Adele a été nommée la musicienne du Royaume-Uni la plus riche avec 85 millions de livres, en hausse de 35 millions sur un an.